Lors d’une réunion internationale organisée mercredi à Abuja, le Nigeria et quatre de ses voisins ont appelé la communauté internationale à les aider à tarir l’approvisionnement en armes et en argent de Boko Haram, qui menace de s’emparer du nord-est du pays.
Le Nigeria accueille, mercredi, une réunion internationale consacrée à la lutte contre l’insurrection du groupe islamiste Boko Haram et au rétablissement de la sécurité dans le pays.
Alors que l’épidémie continue de se propager, l’inquiétude s’est transformée en véritable psychose. Tout le continent pourrait bien en faire les frais.
La ville stratégique de Bama, située au nord-est du Nigeria, est-elle tombée aux mains du groupe islamiste Boko Haram ? Malgré les démentis de l’armée nigériane qui a proclamé, lundi, sa victoire sur les insurgés, plusieurs témoignages d’habitants indiquent que la ville aurait bel et bien été prise d’assaut par les islamistes.
Médecins sans frontières (MSF) a estimé mardi que « six mois après le début de la pire épidémie d’Ebola de l’histoire, le monde est en train de perdre la bataille ».
Les insurgés islamistes de Boko Haram poursuivent leur campagne de terreur dans les villes récemment conquises dans le nord du Nigeria. Massacres et tueries sont légion dans une région où Abubakar Shekau, le chef de la secte, avait déjà proclamé un « califat islamique ».
Qui est vraiment Abubakar Shekau, chef de la secte nigériane Boko Haram ? « Jeune Afrique » dresse le portrait de l’un des jihadistes les plus recherchés d’Afrique.
La femme d’un médecin mort d’Ebola dans la ville pétrolière nigériane de Port Harcourt a été testée positive à son tour à la maladie, ont annoncé dimanche les autorités locales.
Des islamistes de Boko Haram ont tué de nombreux habitants de la ville nigériane de Gamboru Ngala, frontalière de l’extrême-nord du Cameroun, ont affirmé samedi des témoins à l’AFP.
Malgré les arrestations, le braconnage menace l’espèce. En Asie et au Moyen-Orient, l’ivoire vaut de l’or. Du Darfour au Congo, il finance les groupes armés.
Royal Dutch Shell, à la tête d’un consortium de compagnies pétrolières occidentales, s’apprête à céder quatre champs de pétrole au Nigeria pour 5 milliards de dollars.
Pour Standard & Poor’s, l’épidémie d’Ebola, qui a entraîné plus de 1400 décès en Afrique subsaharienne depuis décembre 2013, n’a aucun « impact immédiat » sur la notation des 20 pays africains couverts par l’agence de notation, notamment le Nigeria et la RD Congo où des cas d’infections ont été détectés.
Un jour après avoir pris d’assaut la ville de Gamboru Ngala, située au nord-est du Nigeria, les combattants du groupe islamiste Boko Haram ont tenté de faire exploser le pont de Fotokol qui relie le pays à l’extrême-nord du Cameroun.
Un médecin libérien contaminé par Ebola, qui avait reçu une dose du sérum expérimental ZMapp, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi. Le ministre de la Santé a toutefois relevé des « signes d’espoir » quant à l’état de deux autres praticiens soignés par le même traitement.
L’insurrection du groupe islamiste armé Boko Haram se poursuit au Nigeria. Plusieurs milliers de personnes ont été contraintes de fuir au Cameroun voisin, lundi, après l’attaque de la ville de Gamboru Ngala, située au nord-est du pays, dans l’État de Borno.
Tony Elumelu a été nommé le 25 août président du conseil d’administration de United Bank for Africa. L’homme d’affaires nigérian connaît bien le groupe bancaire, qu’il a largement contribué à faire naître et prospérer en tant que directeur général pendant treize ans, jusqu’en 2010.
L’armée nigériane a rejeté dimanche le « califat islamique » proclamé par les insurgés islamistes de Boko Haram dans la ville de Gwoza. Depuis avril, le groupe armé sème la terreur au nord-est du Nigeria où il contrôle des zones entières.
Le chef du groupe islamique armé Boko Haram, Abubakar Shekau, a déclaré un « califat islamique » à Gwoza, une ville du nord-est du Nigeria, dans une vidéo obtenue dimanche par l’AFP.
Un expert de l’Organisation mondiale de la santé, opérant en Sierra Leone pour lutter contre l’épidémie d’Ebola, a contracté le virus à l’origine de la fièvre hémorragique, selon un communiqué publié dimanche par l’OMS.
Trente-cinq policiers nigérians d’un centre d’entraînement sont portés disparus dans le nord-est du pays à la suite d’une attaque du groupe islamiste Boko Haram, selon un communiqué publié samedi par le porte-parole de la police nationale, Emmanuel Ojukwu.
L’ONU et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont promis samedi des moyens « sans précédent » au Liberia pour faire face à la propagation foudroyante du virus Ebola, qui menace les acquis de dix ans de paix dans le pays.
Lancée il y a trois mois au Nigeria, l’application « The bride price » (littéralement « Le prix de la mariée ») permet en quelques clics de calculer la valeur de votre dot ou celle de votre promise. Bien que présentée comme une simple plaisanterie, elle a suscité des réactions très contrastées.
Alors que commence la tournée du coordinateur de l’ONU contre le virus Ebola dans les pays les plus touchés par l’épidémie, le Sénégal a décidé jeudi de fermer ses frontières terrestres avec la Guinée. En RDC, des tests sont en cours pour déterminer l’origine de la mort de treize personnes, décédées d’une fièvre hémorragique « d’origine indéterminée ».
Boko Haram s’est emparé jeudi d’une troisième ville dans le nord-est du Nigeria et poursuit pillages et exécutions sommaires. Selon des analystes, le stratégie du groupe jihadiste est désormais de s’emparer de territoires entiers pour former un État islamique.
Boko Haram fait régner sa loi à Buni Yadi, dans le nord-est du Nigeria. Des témoins ont rapporté jeudi que le groupe islamiste a exécuté deux personnes qui fumaient des cigarettes dans la rue. Des scènes de pillage ont été également signalées…
La psychose suscitée par le virus Ebola atteint parfois des records d’absurdité. Les raccourcis, les incompréhensions et les confusions alimentent l’inquiétude à l’étranger… qui peut rapidement se transformer en afrophobie, voire en racisme pur et simple.
Quelque 70 soldats nigérians ont confirmé mercredi qu’ils arrêtaient de participer à des opérations militaires contre Boko Haram dans le nord-est du pays. Ils réclament d’être mieux équipés pour combattre le groupe islamiste.