Médiateur dans la crise centrafricaine, sollicité par ses homologues des Grands Lacs pour y débloquer la situation sécuritaire, le président congolais, Denis Sassou Nguesso, semble avoir endossé l’habit de sage régional.
Au lendemain de la célébration du cinquantenaire de l’Union africaine (UA), les dirigeants des pays de la région des Grands Lacs se sont réunis, dimanche 26 mai, à Addis-Abeba pour mettre en œuvre un accord de paix pour l’est de la République démocratique du Congo (RDC) ravagé par les milices. Une première depuis la signature de l’accord-cadre en février dernier.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a entamé le 22 mai à Kinshasa une tournée dans la région des Grands lacs. Une visite qui coïncide avec la reprise des combats entre les rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23) et l’armée congolaise, dans la partie est de la RDC.
Conséquence de la multiplication, ces deux dernières décennies, des conflits armés sur son sol, l’Afrique est le continent qui accueille le plus de missions de maintien de la paix. Combien coûtent-t-elles ? Qui y contribue ? Que font-elles sur le terrain ? J.A. a enquêté.
Le manioc, qui nourrit 500 millions de personnes dans le monde, est attaqué en Afrique par un virus en expansion d’Est en ouest à travers le continent. Un congrès de scientifiques et de donateurs réuni cette semaine en Italie va tenter de leur déclarer une guerre totale.
La brigade d’intervention de l’ONU qui doit être déployée pour combattre les groupes armés actifs dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) comptera 3 069 hommes, a-t-on appris, samedi 13 avril, auprès de Mission de la l’ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco).
Approuvée le 28 mars par le Conseil de sécurité des Nations unies, la « Brigade d’intervention » de l’ONU devrait être déployée en RDC au plus tard le 30 avril, selon une source proche de la présidence congolaise. Le Mouvement du 23-Mars (M23) tente par tous les moyens de s’y opposer.
Le M23 de Sultani Makenga et Bertrand Bisimwa a dénoncé la création d’une brigade de l’ONU chargée de lutter contre les groupes armés dans l’est de la RDC. Mais il ne remet pas en cause le processus de pourparlers engagé à Kampala.
Recherché depuis sept ans par la Cour pénale internationale, celui qui a été de toutes les rébellions de l’est de la République démocratique du Congo (RDC) a déposé les armes, et s’est rendu à la CPI. Lâché par ses alliés, cerné par ses ennemis, Bosco Ntaganda avait d’autre choix ?
Après la signature, le 24 février, à Addis-Abeba, d’un accord de paix par les pays de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs, Philippe Biyoya, professeur de sciences politiques à l’université de Kinshasa, en explique la portée.
La signature de l’accord-cadre régional qui doit permettre de pacifier l’est de la République démocratique du Congo (RDC) sera signé le 24 février à Addis-Abeba. Ce plan régional de paix doit être signé par la RDC, le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi, l’Angola, le Congo, l’Afrique du Sud et la Tanzanie.
Rapportant des propos du secrétaire général des Nations unies, le Premier ministre de RDC, Augustin Matata Ponyo, a indiqué que l’accord-cadre de l’ONU pour la pacification des Grands Lacs devrait être signé avant la fin du mois de février.
Deux mois après le début des pourparlers de Kampala entre le gouvernement de RDC et les rebelles du M23, un compromis a (enfin) été trouvé sur le premier point inscrit à l’ordre du jour : l’évaluation de l’accord du 23 mars 2009. Mais les deux parties sont loin de partager la même interprétation du document qu’elles ont signé…
L’Ouganda a bénéficié d’aides au développement versées par la Norvège, la Suède et le Danemark. Aujourd’hui, les pays scandinaves, à l’instar de l’Irlande en novembre dernier, lui demandent de rembourser les sommes qui ont été détournées par les fonctionnaires du cabinet du Premier ministre.
Le dialogue de Kampala entre le gouvernement congolais et le M23 peine à avancer. Dernier accroc en date : le refus, mardi 22 janvier, du facilitateur ougandais, Crispus Kiyonga, d’élargir la négociation à la remise en cause des institutions issues des élections de novembre 2011.
Les délégations du gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et du mouvement rebelle congolais du M23 ont rencontré séparément samedi les médiateurs ougandais à Kampala, à la veille de négociations directes attendues entre les deux parties, a annoncé le ministère ougandais de la Défense.
La reprise envisagée samedi des discussions entre le gouvernement de République démocratique du Congo et le mouvement rebelle du M23, qui le combat dans l’est du pays, s’annonce difficile, les deux parties affichant des positions bellicistes.
Championne d’Afrique en 2012, la Zambie occupe la tête du classement « Jeune Afrique » des sélections nationales du continent, succédant à l’Égypte (2010) et à la Côte d’Ivoire (2011). Surprises, maintiens ou déceptions, découvrez l’intégralité de notre palmarès.
Mohamed Morsi est le chef d’État du continent qui compte le plus d’abonnés sur le réseau social. Logique : ses compatriotes égyptiens dominent le top 25 des Africains les plus suivis.
Le facilitateur et ministre ougandais de la Défense, Crypsus Walter Kiyonga, a décidé, vendredi 21 décembre, de suspendre avec effet immédiat les négociations de paix entre les rebelles du Mouvement du 23-Mars et le gouvernement congolais jusqu’au 4 janvier 2013.
Les crises actuelles au Mali et en RDC le confirment une nouvelle fois. Mal équipées, mal commandées, mal entraînées et… mal aimées, la plupart des forces de sécurité subsahariennes sont dans un piteux état. Enquête.
D’après Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais, une « dizaine » de soldats « rwandais » et de combattants du Mouvement du 23-Mars ont été arrêtés par l’armée congolaise en novembre, quelques jours avant la prise de Goma. Une information contredite mardi 11 décembre par le ministre de l’Intérieur congolais, Richard Muyej Mangez.
Au deuxième jour de négociations à Kampala entre le gouvernement congolais et le M23, lundi 10 décembre, les rebelles sont restés à leur hôtel. Les deux délégations se parleront-elles mardi ?
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 se sont réunis dimanche 9 décembre à Kampala, capitale de l’Ouganda, pour tenter de négocier un retour à la paix dans l’est de la RDC.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du mouvement M23 ont entamé des discussions dimanche à Kampala afin de ramener la paix dans l’Est de la RDC, théâtre de nouveaux combats ces derniers mois.