Le Kabaka du royaume du Buganda, berceau linguistique et ethnique du pays, est un chef politique et historique incontournable. Il est entouré de membres des vieilles familles, dont sont issus de nombreux avocats de renom.
C’est l’homme le plus recherché d’Afrique. Le fondateur de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), un groupe rebelle qui a semé la terreur pendant plus de trente ans en Ouganda, est traqué depuis 2005 par la justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Plusieurs poids lourds du NRM ont déjà annoncé que le président Ougandais serait une nouvelle fois leur candidat pour la présidentielle de 2026. Des déclarations qui semblent avoir pour but de barrer la route au fils de Museveni.
Un an après son introduction en bourse en Ouganda, la plus grande entreprise de télécommunications du pays n’a pas déclenché le buzz que beaucoup espéraient, malgré une croissance et un versement de dividendes impressionnants.
Le chef de l’État ougandais se rendra à Washington pour le sommet africain. Même si les relations entre les deux pays se sont détériorées, Museveni entend bien redevenir un interlocuteur privilégié dans la sous-région.
Rares sont ceux qui ont résisté au président ougandais mais aujourd’hui, c’est son propre fils, Muhoozi Kainerugaba, qui le défie, impatient de lui succéder au sommet de l’État. Encore faut-il que son père le juge prêt.
Acculé par la polémique, le chef de l’État ougandais a été contraint de présenter ses excuses à son voisin de l’est après que son fils, le général Muhoozi, a affirmé sur les réseaux sociaux qu’il ne lui faudrait « que deux semaines » pour s’emparer de la capitale kényane.
Propulsé en juin 2021 à la tête de l’armée, Muhoozi Kainerugaba, fils et potentiel successeur de Yoweri Museveni, vient d’être limogé. Connu pour ses sorties sur les réseaux sociaux, il a été promu au rang de général quatre étoiles sans se voir confier de nouvelles fonctions.
Le président ougandais a indiqué le vendredi 16 septembre que le mégaprojet d’exploitation pétrolière du lac Albert, prévu avec le groupe français TotalEnergies, se poursuivrait bien qu’une résolution du Parlement européen épingle des « violations des droits de l’homme » envers des opposants.
Le général ougandais est décédé jeudi, a annoncé le président Yoweri Museveni, dont il a été un compagnon d’armes puis un important responsable militaire et sécuritaire. Il avait notamment justifié la brutale répression lors des élections de 2021.
À l’heure où une force régionale doit être déployée pour combattre les groupes armés dans l’est du pays, les Congolais suspectent le Rwanda et l’Ouganda de jouer double jeu.
Le mégaprojet pétrogazier, situé dans un parc naturel et notamment porté par le français TotalEnergies, suscite la colère des ONG internationales. Les autorités locales, elles, y voient une grande opportunité de développement pour le pays.
La DJ sud-soudanaise basée à Kampala représente le festival de musique électronique le plus exaltant d’Afrique de l’Est, lequel gagne du terrain en dehors des frontières du continent avec une première édition à Paris le 16 juillet.
Adulé par les uns, détesté par les autres, Muhoozi Kainerugaba, commandant des forces terrestres de l’armée ougandaise et fils du président, est bien parti pour succéder à son père, au pouvoir depuis 1986.
Les grandes fêtes d’anniversaire du fils aîné de Yoweri Museveni ont révélé ses connexions. Parmi les organisateurs et les invités figuraient les proches et les fidèles du commandant des forces terrestres, qui rêve déjà d’être candidat en 2026.
Soupçons de trahison, accusations de manquement… La prise spectaculaire de la ville de l’Est par le M23 accentue un peu plus les tensions entre Kinshasa, Kigali et Kampala.
Lors du dernier scrutin présidentiel, il avait cédé sa place à Bobi Wine, mais ce véteran de l’opposition ougandaise ne compte pas ranger les gants. Il l’a prouvé en défiant une nouvelle fois le régime.
Le gouvernement congolais a jugé mardi « prématuré » un retrait des troupes ougandaises présentes dans l’Est pour combattre le groupe rebelle ADF, soulignant qu’une telle décision, évoquée par des militaires ougandais, revenait aux chefs des deux États.
L’entreprise rachetée par le suisse MSC se lance dans le projet du plus grand pipeline chauffé au monde. Les banques et les assureurs se tiennent à l’écart du projet.
Les festivités organisées en l’honneur du fils du chef de l’État confirment son ascension, tout comme la venue du président rwandais. De retour en Ouganda pour la première fois depuis deux ans, ce dernier en a profité pour s’entretenir avec son homologue, Yoweri Museveni.
Artistes, « people », politiques… Et même un président, en la personne de Paul Kagame. La liste des invités à la prochaine fête d’anniversaire de Muhoozi Kainerugaba, puissant fils du président ougandais, ce 24 avril, ne cesse de s’allonger sous le hashtag #MKAt48.
Le Trésor américain a annoncé vouloir appliquer des mesures coercitives pour soupçons de commerce illicite d’or, le 17 mars. Dans son collimateur : African Gold Refinery, l’homme d’affaires belge Alain Goetz, actif dans la région des Grands Lacs, ainsi que d’autres entreprises qui lui sont associées.
Le général Muhoozi Kainerugaba, qui dirigeait jusque-là l’armée de terre, a connu une ascension fulgurante. Il est soupçonné de vouloir succéder à son père à la présidence en 2026.
Face au tsunami de condamnations de l’invasion de l’Ukraine, le rejeton du président ougandais, le lieutenant-général Muhoozi Kainerugaba, exprime son soutien au président russe.
Ouganda, Zambie, Kenya… Les prêts octroyés par des banques chinoises aux pays du continent sont de plus en plus critiqués. Dernier en date, celui qui porte sur l’agrandissement de l’aéroport d’Entebbe.
La plus puissante banque africaine fait face à la pression des ONG pour ne pas financer le pipeline est-africain (Ouganda-Tanzanie) du géant français. Le colosse de Jo’burg résiste pour l’instant à leurs appels.
Après des années de procédures judiciaires, la Cour internationale de justice a rendu son jugement sur les réparations dues pour l’invasion de l’Est congolais lors de la guerre de 1998-2003. Kinshasa réclamait plus 11 milliards de dollars.
La Cour internationale de justice de La Haye va statuer aujourd’hui 9 février sur le montant des réparations que doit verser l’Ouganda à la RDC pour l’invasion de la province de l’Ituri, dans le nord-est congolais, lors de la guerre de 1998-2003.
Après trois ans de fermeture, les autorités de Kigali viennent d’annoncer la réouverture de la frontière avec l’Ouganda. Une première étape dans le rapprochement entre deux présidents qui se côtoient depuis près de quarante ans.