La Cour constitutionnelle a rejeté les requêtes en annulation et déclaré que les irrégularités constatées ne pouvaient pas changer l’ordre d’arrivée des candidats.
La Cour constitutionnelle doit se prononcer au plus tard le 12 janvier sur deux requêtes en annulation de la présidentielle du 20 décembre 2023. L’un des candidats, Théodore Ngoy, a notamment demandé l’annulation du scrutin. Mais n’a quasiment aucune chance d’obtenir gain de cause.
Selon les résultats provisoires de l’élection publiés par la Ceni, le Prix Nobel de la paix n’a obtenu que 0,22 % des suffrages. Comment expliquer un tel score ?
La décision de la commission électorale, qui survient deux semaines après le scrutin qui a vu Félix Tshisekedi être réélu à la tête du pays, concerne un ensemble plus large de 82 candidats.
La famille politique de Joseph Kabila dénonce le « naufrage » du processus électoral et appelle à une mobilisation générale pour rendre le pouvoir au peuple. Mais jusqu’où ira-t-elle ?
Le candidat à l’élection présidentielle congolaise conteste les résultats provisoires du scrutin, qui donnent Félix Tshisekedi largement vainqueur. Il est le seul à avoir saisi la Cour constitutionnelle.
Dans leur rapport rendu public le 3 janvier, les experts onusiens reviennent en détail sur la crise dans l’Est congolais. Réaffirmant que le Rwanda soutient les rebelles du M23, ils évoquent aussi la coopération entre les armées congolaise et burundaise et l’appui logistique des FARDC aux groupes armés.
Après l’annonce, à bonne date, des résultats provisoires de l’élection présidentielle congolaise, la publication des résultats des scrutins législatifs et provinciaux, elle, a été ajournée.
Arrivé deuxième lors de l’élection présidentielle du 20 décembre, loin derrière Félix Tshisekedi, Moïse Katumbi appelle à la mobilisation contre un « braquage électoral ». Comme Martin Fayulu en 2018. Mais la comparaison pourrait s’arrêter là.
Déclaré vainqueur avec 73,34 % des voix selon les résultats provisoires annoncés ce dimanche 31 décembre en RDC, le président sortant a salué une victoire de la « solidarité » et de « l’unité » face aux ennemis du pays.
Les résultats provisoires annoncés le 31 décembre par la Ceni confirment la victoire du président sortant. Face à lui, l’opposition demande l’annulation du scrutin et appelle la population à protester.
Avec ses 80 000 places, la plus grande arène de Kinshasa est l’une des plus vastes du continent. Elle accueille aussi bien des rencontres de l’équipe nationale et de célèbres clubs de la capitale que des événements culturels et politiques.
Dans leur déclaration préliminaire, la Cenco et l’ECC ont affirmé avoir constaté qu’un candidat s’était « largement démarqué » à ce stade, tout en soulignant des irrégularités susceptibles d’affecter l’intégrité des résultats à certains endroits.
La marche organisée notamment par Martin Fayulu a viré à l’affrontement avec les forces de l’ordre avant même d’avoir commencé. L’opposition congolaise semble encore en quête d’une stratégie commune.
La Fondation Bill Clinton pour la paix dénonce les conditions de détention dans la plus grande prison de RDC, où l’immense majorité des détenus sont en attente de jugement.
Alors qu’une poignée de bureaux votaient encore le 25 décembre, la Ceni poursuit l’annonce des résultats partiels. Elle a beau continuer à défendre l’intégrité du processus, l’opposition en demande l’annulation et appelle à manifester le 27 décembre.
Quand Sébastien Desabre a été nommé sélectionneur de l’équipe congolaise en août 2022, celle-ci était mal en point. Un an plus tard, elle s’apprête à disputer la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations. Le résultat d’un travail en profondeur.
Dans sa messe de Noël, l’archevêque de Kinshasa a qualifié de « gigantesque désordre organisé » les élections de cette semaine en République démocratique du Congo.
Tandis que l’opposition congolaise demande l’annulation des scrutins du 20 décembre, les missions d’observation électorale tentent de relativiser l’impact des nombreux dysfonctionnements constatés lors des opérations de vote.
À 19 ans, le basketteur de l’équipe de France et des Spurs de San Antonio (États-Unis) a fait ses débuts en NBA le 24 octobre. Né d’une mère française et d’un père originaire de la RD Congo, il fait déjà l’objet d’un livre.
Alors que la commission électorale a commencé à annoncer les premières tendances, les adversaires de Félix Tshisekedi se cherchent une stratégie. Certains opposants, dont Fayulu et Mukwege, ont annoncé la tenue d’une première manifestation le 27 décembre.
Après une première journée décrite comme chaotique par l’opposition, les élections générales ont par endroits repris ce 21 décembre. La commission électorale, qui a annoncé la fin officielle du scrutin jeudi dans la soirée, a fait savoir que les premiers résultats partiels seraient publiés le 22 décembre.
Retards dans l’ouverture des centres de vote, problèmes d’acheminement du matériel électoral, machines à voter en panne… Les couacs se sont accumulés lors des élections en RDC, au point que la commission électorale a décidé de prolonger les opérations de vote. Décryptage en vidéo.
Après une journée marquée de nombreux couacs logistiques, les élections se poursuivent dans certains bureaux ce 21 décembre. Alors que l’opposition gronde, la commission électorale est engagée dans une nouvelle course contre la montre.
À l’issue d’une journée marquée par de nombreux retards et problèmes logistiques, la commission électorale a annoncé la prolongation des opérations de vote jusqu’au 21 décembre dans les bureaux qui n’ont pas pu ouvrir. L’opposition dénonce « un chaos électoral ».
La Cenco et l’ECC, deux des plus puissantes organisations religieuses du Congo, déploient ce mercredi plus de 25 000 observateurs à travers le pays et entendent mener un décompte parallèle des voix. Au risque de crisper la commission électorale et les autorités congolaises.
Dans de nombreux bureaux de vote, les opérations censées débuter à 6 heures du matin ce mercredi 20 décembre ont tardé à démarrer. Un scénario qui avait été envisagé dès hier par le président de la commission électorale, Denis Kadima, et que l’opposition et les Églises dénoncent.
Dix-neuf candidats se présentent ce 20 décembre. Le président sortant sollicite un deuxième mandat. Et face à lui, l’opposition n’aura pas réussi à s’accorder sur une candidature commune.
Ce mercredi 20 décembre, la RDC doit élire son président ainsi que ses députés et ses conseillers communaux. Au total, près de 44 millions d’électeurs sont attendus aux urnes dans un contexte tendu. Malgré des craintes récurrentes en matière de logistique électorale, la Ceni assure être prête.
Près de 44 millions de Congolais sont appelés aux urnes ce 20 décembre pour la présidentielle, les législatives et les communales. Mais les électeurs de plusieurs régions de l’est du pays ne pourront pas voter en raison de la situation sécuritaire. Décryptage en vidéo.