Arrivé en juillet dernier à la co-présidence du DC Motema Pembe, le Français Henri Legarda a décidé de démissionner du club kinois. Gentiny Ngobila Mbaka, l’autre co-président, pourrait suivre.
Lors de son intervention mercredi au Conseil de sécurité des Nations unies à New York, Raymond Tshibanda, chef de la diplomatie de la RD Congo, a annoncé le souhait de son pays de voir les effectifs de la Monusco être réduits de moitié d’ici la fin de l’année.
Le conflit qui se déroule depuis deux décennies dans l’est de la RDC est à la fois le plus meurtrier depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’un des moins médiatisés. Sa durée a fini par lasser les rédacteurs en chef, et la prolifération des groupes armés le rend difficilement explicable.
Après neuf jours sans alimentation, Fred Bauma et Yves Makwambala ont décidé de suspendre leur mouvement de grève de la faim, qu’ils avaient entamé pour protester contre leur incarcération et des accusations qu’ils estiment « politiques ».
Grosse colère, en pleine Assemblée nationale, lundi 21 mars, du député de RD Congo Steve Mbikayi. Ce dernier, ayant une nouvelle fois échoué à faire inscrire sa loi anti-homosexualité à l’agenda des députés, n’a pas hésité à s’en prendre à ses honorables collègues. Récit.
Des militaires des FARDC ont-ils participé à des massacres dans la région de Beni, dans l’est de la RDC ? Selon Jason Stearns, ancien expert de l’ONU qui dirige actuellement le Groupe d’étude sur le Congo, la réponse est oui. Explications.
Après le verdict de la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire Bemba, la procureure Fatou Bensouda a salué lundi une « décision historique » et un « message fort » adressé aux seigneurs de guerre à travers le monde. Interview.
Le contre-ténor Serge Kakudji entame la dernière étape de la tournée internationale de Coup fatal. Une composition qui mêle avec brio polyphonies congolaises et musique baroque européenne.
Après près de huit ans de procédure devant la CPI, Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable lundi, en tant qu’autorité hiérarchique, de deux chefs de crimes contre l’humanité et de trois chefs de crimes de guerre commis par ses troupes en Centrafrique entre 2002 et 2003.
L’objectif de la Banque centrale de la République démocratique du Congo (RDC), qui a annoncé la mesure samedi, est de freiner le recul des réserves de change.
La Cour pénale internationale doit rendre son verdict ce lundi dans le procès de Jean-Pierre Bemba. Si ses partisans se prennent à rêver d’une libération rapide, voire d’un retour fracassant sur la scène politique congolaise, une autre bataille l’attend. Explications.
Le génocidaire rwandais présumé Ladislas Ntaganzwa, détenu par Kinshasa, a été remis dimanche au Comité de suivi des tribunaux pénaux internationaux de l’ONU par les autorités de la République démocratique du Congo et conduit au Rwanda.
La grève de la faim initiée mardi par Fred Bauma et Yves Makwambala pour protester contre leur détention, jugée arbitraire par de nombreuses organisations internationales, ne suscite pour l’instant que l’indifférence du gouvernement congolais.
La Cour suprême de justice de RD Congo a refusé la liberté provisoire sollicitée par les deux militants du mouvement pro-démocratie Lutte pour le changement (Lucha), Fred Bauma et Yves Makwambala, détenus depuis un an à Kinshasa.
Alors que rien n’est prêt pour la présidentielle de novembre et que les négociations entre le pouvoir et l’opposition sont bloquées, la solution d’une transition politique fait son chemin.
Le procès de Jean-Pierre Bemba à la Cour pénale internationale va connaître son verdict le 21 mars prochain. Soupçonné de cinq chefs d’accusation de crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour des événements qui se sont déroulés en Centrafrique en 2002 et 2003, le Congolais est incarcéré à la CPI depuis 2008.
Yves Makwambala et Fred Bauma attendent toujours de connaître leur sort, la Cour suprême ne s’étant pas encore prononcée en RDC. Une violation des droits civiques et des libertés fondamentales, selon leur défense.
Alors que le Conseil de sécurité doit voter une nouvelle résolution sur la RD Congo d’ici à la fin du mois, Kinshasa réclame une nouvelle réduction des effectifs militaires de la Mission de l’ONU (Monusco) sur son territoire, estimant que la situation sécuritaire s’est « nettement améliorée ». Le gouvernement congolais souhaite par ailleurs bénéficier de « l’appui » onusien dans l’organisation de ses élections, mais refuse tout « accompagnement ».
Dix-huit personnes ont été arrêtées mardi à Goma, en RDC, dans une manifestation pour la libération de Fred Bauma et Yves Makwambala, deux militants de Lucha emprisonnés depuis un an.
En RD Congo, l’élection des nouveaux gouverneurs de province est prévue pour le 26 mars. Mais on sait déjà qu’aucune des quatre provinces de l’ex-Katanga n’aura à sa tête un partisan de Moïse Katumbi, l’ancien gouverneur passé à l’opposition, pourtant si populaire dans son fief.
Une radio-télévision d’opposition émettant de Lubumbashi, deuxième ville du pays, a été fermée, ont annoncé vendredi les autorités du Haut-Katanga, (sud-est) de la République démocratique du Congo, affirmant que celle-ci n’était pas en règle, accusation fermement démentie par la station qui dénonce une décision politique.
En fin de contrat au mois d’août, Florent Ibenge, le sélectionneur de la RD Congo, va bientôt être prolongé jusqu’à fin 2017. Il a déjà préparé sa liste pour les prochains matchs qualificatifs pour la CAN 2017 au Gabon.
Lise* est responsable de recrutement et des stages dans une école à Kinshasa et gagne à ce titre 1004 euros par mois. Pour notre série, elle est revenue sur la manière dont elle utilise son argent. Portrait.
Sept transfuges de la majorité passés à l’opposition au président Joseph Kabila se sont rangés mardi derrière l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga, Moïse Katumbi. Ces frondeurs ont insisté pour que la présidentielle ait lieu en 2016, comme le prévoit actuellement la Constitution.
Vendredi 4 mars, la cour d’appel de Goma, dans l’est de la RD Congo, a condamné six militants de Lutte pour le changement (Lucha) à six mois de prison ferme pour incitation à la révolte.
L’année 2016 marquera un tournant décisif dans l’histoire de la République démocratique du Congo. D’ici la fin de l’année, les congolais devraient se rendre aux urnes pour élire leur nouveau président de la République.