Le mot d’ordre a été diversement suivi en RDC mardi, jour de grève générale décrétée par une coalition d’opposition. Si Kinshasa a fait figure de ville-morte, Lubumbashi s’est montrée plus réticente.
Les accusations se multiplient à l’encontre des soldats de la paix. Des « Casques bleus originaires de la RD Congo ont été accusés d’avoir abusé de quatre enfants vivant dans un camp de déplacés en République centrafricaine », a indiqué un porte-parole de l’ONU mardi.
Des groupes armés nande et hutu commettent massacre sur massacre contre les populations civiles du Sud-Lubero depuis trois mois. Que se passe-t-il dans ce territoire du Nord-Kivu ? Et comment mettre fin à ce cycle de violences interethniques ?
Dans « KO à la 8e reprise », le journaliste américain Bill Cardoso fait le récit halluciné de ses cinquante jours passés à Kinshasa en 1974 à l’occasion du combat de boxe entre Muhammad Ali et George Foreman.
L’opérateur de téléphonie mobile présent dans quatre pays africains s’adjoint les services d’Alepo, une société américaine spécialisée dans la monétisation des données mobiles.
Après Moïse Katumbi, l’opposant historique congolais Étienne Tshisekedi, a déclaré lundi qu’il soutenait la « journée ville morte » en RD Congo fixée au 16 février par plusieurs plateformes de l’opposition pour exiger la tenue de la présidentielle dans les délais constitutionnels, soit d’ici fin 2016.
Et si le chairman recouvrait sa liberté ? Kinshasa retient son souffle. Et tous les yeux se tournent vers La Haye, où, le 21 mars, l’on connaîtra le verdict de la CPI dans l’affaire Jean-Pierre Bemba.
Le député de l’opposition et président du parti politique Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé), Martin Fayulu, a été libéré dimanche vers 21h20, heure locale. Il avait été interpellé en début d’après-midi.
Le festival Amani (“paix” en Swahili) de Goma a accueilli 33 000 personnes entre les 12 et 14 février, selon ses organisateurs. Le bilan d’un week-end haut en couleurs, en quatre points.
L’un des objectifs du festival Amani (« paix » en swahili) a été atteint, les 12 et 13 févier, avec le passage sur scène de deux artistes rwandais, Angel Mutoni et Kode, acclamés par un public chaleureux. Un petit pas de plus contre les préjugés dans la région des Grands lacs.
Après une première annonce, indiquant l’abandon de la réforme du Code minier en RDC, le gouvernement a tenu à préciser qu’elle était simplement « reportée », le temps que les cours des minerais se rétablissent.
Après les récentes mises en garde de Paris et de Washington sur la nécessité de garantir l’alternance démocratique en RD Congo, le gouvernement congolais a dénoncé vendredi des « habitudes insensées et surannées » des autorités françaises et américaines.
La troisième édition du festival Amani (« la paix » en swahili) s’ouvre à Goma, ce vendredi 12 février. Alors que les tensions pré-électorales s’accumulent en RDC et que Fred Bauma, l’un de ses anciens bénévoles, est détenu depuis près d’un an, ses promoteurs se refusent à toute déclaration qui soit, de près ou de loin, politique.
La troisième édition du festival Amani s’ouvre à Goma, ce vendredi 12 février. Pour faire vibrer les habitants de l’Est de la RDC, des artistes venus de la région des grands lacs, et bien au-delà.
Entreprise Générale Malta Forrest (EGMF), filiale du groupe belge Forrest spécialisée dans le BTP et les travaux miniers, va créer une coentreprise congolaise avec le géant sud-africain de la construction Murray & Roberts.
La production de cuivre de la République démocratique du Congo a atteint 995 805 tonnes en 2015, soit un recul de -3,3 % sur un an. Une première en six ans.
Réunis à Kinshasa, plusieurs regroupements politiques de l’opposition congolaise, opposés au dialogue politique préconisé par le président Kabila, ont appelé les Congolais à rester chez eux le 16 février, notamment pour dire « non au glissement » du calendrier électoral. Cette journée commémore traditionnellement le massacre des chrétiens en RD Congo.
L’annonce a été faite ce mercredi, durant le forum Mining Indaba dédié à l’industrie minière, organisé au Cap. Les groupes miniers actifs en RDC s’étaient mobilisés durant l’année écoulée contre cette révision qu’ils jugeaient préjudiciables à leurs activités.
Après deux reports, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a annoncé mercredi avoir fixé au 26 mars l’organisation de l’élection des gouverneurs dans les nouvelles provinces de la RD Congo. Celles-ci sont actuellement gérées par des commissaires spéciaux nommés par Kinshasa.
Les FDLR ont démenti auprès de Jeune Afrique être responsables du massacre de Mukeberwa, dimanche dernier. Mais une faction dissidente de la rébellion hutue rwandaise pourrait être impliquée. Explications.
Un des chefs de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) a été capturé lundi en Centrafrique. Il s’agit de Okot Odek, un des principaux commandants de la sanguinaire rébellion ougandaise, a indiqué mercredi une source au sein de la gendarmerie centrafricaine.
La RD Congo a remporté le CHAN pour la deuxième fois de son histoire dimanche face au Mali (3-0) à Kigali. Florent Ibenge, le sélectionneur des Léopards, raconte à Jeune Afrique l’enthousiasme populaire qui accompagne ce succès.
C’est LA grande question qui agite le Tout-Kinshasa depuis que le président Kabila a annoncé l’ouverture d’un nouveau cycle de discussions, en novembre dernier. Manière de retarder le processus électoral ou garantie que les scrutins seront pour une fois apaisés ? J.A. ouvre le débat.
C’est LA grande question qui agite le Tout-Kinshasa depuis que le président Kabila a annoncé l’ouverture d’un nouveau cycle de discussions, en novembre dernier. Manière de retarder le processus électoral ou garantie que les scrutins seront pour une fois apaisés ? J.A. ouvre le débat.
Sur la twittosphère congolaise, deux hashtags s’affrontent : #wumela pour ceux qui souhaitent le maintien du président Joseph Kabila au pouvoir et #yebela utilisé par les adeptes de l’alternance démocratique en RD Congo. Zoom sur une guerre digitale bien entamée.
La note souveraine du pays est maintenue à « B-« , mais avec des perspectives passées de « stables » à « négatives ». En cause : le recul des réserves de change, la hausse des déficits courants et… les incertitudes électorales.
Le groupe minier, actif dans l’or au Mali, en RDC et en Côte d’Ivoire, réalise un bénéfice net en recul de -19,7 % sur un an, résultat du recul des cours de l’or. Mais ses flux de trésorerie restent assez élevés, du fait d’une production en nette hausse.