Stromae a annoncé vendredi les dates de sa première tournée africaine. Le chanteur de « Papaoutai » se rendra au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Cap-Vert au Cameroun, au Gabon, au Congo, en RDC et au Rwanda, pays dont son père est originaire et où il ira pour la première fois de sa vie.
Trois des fondateurs du mouvement citoyen congolais Filimbi (RDC) viennent de s’exiler en Europe, après s’être cachés pendant plusieurs semaines à Kinshasa pour fuir la répression organisée par le régime de Joseph Kabila. Ils accordent leur première interview à « Jeune Afrique ».
Dix-neuf personnes ont été tuées à la machette mercredi à Beni, territoire de l’est de la RDC où des massacres de civils ont lieu depuis plus de six mois. Une situation qui perdure malgré la présence des Casques bleus et de l’armée dans la région.
Les États-Unis ont-ils financé les activistes de Filimbi ? Barack Obama a répondu à Joseph Kabila en l’appelant au lendemain de la présidentielle nigériane…
Pour éviter une nouvelle polémique après celle qui a suivi la découverte d’une fosse commune à Maluku, dans la banlieue de Kinshasa, les autorités congolaises ont annoncé lundi qu’elles procéderaient bientôt à un enterrement groupé de cadavres conservés dans la morgue de la capitale.
L’Union européenne a appelé vendredi à ce qu’une enquête urgente soit menée sur la fosse commune découverte près de Kinshasa et qui suscite de nombreuses questions en République démocratique du Congo et à l’étranger.
Étienne Tshisekedi, le président de l’UDPS (opposition), a signé depuis Bruxelles un communiqué très violent à l’égard du pouvoir en RDC, suite à la découverte d’une fosse commune à Maluku.
La répression des autorités de Kinshasa et le discrédit de la classe politique congolaise pourraient ouvrir un boulevard au tout jeune mouvement citoyen Filimbi.
Acquitté des charges de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI) le 27 février 2015, le Congolais Mathieu Ngudjolo Chui embarrasse. Toujours en détention aux Pays-Bas, menacé d’expulsion vers la RDC, il fait aujourd’hui figure d’indésirable.
Plusieurs membres de la coordination de la Lucha ont été arrêtés mercredi à Goma alors qu’ils manifestaient pour la libération des activistes détenus à Kinshasa et le respect des libertés publiques.
Qu’elles soient publiques ou privées, les sociétés de gestion de l’eau sont souvent confrontées aux mêmes défis. Jeune Afrique passe en revue trois exemples emblématiques.
La Belgique a réclamé mercredi une enquête indépendante et crédible pour faire la lumière sur la fosse commune découverte en RDC et dans laquelle se trouveraient plusieurs centaines de cadavres.
Blanchi par la CPI le 27 février, le Congolais Mathieu Ngudjolo a failli être expulsé dans la foulée par les autorités néerlandaises. Son avocat a obtenu un sursis mais, en attendant, il reste détenu à l’aéroport de Schiphol.
Le groupe bancaire kényan Equity Bank a annoncé son intention de consacrer environ 200 millions d’euros pour s’implanter dans dix nouveaux pays. En commençant par l’Éthiopie, la RD Congo et le Burundi, puis en continuant vers l’Afrique australe.
Neuf soldats congolais, dont trois officiers, ont été tués dans une embuscade tendue par des FDLR dans l’est de la RDC, alors que l’armée congolaise est engagée dans une offensive censée éradiquer ces miliciens.
L’ONG américaine Human Rights Watch soupçonne les services de sécurité congolais d’avoir enterré des victimes de deux vagues de répression dans une fausse commune de la région de Kinshasa. Le gouvernement dément, mais n’autorise pas, à ce stade, l’exhumation des corps pour mener l’enquête.
Le groupe de BTP brésilien Andrade Gutierrez pourrait s’associer à Fleurette Group, de l’homme d’affaires Dan Gertler, pour le développement de projets d’infrastructures dans la province du Katanga, en République démocratique du Congo.
La famille du défenseur des droits de l’Homme congolais Floribert Chebeya, assassiné en juin 2010 à Kinshasa, a lancé vendredi une procédure judiciaire destinée à obtenir un complément d’enquête afin de faire toute la lumière sur sa mort, a-t-on appris auprès de son avocat.
Journaliste et cofondateur de « Y’en a marre », le Sénégalais Fadel Barro faisait partie des activistes arrêtés le 15 mars à Kinshasa après avoir participé à une réunion du mouvement citoyen congolais Filimbi. Relâché au bout de trois jours et rentré à Dakar, il est toujours en contact avec ses camarades congolais et se mobilise pour la libération de ceux qui sont encore détenus. Interview.
En froid avec Kinshasa, les Nations unies souhaitent relancer la coopération « le plus vite possible » avec l’armée afin de neutraliser les rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) actifs dans l’est de la RDC.
Les jeunes militant pro-démocratie arrêtés par les autorités congolaises présentent des profils qui ne collent pas, mais alors pas du tout avec le portrait qu’en fait Kinshasa. Explications.
De retour de Kinshasa, où il a pris part la semaine dernière à la réunion du bureau politique de la coalition au pouvoir, convoquée par le président Joseph Kabila, Antoine Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l’Assemblée provinciale du Katanga, a confié samedi à « Jeune Afrique » que les dissensions internes au sein de la majorité n’ont pas été levées. Interview exclusive.
Près de deux semaines après leur arrestation à l’issue d’une conférence de presse organisée avec les responsables de Y’en a marre et le Balai citoyen, plusieurs militants congolais pro-démocratie sont toujours détenus – hors procédure judiciaire – par les services de renseignement à Kinshasa.
Citoyens avant tout, ils se sont pourtant imposés comme des acteurs politiques à part entière. Smockey le Burkinabè, Fadel Barro le Sénégalais, Fred Bauma le Congolais… Voici notre galaxie – non-exhaustive – des leaders de la société civile en Afrique francophone.
La Monusco comptera 2 000 soldats de moins. Cette reconduction du mandat de la force onusienne survient en pleine brouille entre les Nations unies et Kinshasa.
Les autorités congolaises, qui ont durement mis fin à la rencontre entre les mouvements citoyens étrangers et congolais la semaine dernière, ont trouvé en Washington un responsable à ce qu’elles décrivent comme une tentative de déstabilisation.
Trente éléphants ont été abattus en deux semaines dans le Parc national de la Garamba, dans le nord-est de la RDC. Les responsables du parc accusent un groupe de braconniers soudanais d’avoir commis ce massacre.
Sept partis de la majorité congolaise (RDC) ont exprimé leurs inquiétudes sur la révision de la Constitution. Après une réunion agitée, ils ont fini par rentrer dans le rang.