En convoquant le corps électoral pour la présidentielle, la commission électorale s’engage à organiser les scrutins dans les délais constitutionnels, malgré des critiques de l’opposition et de la société civile.
Les barrières ont été levées sur tous les accès à la résidence kinoise de l’ancien président congolais, située à GLM. Et ce, sur ordre du chef de l’État.
Une cinquantaine de personnes ont été tuées le 30 août dans la capitale du Nord-Kivu. À l’origine du drame, une manifestation interdite contre la Monusco organisée par une secte mystico-religieuse appelée Foi naturelle judaïque et messianique.
De l’exploration à l’exploitation, l’archipel a signé une série de contrats avec trois pays africains pour sécuriser ses approvisionnements en minerais critiques.
Prolongé de six mois, le mandat de la force régionale de l’EAC expire le 8 septembre. Les chefs d’État de la sous-région doivent se réunir très prochainement pour statuer sur l’avenir.
Nommé le 1er août par Félix Tshisekedi, le nouveau patron des renseignements congolais a la lourde tâche, à cinq mois des élections, de changer l’image de l’ANR.
Jeune Afrique a consulté en exclusivité une note de l’Agence nationale de renseignement (ANR) qui retrace les circonstances du meurtre de ce proche de Moïse Katumbi.
En installant une nouvelle direction à la tête de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), le président congolais veut favoriser les entreprises à capitaux majoritairement congolais.
Dans une adresse à Bukavu, le prix Nobel de la paix 2018 s’est dit « inquiet » pour le processus électoral, et il a souhaité galvaniser la jeunesse. Esquisse d’une candidature ?
Comme en 2018, le patron de l’Union pour la nation congolaise a choisi de voter pour le chef de l’État sortant à la présidentielle. En exclusivité pour Jeune Afrique, il explique son choix.
L’inspecteur général des Finances est en première ligne pour dénoncer la « résistance » des entreprises chinoises dans le cadre du « contrat du siècle » et fait pression pour que les termes en soient renégociés. Jeune Afrique fait le point sur les coulisses de ces discussions « difficiles ».
Il y a quelques mois encore, Fortunat Biselele était l’un des plus influents conseillers du président congolais. Son acquittement, prononcé ce mardi 22 août, lui ouvrira-t-il la voie à un retour en grâce ?
En RDC, l’ancien conseiller de Félix Tshisekedi était accusé de trahison et d’atteinte à la sûreté de l’État. La chute de cet influent sécurocrate, en janvier dernier, avait été retentissante.
L’ONG décrit « un contexte de tensions politiques accrues » et pointe des « intimidations » récurrentes, notamment à l’encontre du parti de Moïse Katumbi, Ensemble pour la République.
Sitôt ouvert ce 21 août devant la Cour constitutionnelle, le nouveau procès de l’ancien Premier ministre de Joseph Kabila a été renvoyé au 4 septembre. Le principal accusé, qui dénonce un complot politique et pointe la responsabilité du chef de l’État, Félix Tshisekedi, était absent.
Réunie ce samedi 19 août, l’Union pour la nation congolaise a annoncé qu’elle soutenait la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle. Comme en 2018.
C’est lui qui avait annoncé la victoire de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2018 en RDC. Désormais candidat, l’ancien président de la commission électorale resté proche de Joseph Kabila dit se sentir menacé.
En RDC, les réseaux sociaux se font le relais d’une publication de presse dénonçant le népotisme qui serait pratiqué au ministère des Sports et des Loisirs.
Près de trois mois après son arrestation, le conseiller spécial du leader d’Ensemble pour la République se retrouve pour la première fois devant les juges de la Cour militaire de Kinshasa-Gombe ce jeudi 17 août.
Cette mesure, qui remplace les autorités civiles par une administration militaire depuis mai 2021 au Nord-Kivu et en Ituri, est critiquée depuis des mois pour son inefficacité.
La Haute Cour militaire congolaise a autorisé, ce 16 août, la remise en liberté de quatre co-accusés de l’ancien conseiller sécurité de Félix Tshisekedi. Lui-même n’est toujours pas rentré en RDC.
L’ancien patron des renseignements congolais, rentré en RDC en août 2022 après plusieurs mois d’exil, ne fait plus l’objet d’un avis de recherche de la justice congolaise depuis le 10 août.
Le camp présidentiel représentera la grande majorité des candidats pour les prochaines élections législatives. Du côté de l’opposition, Moïse Katumbi, Delly Sesanga, Matata Ponyo Mapon ou encore Adolphe Muzito ont tous déposé des listes qui ont été retenues par la Ceni.
Un an après avoir bénéficié d’une liberté provisoire assortie d’une autorisation d’aller se faire soigner à l’étranger, l’ancien conseiller spécial en matière de sécurité du président congolais Félix Tshisekedi n’est toujours pas rentré. Et son procès a repris le 9 août à la Haute Cour militaire.
En liberté provisoire depuis le 21 juillet, l’ancien conseiller privé du chef de l’État congolais tente d’obtenir son acquittement. En attendant, il s’active pour reprendre contact avec ce dernier, dont il reçoit des proches.