Le député congolais Fidèle Babala a été transféré dimanche soir à La Haye à la suite d’un mandat d’arrêt délivré contre lui par la CPI. Au même moment, trois autres suspects – deux avocats de Jean-Pierre Bemba et un témoin -, ont été interpellés en Belgique, au Pays-Bas et en France. Ils sont tous accusés de « subornation de témoins ».
Selon une source officielle, le ministre de l’Intérieur congolais, Richard Muyej Mangez, a fait une proposition aux quelque 1 500 combattants rebelles qui ont déposé les armes dans la province du Nord-Kivu. Ils auront la possibilité d’intégrer la police ou l’armée.
Quatre proches de l’ex-vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, jugé par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité, ont été arrêtés pour subornation de témoins dans cette affaire, une première dans l’histoire de la CPI.
Un haut responsable du MLC, deuxième parti d’opposition en République démocratique du Congo, a été abattu à Kinshasa dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès du parti.
Un ex-député de l’opposition, Pierre-Jacques Chalupa, condamné à trois ans de prison en République démocratique du Congo (RDC) pour usurpation de la nationalité, a bénéficié d’une grâce présidentielle, a indiqué samedi son avocat à l’AFP.
Né en RDC, Marc Zinga débarque en Belgique à l’âge de 5 ans. Quelques années plus tard, le voilà dans la peau de Patrice Lumumba dans « Une saison au Congo », d’Aimé Césaire.
Rien ne va plus à la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale. La Guinée équatoriale a décidé de ne pas appliquer l’accord de libre circulation des personnes et des biens signé en juin. Un mauvais coup pour l’intégration régionale.
Le TP Mazembe n’a jamais remporté la Coupe de la confédération. Samedi,lors de la première manche d’une finale qui s’annonçait très ouverte (match retour le 30), l’équipe congolaise s’est inclinée à Radès contre le CS Sfaxien (2-0). Quelques heures avant ce premier match, « Jeune Afrique » rencontrait l’entraîneur des Corbeaux, Patrice Carteron.
Pour tenter de sensibiliser les partenaires internationaux de la RDC sur le sort de Diomi Ndongala, le président de Démocratie chrétienne (DC) détenu à Kinshasa pour viol, Freddy Kita, le numéro deux du parti, a entamé le 17 octobre une tournée européenne : Rome, Paris, et bientôt Oslo… Partout, il dénonce la machination politique dont serait victime son patron et plaide pour l’ouverture d’un « vrai dialogue » avec le pouvoir.
La Banque africaine de développement a approuvé un financement de 68 millions de dollars au profit de « Inga 3 », la première phase du projet hydroélectrique « Grand Inga » en RD Congo.
Via son fonds Central Africa SME Fund, le capital-investisseur néerlandais XSML a investi dans Cotrama, une société de transport et de commerce basée à Kinshasa, en RD Congo. C’est le quinzième investissement du fonds dans le pays.
C’est souvent la règle du « j’y suis, j’y reste » qui s’applique au sommet de la plupart des États africains. Une fois au pouvoir, les présidents excluent toute éventualité de retraite. Mais il existe aussi des exceptions. Tour d’horizon.
Sultani Makenga, le chef militaire du Mouvement du 23-Mars (M23), se trouverait actuellement à Kampala, a affirmé mardi un membre des services de renseignements ougandais.
JS Kabylie en Algérie, TP Mazembe en RDC, ou encore Asec Mimosas en Côte d’Ivoire : par leur palmarès ou ce qu’ils représentent dans l’imaginaire collectif, plusieurs clubs ont marqué l’histoire du football africain. Voici la carte interactive de notre sélection.
Pomme de discorde entre la RDC de Kabila et le Rwanda de Kagamé, les rebelles du Mouvement du 23-Mars ont finalement concédé une défaite historique. Mais la méfiance entre les deux voisins reste tenace.
Au cours d’une conférence de presse à Kinshasa, jeudi, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, a déclaré que la RDC voudrait voir aboutir dans un « délai raisonnable » les pourparlers de Kampala par la signature d’un « document » avec le M23. Une déclaration qui intervient au lendemain de la scission de l’ex-mouvement rebelle en deux branches distinctes.
C’est officiel : le Mouvement du 23-Mars (M23) a désormais deux branches distinctes. Son secrétaire permanent, Serge Kambasu Ngeve, affirme bénéficier du soutien de la « majorité » des membres de l’ex-rébellion et annonce son intention de signer les « conclusions » des pourparlers de Kampala avec le gouvernement congolais. C’est la naissance de l’aile dite « réaliste » du M23.
L’essentiel de la délégation gouvernementale de la RDC a quitté mardi Kampala, où se tiennent les négociations avec les rebelles du M23. Les chances de voir les deux parties signer un accord politique semblent pour le moment très minces.
Après la défaite du Mouvement du 23-Mars (M23) dans l’est de la RDC, le Rwanda appelle l’armée congolaise et la Monusco à s’attaquer « en priorité » aux éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Un « groupe armé pas comme les autres », selon Olivier Nduhungirehe, représentant permanent adjoint de Kigali au Conseil de sécurité de l’ONU. Interview.
Réunis lundi à Kampala, le gouvernement de République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23, récemment défaits après 18 mois d’affrontements meurtriers, ne sont pas parvenus à signer un important accord de paix, a annoncé le gouvernement ougandais, médiateur dans les pourparlers.
La République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 doivent signer lundi soir à Kampala un important accord de paix, qui restera cependant insuffisant à lui seul à régler 20 ans de conflit dans l’est congolais.
La défaite militaire du Mouvement du 23-mars (M23) amorce-t-elle la fin d’un cycle de violences dans le Kivu ? AFDL, RCD, CNDP, M23, etc. Retour sur les dates clés des rébellions qui ont secoué l’est de la RDC ces deux dernières décennies.
L’accord que doivent signer lundi la République démocratique du Congo et la rébellion du M23 représente « une étape très importante » pour ramener la paix dans une région déchirée par un long conflit, estime l’envoyée spéciale de l’ONU Mary Robinson.
L’Ouganda a annoncé vendredi que Sultani Makenga et les autres combattants du Mouvement du 23-Mars (M23), réfugiés sur son sol, ne seront pas remis aux autorités congolaises, avant que leur sort ne soit fixé par l’accord de Kampala entre le M23 et Kinshasa. François Muamba, chargé de suivi pour la RDC de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, rappelle la position du gouvernement congolais sur le sujet. Interview.
Dix mois après le début des pourparlers de Kampala entre le Mouvement du 23-Mars (M23) et le gouvernement congolais, la médiation ougandaise a annoncé vendredi qu’un accord de paix sera signé le 11 novembre entre les deux protagonistes. Un compromis politique qui intervient quelques jours après la défaite militaire de la rébellion sur le terrain.
Deux jours après avoir signalé une possible présence en Ouganda de Sultani Makenga, chef militaire du Mouvement du 23-Mars (M23), Kampala a déclaré vendredi que les combattants du M23, réfugiés sur son sol après la débâcle de leur rébellion dans l’est de la RDC, ne seront pas remis aux autorités de Kinshasa avant qu’un accord de paix ne fixe leur sort.
À en croire une source militaire ougandaise, Sultani Makenga, le chef militaire du Mouvement du 23-Mars (M23), s’est rendu et est détenu depuis mercredi « quelque part » en Ouganda. En attendant la signature d’un éventuel accord entre ses délégués à Kampala et le gouvernement de la RDC…
Après la défaite militaire du Mouvement du 23-Mars (M23), Martin Kobler, le chef de la mission onusienne en RDC, a annoncé, mercredi, que les Casques bleus allaient aider à renforcer le contrôle des frontières du pays pour empêcher des rebelles hutus des FDLR, qui seront bientôt traqués, de retourner au Rwanda avec leurs armes.
Via son fonds Central Africa SME Fund, l’impact-investisseur néerlandais XSML a investi dans MIS Impression, une société basée en RD Congo. C’est le quatorzième investissement du fonds dans le pays.