Un lord britannique affirme qu’une ancienne cadre des services de renseignement de son pays lui a confié en 2010 avoir organisé l’assassinat du héros de l’indépendance du Congo, Patrice Lumumba, en 1961. Un témoignage difficile à vérifier : l’espionne est décédée.
Le M23 de Sultani Makenga et Bertrand Bisimwa a dénoncé la création d’une brigade de l’ONU chargée de lutter contre les groupes armés dans l’est de la RDC. Mais il ne remet pas en cause le processus de pourparlers engagé à Kampala.
La deuxième édition du Grand Prix d’Afrique aura lieu le samedi 13 avril à l’hippodrome Paris-Vincennes. Un rendez-vous obligé pour tous les turfistes du continent.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a approuvé, jeudi 28 mars, la création d’une « Brigade d’intervention » au sein de la Monusco, en République démocratique du Congo (RDC). Une rupture dans la doctrine de maintien de la paix, infléchie dans un sens plus offensif.
Recherché depuis sept ans par la Cour pénale internationale, celui qui a été de toutes les rébellions de l’est de la République démocratique du Congo (RDC) a déposé les armes, et s’est rendu à la CPI. Lâché par ses alliés, cerné par ses ennemis, Bosco Ntaganda avait d’autre choix ?
Les Nations unies ont ordonné, mercredi 27 mars, à la République démocratique du Congo, d’agir dans la semaine qui vient contre les forces de l’armée impliquées dans 126 viols commis en novembre 2012 au Kivu. Dans le même temps le Conseil de sécurité va voter, jeudi 28 mars, la création d’une « Brigade d’intervention » pour appuyer la Monusco dans la lutte contre les milices agissant à l’est du pays.
Les utilisateurs africains de Twitter manifestent leur présence et rassemblent leurs compatriotes par l’usage de mots clés qui indiquent l’appartenance nationale ou font référence à des éléments linguistiques régionaux. Le procédé a du succès et chacun y va de sa création. Suivez le guide !
Populiste ou populaire ? Vulgaire Berlusconi congolais ou dirigeant vraiment efficace ? Une chose est sûre, le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, ne laisse personne indifférent. Rencontre avec un personnage atypique, industriel prospère et président de l’un des meilleurs clubs de football du continent, qui affirme ne pas nourrir d’ambitions nationales.
Le chef rebelle et ancien général de l’armée congolaise Bosco Ntaganda, surnommé « Terminator », a été présenté, mardi 26 mars, devant la Cour pénale internationale (CPI) pour une comparution préliminaire. L’audience de confirmation des charges a été fixée au 23 septembre.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, et l’actrice américaine Angelina Jolie ont entamé, lundi 25 mars, une visite au Rwanda et en RDC pour attirer l’attention sur le problème des viols en temps de guerre.
Le 23 mars, un groupe de miliciens « Kata Katanga » est entré à Lubumbashi, occasionnant des accrochages avec les forces de l’ordre au centre-ville, avant de se réfugier au camp de la Mission onusienne sur place. Les autorités de la province du Katanga les ont transférés, le 25 mars, à Kinshasa. L’incident laisse néanmoins plusieurs zones d’ombre.
Le Mouvement du 23-Mars (M23), principale rébellion qui sévit au Nord-Kivu depuis avril 2012, est loin d’être le seul groupe armé actif dans la partie est de la République démocratique du Congo (RDC). On y retrouve au total une trentaine de milices, structurées ou non, selon les sources de la mission onusienne sur le terrain. Aperçu.
Un sommet des chefs d’État du Congo, de l’Ouganda, du Rwanda et de la République démocratique du Congo s’est ouvert dimanche à Oyo, la ville natale du président congolais Denis Sassou Nguesso, pour discuter de la situation dans l’est de la RDC en proie aux troubles.
Cinq personnes dont quatre membres des forces de l’ordre ont été tuées samedi lors d’affrontements entre un groupe armé local dénommé Maï Maï et des soldats de l’armée congolaise, a annoncé à l’AFP un porte-parole militaire à Lubumbashi (sud).
Le chef rebelle Bosco Ntaganda, soupçonné d’atrocités en RDCongo en 2002 et 2003, est arrivé vendredi soir au centre de détention de la CPI après avoir quitté le Rwanda en début d’après-midi, sa première comparution à La Haye ayant déjà été fixée à mardi.
Les prêtres africains viennent de plus en plus nombreux à la rescousse de l’Église de France. Ils sont aujourd’hui plus de 900 à être présents dans les paroisses de l’Hexagone, tentant d’apporter un souffle nouveau à un clergé vieillissant. À l’image du missionnaire d’origine congolaise, Père Arnaud Goma, qui célèbre la « messe autrement » à Paris.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) a affirmé, vendredi 22 mars, avoir déjoué un complot contre le président Joseph Kabila au début de février. Deux personnes en possession d’armes ont été arrêtées.
Vendredi 22 mars vers 14 heures locales, l’ancien chef rebelle et ex-général de l’armée congolaise Bosco Ntaganda a décollé de l’aéroport de Kigali. Direction : La Haye, aux Pays-Bas, où il doit comparaître devant la Cour pénale internationale (CPI) mardi 26 mars.
D’après la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, le chef rebelle congolais Bosco Ntaganda, qui s’est livré lundi 18 mars à l’ambassade des États-Unis au Rwanda, sera transféré à la Haye « dans les deux jours ». Il est accusé de divers crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, commis entre septembre 2002 et septembre 2003 dans l’Ituri (nord-est de la RDC).
Spécialiste de l’huile de palme, Raymond Batanga participe à la renaissance agricole du géant d’Afrique centrale en tant que directeur opérationnel de Feronia. Pour cela, il replante à tour de bras.
La reddition à l’ambassade des États-Unis du Rwanda du général rebelle congolais Bosco Ntaganda, lundi 18 mars, a surpris tout le monde. La Cour pénale internationale (CPI) demande désormais son transfert « immédiat » à La Haye, afin de pouvoir le juger.
Entêté, isolé, mais encore populaire, Étienne Tshisekedi est à la tête d’un parti déchiré. Rencontre avec un homme qui, plus de un an après l’élection, se considère toujours comme le vrai président élu de la République démocratique du Congo.
Le général congolais Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI), « s’est rendu à l’ambassade des États-Unis » à Kigali lundi 18 mars, selon le gouvernement rwandais. Washington a confirmé l’information.
Moïse Katumbi, gouverneur de la riche province congolaise du Katanga, est un personnage atypique qui ne laisse personne indifférent. Métis, industriel prospère, président d’un des meilleurs clubs de football du continent (le fameux TP Mazembe), il assure à « Jeune Afrique » n’avoir aucune ambition politique au niveau national. Une interview à retrouver dans le J.A. n° 2723, en kiosques du 17 au 23 mars.
Le général rebelle Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité et qui se cachait dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), est passé au Rwanda, selon le gouvernement congolais qui a demandé à Kigali de ne pas le protéger.
La faction de la rébellion du M23, dirigée par le général Sultani Makenga, a annoncé samedi la fin de son offensive lancée il y a une semaine contre sa rivale dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
La faction rebelle du Mouvement du 23-Mars (M23), tendance pro-Sultani Makenga, affirme ne pas avoir connaissance d’un quelconque projet d’accord avec Kinshasa qui pourrait déboucher sur l’intégration de ses hommes dans l’armée régulière congolaise. La signature d’un tel compromie était attendue pour le 15 mars, sanctionnant ainsi les pourparlers de Kampala.
Le championnat de RDC devait débuter dans le courant de février, mais les clubs congolais ne voient rien venir. Une situation embarrassante pour Lamine N’Diaye, l’entraîneur sénégalais du TP Mazembe. Car les Corbeaux, qui ont remporté l’édition 2012, doivent entamer le 16 mars prochain leur parcours en Ligue des Champions face à Mochudi Center Chiefs FC (Botswana), à Gaborone.