Les chefs d’Etat africains réunis samedi à Kampala pour un sommet consacré au conflit dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) ont demandé aux rebelles de cesser les hostilités et de se retirer de Goma « d’ici 48 heures ».
L’offensive des rebelles du M23 a marqué le pas vendredi autour de Sake, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), après l’échec d’une contre-offensive de l’armée ayant poussé des milliers de civils à fuir, alors qu’un sommet régional est prévu samedi à Kampala. Des dizaines de civils congolais ont été évacués par pont aérien des territoires tenus par la rébellion de M23 dans l’est de la RDC, a également annoncé vendredi l’ONU à New York.
Plusieurs milliers de femmes sont descendues dans les rue de Kinshasa, ce vendredi 23 novembre, pour exprimer leur colère après la prise de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu (Est), par les rebelles du M23, trois jours auparavant. Ces manifestations avaient pour cible principale la Monusco.
En quittant la ville de Goma, entre le 20 et le 21 novembre, sous la poussée des rebelles du M23, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont laissé derrière elles de nombreuses armes et munitions. Y compris des canons. Diaporama.
L’ONU a indiqué qu’elle envisageait d’utiliser des drones pour la première fois afin de surveiller l’est de la RDC, où la rébellion du M23 a lancé son offensive. Des responsables des Nations unies ont pris contact avec les gouvernements congolais et rwandais.
Les longs-métrages traitant des enfants-soldats ne sont pas légion. D’autant qu’ils ont rarement les faveurs des salles obscures et du box-office. « Rebelle », du canadien Kim Nguyen, au cinéma en France le 28 novembre, pourrait faire exception. Cette aventure humaine à travers les affres d’une rébellion d’Afrique centrale se confronte au public parisien avant de représenter le Canada aux Oscars.
L’avancée du Mouvement du 23 mars (M23) vers vers Bukavu est toujours stoppée, vendredi 23 novembre, au niveau de la ville de Saké, à une trentaine de kilomètres de Goma. Les rebelles congolais ont réclamé une nouvelle fois, jeudi 22 novembre, un dialogue avec le président Joseph Kabila.
Le général Gabriel Amisi, chef d’état-major de l’armée de terre de la République démocratique du Congo (RDC), a été suspendu de ses fonctions, jeudi 22 novembre, par le gouvernement congolais. Un rapport de l’ONU l’accuse d’être impliqué dans un trafic d’armes.
Un mois après le passage de François Hollande à Kinshasa, le Premier ministre congolais Augustin Matata Ponyo, en visite à Paris, s’est employé à décrisper l’atmosphère.
Les combats ont repris jeudi 22 novembre à Saké, localité conquise la veille par les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23). Les forces loyalistes, appuyées par une milice locale maï-maï, ont lancé une offensive contre ces derniers. Une reprise des hostilités qui stoppe l’avancée de la rébellion vers Bukavu, capitale du Sud-Kivu.
Le rapport final de l’ONU sur la RDC, publié le 21 novembre, ne va pas arranger les affaires de l’armée congolaise. Menée par des experts indépendants, l’enquête révèle ainsi que le général Amisi, chef d’état-major des forces terrestres, dirigerait en sous-main un réseau de vente d’armes destinées aux mouvements rebelles de l’est de la RDC. Une accusation qui pourrait fragiliser un peu plus le président Kabila.
Joseph Kabila, Paul Kagamé, Yoweri Museveni. Les présidents de la République démocratique du Congo (RDC), du Rwanda et de l’Ouganda étaient réunis mercredi 21 novembre à Kampala pour sommer les rebelles du M23 de se retirer de Goma. La principale ville de l’est de la RDC est tombée mardi aux mains de la rébellion, qui exige que Kabila quitte le pouvoir.
Au lendemain de la prise de Goma, le M23 a convié les éléments des FARDC encore présents dans la ville à se rendre et à intégrer la rébellion. Plus de 2 000 soldats loyalistes et 700 policiers auraient déjà répondu à l’appel, selon le mouvement qui prétend désormais vouloir « aller libérer Kinshasa ».
Il n’aura fallu que quelques heures de combats, mardi 20 novembre, pour que les rebelles du M23 prennent le contrôle total de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu. Sous l’oeil des soldats de la Monusco.
Pour la douzième fois de son histoire, le TP Mazembe est champion de RDC après le refus de l’AS Vita Club de se déplacer à Lubumbashi, dimanche 18 novembre. L’occasion pour Lamine N’Diaye (56 ans), l’entraîneur des Corbeaux, de faire le bilan de la saison, et d’évoquer son avenir.
Ils ont été héros, martyrs et parfois bourreaux… Les années ont passé, leurs épouses leur ont survécu. Habituées aux ors des palais, les anciennes premières dames d’Afrique ont dû apprendre à vivre loin des projecteurs, avec un nom souvent lourd à porter.
La situation est confuse à Goma, capitale du Nord-Kivu (est de la RDC), où la rébellion du M23 prétend avoir pris le contrôle d’au moins une partie de la ville. L’armée congolaise semble avoir abandonné ses positions. Suivez l’évolution des événements en direct.
Vingt-quatre heures après l’offensive sur Goma, les rebelles du M23 ont pris le contrôle, mardi 20 novembre, de l’aéroport et d’une grande partie de la capitale du Nord-Kivu. Le gouverneur de la province, Julien Paluku, dit craindre « le massacre sélectif de personnalités proches du pouvoir de Kinshasa » par les nouveaux maîtres de la ville.
La situation est extrêmement confuse à la périphérie de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu, où les combats entre les FARDC et le M23 ont repris lundi 19 novembre, après une trève de moins de 24 heures. En position de force aux portes de la ville, les rebelles veulent l’ouverture de négociations. Une proposition que rejette Kinshasa qui accuse le Rwanda d’agression.
À la suite d’une grande offensive durant le week-end, les rebelles du M23 sont arrivés à 5 km du centre de Goma, où les scènes d’exode se multiplient. Les mutins menacent de prendre complètement la ville si les FARDC les attaquent et si leurs exigences ne sont pas satisfaites.
Militaires, autorités et civils congolais ont commencé dimanche à fuir Goma, la capitale régionale du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) étant aux portes de la ville, a-t-on appris de sources concordantes.
La rébellion du Mouvement du 23 mars (M23) a « mis en garde » dimanche la Mission de l’ONU pour la stabilisation de la République démocratique du Congo (Monusco), lui intimant de cesser de soutenir l’armée régulière dans les combats qui font rage dans l’est du pays, et menaçant d’une riposte.
Les combats ont repris samedi matin entre l’armée et la rébellion Mouvement du 23 mars (M23) à Kibumba, une localité de l’est de la République démocratique du Congo frontalière du Rwanda, a-t-on appris samedi auprès des belligérants et de la société civile.
Selon le rapport 2012 de l’ONU sur l’état de la population mondiale, les investissements dans la planification familiale représentent un énorme avantage économique pour l’Afrique. Un constat qui n’est pas inédit. Pourtant, les États semblent peu pressés de s’y mettre.
Après cinq émissions, lâché par son sponsor, le producteur et animateur congolais a dû suspendre « Tout est possible ». Mais la star du petit écran n’a pas dit son dernier mot.
La trêve relative observée par le M23 et les FARDC depuis trois mois a volé en éclats, jeudi 15 novembre au matin. D’après le gouverneur de la province du Nord-Kivu, les combats ont fait 113 morts parmi les rebelles.
À l’occasion de sa visite en France, du 14 au 16 novembre, le Premier ministre congolais Augustin Matata Ponyo tente de rassurer les investisseurs potentiels, notamment en minimisant les tensions entre Kinshasa et Paris. Pendant ce temps, la crise continue au Nord-Kivu, et les crispations ethniques s’intensifient dans la région du Masisi.
Les États-Unis ont annoncé, mardi 13 novembre, qu’ils plaçaient Sultani Makenga, chef des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23), sur leur liste noire pour son implication dans le conflit en République démocratique du Congo (RDC).
Économie, sécurité et démocratie sont les trois thèmes autour desquels s’articule la visite d’État en France du Premier ministre congolais, Augustin Matata Ponyo, du 14 au 16 novembre. Détails des rencontres officielles prévues.