Le journaliste et écrivain français Christophe Boltanski a passé une nuit dans l’AfricaMuseum de Tervuren. Une nuit parmi les fantômes du roi Léopold II de Belgique qui lui a inspiré « King Kasaï », un texte puissant sur la colonisation.
Proche de Joseph Kabila autant que de Félix Tshisekedi, l’ancien président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) franchit le Rubicon et entre en politique. Il en explique les raisons en exclusivité à Jeune Afrique.
Successeur du Camerounais John Nkengasong à la tête de l’agence de l’Union africaine, le médecin congolais a brièvement joué les intermédiaires entre le chef de l’État et son prédécesseur en 2020.
La RDC va affronter la Mauritanie à deux reprises en mars, en matchs de qualification pour la CAN 2024. Mais le choix du stade où les Léopards doivent accueillir les Mourabitounes tourne à l’imbroglio. Explications.
Corruption, contrats défavorables, imbroglios judiciaires… La Gécamines cherche à rompre avec son passé. Si le président Tshisekedi et la nouvelle direction générale s’évertuent à redresser l’entreprise publique, les obstacles restent nombreux.
L’emblématique club de foot de Lubumbashi, qui appartient à l’opposant Moïse Katumbi, a failli ne pas pouvoir disputer un match en Tanzanie. La faute, selon son manager, à la puissante Agence nationale de renseignement.
Dans une partie encore confidentielle de l’audit remis au président Félix Tshisekedi, Jules Alingete Key, le patron de l’Inspection générale des finances, détaille les exigences de l’institution pour rétablir l’équité entre les intérêts congolais et chinois. Explications.
Star internationale des poids super-lourds, le Congolais Martin Bakole a-t-il menti pour obtenir le soutien financier des autorités de RDC ? Il s’en défend, mais se retrouve au cœur d’une vive polémique.
La présidentielle en RDC pourra-t-elle se tenir le 20 décembre 2023 ? Les opérations d’enrôlement des électeurs dans les provinces du Nord-Kivu, de l’Ituri et du Sud-Kivu ont démarré, ce jeudi, dans des conditions très délicates, dans une région infestée de groupes armés.
Depuis son lancement en RDC, la force régionale pâtit d’un manque de budget. Alors que la Communauté d’Afrique de l’Est souhaite accélérer son déploiement, le personnel civil hausse le ton.
Si plus d’un demi-millier de prisonniers de l’établissement pénitencier congolais ont bénéficié d’une libération conditionnelle, le problème de la surpopulation carcérale est loin d’être résolu.
En décrétant que le plus grand stade du pays, sis à Kinshasa, n’est pas, contrairement à celui de Lubumbashi, en mesure d’accueillir des rencontres panafricaines, la CAF a mis le doigt dans une querelle bien plus politique qu’il n’y paraît, en pleine année électorale.
Les chefs d’état-major de l’EAC s’étaient donné rendez-vous au Kenya, cinq jours après le sommet de Bujumbura et alors que les combats entre l’armée congolaise et le M23 se poursuivent, pour tenter de donner un second souffle à la force régionale.
En RDC, à l’approche du scrutin présidentiel de décembre, les (très nombreux) prétendants persisteront-ils à agir en solo ou joueront-ils la carte de la candidature unique ?
Alors que le sentiment d’hostilité à l’égard de la mission des Nations unies ressurgit dans l’est de la RDC, une fausse vidéo partagée sur les réseaux sociaux entretient la confusion.
Dans un contexte de contestation grandissante contre les forces régionale ou internationale d’intervention dans l’est du pays, un convoi de la Monusco a de nouveau été attaqué près de Goma.
Près d’un an après son adhésion à la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), la RDC reste engluée dans un conflit avec les rebelles du M23. Entre impasse diplomatique, poursuite des combats et tensions autour de la force régionale, le président congolais n’a que peu d’options.
De l’éducation au e-commerce en passant par les cryptomonnaies, ces cinq entrepreneurs de la tech contribuent à moderniser l’économie de leur pays. Malgré une certaine timidité des investisseurs, ils bénéficient d’un contexte légal de plus en plus favorable.
Les dirigeants des pays de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC), réunis ce samedi en sommet extraordinaire au Burundi pour discuter de la situation sécuritaire dans l’est de la RDC, ont appelé à un « cessez-le-feu immédiat de toutes les parties » et à un retrait de tous les groupes armés, « y compris les étrangers ».
Les dirigeants des pays de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC) sont réunis ce samedi en sommet extraordinaire à Bujumbura pour discuter de la situation sécuritaire dans l’est de la RDC.
Longtemps, le diamant a fait de la capitale du Kasaï-Oriental un poumon économique de la RDC. Mais le secteur s’est effondré, laissant les habitants de la ville dans le désarroi. Alors que Félix Tshisekedi vient d’annoncer des mesures de relance, ils espèrent voir revenir le faste d’antan.
Mupompa ne figure sur aucune carte. Situé au cœur du fief électoral du président congolais, à la frontière entre le Kasaï-Oriental et le Kasaï-Central, c’est le village d’origine de la famille Tshisekedi. Reportage.
Le chef de l’Église catholique a appelé les Congolais à « être des acteurs » de l’avenir de leur pays. Il se rend ce 3 février à Djouba, où il rencontrera notamment le président Salva Kiir.
La Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) exige de la RDC « des clarifications urgentes » après que Kinshasa a annoncé le départ « pour raisons sécuritaires » des officiers rwandais présents dans le commandement de la force régionale.
Région d’origine de Félix Tshisekedi, candidat à sa propre succession, le Kasaï jouera un rôle-clé lors de la présidentielle de décembre prochain. De Kananga, fief de l’UDPS, à Mbuji-Mayi, la capitale du diamant, en passant par Mupompa, le village du chef de l’État, Jeune Afrique vous emmène sur ces terres autrefois contestataires.
Le Kasaï-Central et le Kasaï-Oriental sont les provinces d’origine du chef de l’État congolais et son bastion électoral. Mais le désenchantement y est palpable. Félix Tshisekedi y fera-t-il le plein de voix à la présidentielle du 20 décembre ?
Le souverain pontife a lancé, ce 1er février à Kinshasa, un « vibrant appel » face aux « cruelles atrocités » perpétrées dans l’Est de la RDC, après avoir célébré une messe pour un million de personnes.