La rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) a nié être responsable de la mort de 400 civils dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), et accusé les armées ougandaise, du Sud-Soudan et de RDC d’avoir « bombardé » ces populations.
La rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) a nié mardi être responsable de la mort de 400 civils dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), et accusé les armées ougandaise, du Sud-Soudan et de RDC d’avoir « bombardé » ces populations.
La rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) a tué plus de quatre cents civils dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC) pendant et après les fêtes de Noël, a annoncé à Kinshasa l’ONG catholique Caritas.
La République démocratique du Congo (RDC) veut « détruire » les rebelles ougandais de la LRA (Armée de résistance du Seigneur) réfugiés sur son sol et dont les récentes atrocités contre les civils congolais ont été condamnées « avec force » par l’Onu.
La rébellion ougandaise de la LRA (Armée de résistance du Seigneur) a tué ces derniers jours près de deux cents personnes dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), a affirmé une agence des Nations unies.
Matamba Postolo, champion congolais de boxe dans la catégorie des poids lourds, affronte, mardi au stade de la Kenya, à Lubumbashi, l’Américain Derick Amos, dans un combat pour l’octroi du titre mondial de la catégorie, a appris APA auprès de la Division provinciale des Sports et Loisirs du Katanga, en RD Congo.
L’Opérateur économique Rashid Ibrahim, basé à Lubumbashi, et président de la communauté libanaise de la province du Katanga en RDC a démenti les informations diffusées par des médias étrangers selon lesquelles quelques uns de ses compatriotes auraient été assassinés durant les fêtes de Nöel.
Un forum de deux jours des rois, sultans, princes, cheiks et chefs coutumiers africains s’est ouvert à Kinshasa en vue de réfléchir sur leur apport dans la résolution du conflit à l’Est de la RDC.
Médecins sans frontières (MSF) a enregistré deux nouveaux décès, portant le bilan à 11 personnes tuées par le virus Ebola qui touche depuis fin novembre le centre de la République démocratique du Congo (RDC), a annoncé un porte-parole de l’ONG.
Les avocats inscrits au barreau de Lubumbashi, deuxième de la République démocratique du Congo (RDC) après Kinshasa, la capitale, ont été invités à éviter tout comportement scandaleux de nature à ternir l’image de leur corporation.
Une nouvelle épidémie d’Ebola s’est déclarée dans le centre de la République démocratique du Congo (RDC), faisant neuf morts et 21 malades recensés, a indiqué la radio Okapi, citant le ministre congolais de la Santé, Augustin Mopipi.
Le chef rebelle du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), Laurent Nkunda, a accusé les troupes de l’armée congolaise de « violer le cessez-le-feu » et appelé l’ONU à obtenir leur retrait des zones dont le CNDP s’est désengagé sur le front de Goma (est).
Le chef rebelle du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), Laurent Nkunda, a accusé les troupes de l’armée congolaise de « violer le cessez-le-feu » et appelé l’ONU à obtenir leur retrait des zones dont le CNDP s’est désengagé sur le front de Goma (est).
Le chef de la rébellion congolaise, Laurent Nkunda, a réclamé une intervention de l’ONU pour obtenir un retrait des troupes de l’armée congolaise sur une ligne de front près de Goma (est), où soldats gouvernementaux et rebelles se font face dans un climat tendu.
L’armée de République démocratique du Congo (RDC) a haussé le ton mardi, accusant la rébellion du général déchu tutsi congolais Laurent Nkunda d' »avancer » vers ses positions dans l’est du pays, mettant en garde contre le « risque d’affrontement imminent ».
Le chef rebelle congolais du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), Laurent Nkunda, a affirmé mardi que les fêtes de fin d’année seraient « un moment tranquille », alors que l’armée de la République démocratique du Congo (RDC) dit craindre une reprise des hostilités.
La crise financière internationale et l’aggravation du conflit dans les provinces orientales sont les deux grands chocs ayant ébranlé l’économie de la République démocratique du Congo (RDC), a indiqué une délégation du Fonds monétaire international (FMI), dans une déclaration rendue publique à Kinshasa, à l’issue d’une mission de 10 jours dans ce pays.
Le président ougandais Yoweri Museveni a affirmé lundi que les attaques contre la rébellion de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) étaient un succès, alors qu’un porte-parole de la LRA soulignait que sa direction était intacte et souhaitait reprendre les pourparlers de paix.
Des représentants du gouvernement de Kinshasa et des rebelles congolais doivent reprendre les négociations le 7 janvier à Nairobi, où aucune déclaration commune de cessation des hostilités n’a été signée, ont indiqué dimanche des médiateurs.
80 % des cas connus de viol et de violences sexuelles commises contre les femmes à l’Est de la RDC seraient commis par des hommes en uniforme, a appris APA, samedi de bonne source.