La reprise post-Covid de la RDC se confirme avec une croissance de 6,6 % en 2022. Le Fonds monétaire international a souligné cette performance et s’est engagé à décaisser 200 millions de dollars supplémentaires pour soutenir Kinshasa.
Alors que la COP27 de Charm el-Cheikh vient de s’achever, la ministre congolaise de l’Environnement revient sur les enjeux relatifs à l’exploration pétro-gazière dans le bassin du Congo, pour The Africa Report/Jeune Afrique.
Alors que les premiers contingents kényans de la force régionale sont arrivés à Goma, le président français plaide en coulisses pour que l’Union européenne leur apporte un soutien financier.
Plusieurs initiatives diplomatiques ont été lancées pour faire taire les armes. Le président kényan William Ruto doit s’entretenir ce 21 novembre à Kinshasa avec son homologue congolais Félix Tshisekedi.
Le président congolais reste sur une ligne dure face au Rwanda, qu’il accuse de soutenir le M23. Pour gérer ce dossier hautement sensible, il compose depuis des mois avec un entourage où se côtoient des partisans d’une position ferme et d’autres, favorables à une posture plus ouverte vis-à-vis de Kigali.
Depuis la reprise des combats, le 20 octobre, la ligne de front n’a cessé de se rapprocher du chef-lieu du Nord-Kivu. Alors que le dialogue avec les groupes armés doit reprendre à Nairobi dans moins d’une semaine, jusqu’où iront les rebelles ?
Comme d’autres accusés, le jeune Congolais soupçonné d’avoir tué Luca Attanasio et deux autres personnes, en février 2021, a protesté de son innocence devant le tribunal militaire qui juge l’affaire à Kinshasa.
Kinshasa reproche à l’ONU de l’avoir placé sur « une liste noire » qui l’empêcherait de s’armer pour lutter contre les groupes rebelles. Mais qu’en est-il réellement, alors que le M23 est désormais à une quinzaine de kilomètres de Goma ? JA tente de démêler le vrai du faux.
Révolutionner les universités et éradiquer « les cantines à diplômes à tout prix ». C’est l’objectif que s’est fixé le ministre congolais, malgré la grogne des enseignants.
Deux mois après avoir été contraint à la démission, l’ancien conseiller spécial de Félix Tshisekedi a comparu ce lundi 14 novembre. Piégé par de faux investisseurs, il est accusé de « corruption passive », de « trafic d’influence » et d’« offense au chef de l’État ».
Après une première tentative en avril, un second round de négociations doit s’ouvrir prochainement dans la capitale kényane pour tenter de résoudre le conflit lié à la résurgence de la rébellion du M23 dans l’est de la RDC.
L’armée congolaise et les rebelles du M23 continuaient de s’affronter ce vendredi dans l’est du pays, tandis que le président angolais, João Lourenço, attendu ce samedi à Kinshasa, arrivait au Rwanda pour rencontrer Paul Kagame. Et que des soldats kényans étaient dépêchés en renfort.
Alors que la tension reste forte depuis la reprise des combats entre le M23 et l’armée congolaise, le président bissau-guinéen s’apprête à se rendre à Kinshasa et Kigali.
Les pourparlers doivent reprendre le 16 novembre à Nairobi, et les rebelles espèrent toujours contraindre le gouvernement à leur faire une place à la table des négociations. Mais pour le moment, Félix Tshisekedi dit non.
C’est une investigation menée par un journaliste indépendant qui a révélé l’existence d’un système pédocriminel. La Fédération congolaise de football a annoncé l’ouverture d’une enquête.
L’appareil vient d’être déployé dans l’est du pays dans le cadre de la lutte contre le M23. Alors que les relations entre Kinshasa et Kigali sont particulièrement tendues, il s’est brièvement posé à Rubavu, du côté rwandais de la frontière.
Dans un courrier adressé le 4 novembre à son homologue congolais, le ministre des Affaires étrangères proteste contre « le harcèlement croissant de Rwandais vivant en RDC ». Deux personnalités seraient incarcérées dans les locaux des services de renseignement.
Des centaines de jeunes Congolais se sont portés volontaires pour s’enrôler dans l’armée et combattre les rebelles du M23 qui gagnent du terrain dans l’est de la RDC.
Manque de financements pour lutter contre le réchauffement climatique, droit souverain au développement, exploitation pétrolière… Le négociateur de la RD Congo sur les questions de climat est le Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique au moment où s’ouvre la COP27 en Égypte.
Le ministre congolais de la Communication précise la position de Kinshasa dans la nouvelle crise avec le Rwanda. Et revient notamment sur l’appel de Félix Tshisekedi à la mobilisation de la jeunesse et à l’enrôlement dans l’armée pour combattre le M23.
Dans une allocution télévisée, le président congolais a appelé ce jeudi 3 novembre la jeunesse de son pays à « s’organiser en groupes de vigilance » face au M23 qui, a-t-il réaffirmé, bénéficie de « l’appui du Rwanda ».
Deux jours après avoir quitté Kinshasa à la suite de son renvoi du pays, le désormais « ex- » ambassadeur du Rwanda en RDC s’exprime sur la crise entre les deux voisins.
Pendant que les combats entre les rebelles du M23 et l’armée congolaise se multiplient ces derniers jours, un ballet diplomatique s’est engagé en coulisses afin de tenter de rouvrir les discussions entre les présidents congolais et rwandais.
Acquitté en juin dernier, l’ancien directeur de cabinet du chef de l’État est au centre de l’attention. S’il se dit en « convalescence politique », il rêve d’obtenir la primature… En attendant mieux ?
Risque de glissement du calendrier électoral, potentielles alliances, hypothétique dialogue… De passage à Paris, l’opposant, qui retentera sa chance lors des prochaines élections, s’est confié à Jeune Afrique. Rencontre avec un homme revanchard.
Les autorités congolaises, qui accusent Kigali de soutenir la rébellion du M23, ont décidé d’expulser Vincent Karega, l’ambassadeur du Rwanda, a fait savoir samedi soir le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya.
La rébellion du « Mouvement du 23 mars » a gagné du terrain samedi dans l’est du pays, conduisant la Mission de l’ONU à mobiliser les Casques bleus pour soutenir l’armée congolaise.
Les affrontements entre les forces armées congolaises et le mouvement rebelle, qui ont repris le 20 octobre au nord de Goma, se sont intensifiés le 27 octobre à proximité d’un axe stratégique de cette partie du pays.