Après l’annonce de leur « ticket », les opposants Vital Kamerhe et Félix Tshisekedi ont tour à tour lancé un appel du pied à Moïse Katumbi, l’un des poids lourds de l’opposition en RDC. Dans des confidences à Jeune Afrique, ce dernier leur oppose une fin de non-recevoir.
Le candidat commun de la coalition Lamuka, Martin Fayulu, a révélé le 26 novembre la liste de son « état-major » de campagne. On y retrouve ses proches mais surtout des lieutenants de Jean-Pierre Bemba et de Moïse Katumbi, ses principaux alliés. Zoom sur le dispositif.
Les observateurs de l’Union européenne (UE) n’ont pas été invités à superviser les élections cruciales prévues en République démocratique du Congo le 23 décembre, à la différence de leurs collègues de l’Union africaine (UA), a-t-on appris lundi.
Dans un communiqué daté du 19 novembre mais publié une semaine plus tard, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine demande la levée des sanctions internationales, celles de l’UE en particulier, qui frappent Emmanuel Ramazani Shadary, candidat de la coalition au pouvoir à la présidentielle en RDC.
L’ambassade américaine à Kinshasa a déclaré dans un communiqué avoir reçu des informations sur une « possible menace terroriste » contre ses installations en République démocratique du Congo, à quatre semaines de la présidentielle.
L’héritier désigné du président Joseph Kabila, Emmanuel Ramazani Shadary, a lancé sa campagne en assistant à une messe dans la cathédrale de Kinshasa, samedi, à quatre semaines de l’élection présidentielle du 23 décembre en République démocratique du Congo.
Martin Fayulu a réuni plusieurs milliers de partisans lors de son retour à Kinshasa, le 21 novembre. Et celui que ses amis qualifient de « gardien du temple » revendique haut et fort sa constance comme premier argument électoral.
Tournant le dos aux autres leaders de l’opposition, Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe ont décidé d’unir leurs forces en vue de la présidentielle du 23 décembre. Enquête sur les coulisses d’une alliance.
Vital Kamerhe et Félix Tshisekedi, deux candidats en lice pour la présidentielle en RDC, ont conclu un accord de coalition le 23 novembre à Nairobi. Le premier, qui se retire de la course présidentielle au profit du second, en explique les raisons à Jeune Afrique.
Sept nouveaux cas de fièvre hémorragique ont été enregistrés dans l’est de la République démocratique du Congo où l’épidémie de la maladie à virus Ebola a déjà fait 222 morts depuis le début de l’épidémie, selon le ministère congolais de la Santé dans un bulletin publié jeudi 22 novembre.
Les chefs des diplomaties congolaise et émiratie ont signé, en début de semaine à Abou Dhabi, un accord d’exemption réciproque de visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques. Une étape de plus dans le rapprochement entre les deux pays.
Le dauphin de Joseph Kabila, candidat à l’élection présidentielle du 23 décembre en RDC, a été reçu par Hage Geingob, chef de l’État namibien et président en exercice de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), le 14 novembre à Windhoek.
L’opposition congolaise a été autorisée à manifester mercredi 21 novembre à Kinshasa pour accueillir un de ses candidats à la présidence de la République, Martin Fayulu, a-t-on appris mardi de source officielle.
À Yaoundé, l’avocat de Zogo Andela, a ôté sa robe en pleine audience et refusé de plaider ; à Kinshasa, le chef du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo écrit au président de l’Assemblée nationale… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
À quarante-huit heures du lancement de la campagne électorale en RDC, Seth Kikuni, l’un des 21 candidats en lice pour la présidentielle du 23 décembre, a demandé ce mardi à la Ceni de reporter le scrutin.
À trois jours du coup d’envoi officiel de la campagne électorale pour le triple scrutin (présidentiel, législatif et provincial) en RDC, Emmanuel Ramazani Shadary, dauphin du président sortant Joseph Kabila, a dévoilé lundi 19 novembre son programme, qu’il chiffre à 86 milliards de dollars.
Conclu le 11 novembre, l’accord autour d’une candidature unique pour la présidentielle du 23 décembre aura tenu moins de vingt-quatre heures. Retour sur un fiasco.
Dix-sept militants pro-démocratie de « Vigilance citoyenne » ont été remis en liberté provisoire le 18 novembre en RDC, où une ONG britannique contre la torture s’est alarmée des conditions de détention d’activistes entre 2005 et 2017.
L’armée congolaise et la force des Nations unies au Congo mènent depuis deux jours une opération militaire conjointe, avec des frappes aériennes, contre les rebelles ougandais du groupe armé ADF qui sème la terreur dans l’est de la République démocratique du Congo à l’approche des élections du 23 décembre.
Katanga Mining, filiale de Glencore, a suspendu les exportations de cobalt de la mine de Kamoto, le niveau de radioactivité détecté étant supérieur à la limite acceptable pour transiter par les principaux ports africains.
La star de la musique congolaise Fally Ipupa, empêché de chanter en France en 2017 sous la pression d’opposants anti-Joseph Kabila, a souhaité « bonne chance » au candidat de l’opposition Martin Fayulu pour l’élection présidentielle en République démocratique du Congo.
La Fondation Kofi Annan, facilitatrice des pourparlers de Genève portant sur le choix du candidat commun, vient de publier la « lettre d’engagement » des sept leaders de l’opposition congolaise. Ces derniers s’étaient tous engagés à se retirer de la vie politique en cas de non-respect de l’accord.
24 heures seulement après sa signature à Genève, l’ « accord de coalition » sur une candidature commune de l’opposition a volé en éclats lundi 12 novembre. Mais que prévoyait-il ? Jeune Afrique vous livre en exclusivité le document.
Au lendemain du choix du candidat commun de l’opposition à Genève, Félix Tshisekedi, leader de l’UDPS, et Vital Kamerhe ont annoncé le 12 novembre le retrait de leur signature de l’accord de coalition conclu avec les cinq autres leaders de l’opposition. Adolphe Muzito et Freddy Matungulu ont, eux, réaffirmé leur soutien à Martin Fayulu.
Le président Joseph Kabila n’a pas reçu le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des opérations de maintien de la paix ni le directeur général de l’OMS, en visite en République démocratique du Congo la semaine dernière.
Réunis depuis le 9 novembre à Genève, en Suisse, les sept principaux leaders de l’opposition congolaise sont finalement parvenus à se mettre d’accord sur une candidature commune à la présidentielle du 23 décembre, au terme de longues tractations.
Six civils ont été tués dans deux attaques nocturnes attribuées aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) à Benij, dans l’est de la République démocratique du Congo, selon les autorités locales et des témoins.
Le chercheur américain, qui était jusque-là directeur d’Africa Center au sein de l’Atlantic Council – un think tank prorébulicain -, a été nommé envoyé spécial des États-Unis dans la région des Grands Lacs par le Département d’État américain, vendredi 9 novembre.
Esquisse de son programme, machine à voter, fichier électoral… Quelques jours avant sa désignation comme candidat commun de l’opposition pour la présidentielle du 23 décembre en RDC, Martin Fayulu répondait aux questions de Jeune Afrique.
Dix-sept membres d’un groupe armé ont été tués au Kasaï, dans le centre de la République démocratique du Congo, lors d’une opération militaire mercredi 7 novembre contre des milices se réclamant du chef rebelle Kamwina Nsapu tué en 2016.