Entre 1975 et 1979, des ingénieurs allemands ont tenté de faire décoller des fusées depuis le sol zaïrois. Le documentaire « Fly Rocket Fly », que JA a pu visionner en exclusivité, revient sur les coulisses de cette épopée baroque.
Le gouvernement congolais a annoncé fin juin qu’il ne s’opposerait pas à octroyer un passeport diplomatique à l’ancien vice-président Jean-Pierre Bemba, acquitté de crimes contre l’humanité et crimes de guerre par la CPI. D’après nos informations, la procédure avance.
Corneille Nangaa, le président de la commission électorale de la RDC, n’est pas épargné par les critiques, à moins de six mois du vote. Mais il promet un scrutin exemplaire.
Près de quatre mois après la présentation de son programme, l’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RDC, nomme 46 personnes au sein de son cabinet. Et se dit prêt pour les élections.
Le gynécologue congolais Denis Mukwege, plusieurs fois cité pour le prix Nobel, a invité dimanche ses compatriotes « à lutter pacifiquement » contre le régime du président Joseph Kabila plutôt que de miser sur les élections prévues le 23 décembre « dont on sait d’avance qu’elles seront falsifiées ».
Tharcisse Loseke, le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS)-Tshibala démissionne de ses fonctions, selon un courrier consulté par Jeune Afrique et adressé au Premier ministre, autorité morale de cette formation.
Annoncé comme une démonstration de force dans un contexte de tensions avec les pays voisins, le défilé militaire, initialement prévu ce samedi, jour de la commémoration de l’indépendance de la RDC, est annulé à Kinshasa.
Alors que Glencore vient de trouver un terrain d’entente avec ses deux principaux partenaires en RDC, la multinationale suisse pourrait être rattrapée par les compromis passés avec ses partenaires congolais.
John Dramani Mahama, ancien président du Ghana, sera l’invité d’honneur de Sultani Makutano, un forum annuel d’entrepreneurs de la RDC, prévu les 14 et 15 septembre à Kinshasa. Pourquoi ce choix et quelles sont les autres personnalités attendues ?
Avec un nombre record d’inscrits, dont 55,6 % sans empreintes digitales, et des doublons en pagaille, le processus d’enrôlement des électeurs a réservé quelques surprises au Sankuru, province du centre de la RDC.
Face aux irrégularités soulevées par la défense, la Cour suprême de justice a décidé de renvoyer au 10 octobre le procès de l’opposant Moïse Katumbi et de ses coaccusés dans l’affaire du recrutement de présumés mercenaires.
Le 27 juin s’ouvre devant la Cour suprême de justice de la RDC le procès de Moïse Katumbi dans l’affaire des mercenaires. L’occasion de faire le point sur tous les démêlés politico-judiciaires de l’opposant.
Candidat déclaré à l’élection présidentielle, Moïse Katumbi a annoncé son retour à Kinshasa entre le 24 juillet et le 8 août prochain. Sous le coup de poursuites judiciaires dans plusieurs dossiers, l’opposant congolais vit en exil depuis plus de deux ans.
Passé du pire criminel à la victime d’une injustice, ce poids lourds de la politique congolaise pourrait bien réussir un incroyable come-back sur la scène politique, et peut-être briguer la présidence en décembre.
Condamné dans une affaire de subornation de témoins, le sort judiciaire de Jean-Pierre Bemba devant la CPI sera définitivement fixé lors de l’audience du 4 juillet.
Jean-Pierre Bemba peut demander un passeport diplomatique pour rentrer en RDC après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI). Léonard She Okitundu, ministre congolais des Affaires étrangères, lui a signifié dans un courrier.
Hasard du calendrier : la semaine dernière, Moïse Katumbi était empêché de quitter la Belgique, tandis que Jean-Pierre Bemba y débarquait. Les deux politiciens congolais avaient-ils pour autant envie de partager un plat de moules-frites ?
Plusieurs responsables congolais sont désormais interdits d’entrée aux Etats-Unis pour des faits de corruption en lien avec le processus électoral en République démocratique du Congo. L’identité des responsables en question n’a pas été rendue public.
Afin de lutter contre la menace du virus Ebola en RDC, qui fait face à une épidémie depuis début mai, le Japon a octroyé le 21 juin un montant de 700 000 dollars au Fonds des Nations unies pour l’enfance.
Le président congolais Joseph Kabila va s’exprimer d’ici le 20 juillet devant le Parlement réuni en Congrès à un moment décisif de la préparation des élections prévues le 23 décembre, a indiqué mardi le président de l’Assemblée nationale.
Co-organisateur de la Semaine française de Kinshasa (SFK 2018), Ambroise Tshiyoyo, président de la Chambre de commerce et de l’industrie franco-congolaise, encourage les investisseurs français à venir en RDC, malgré un contexte politique tendu dans le pays. Entretien.
L’Assemblée nationale et le Sénat congolais sont convoqués en session extraordinaire mercredi 20 juin pour examiner, à la demande du président Joseph Kabila, une loi sur « le statut et la protection d’anciens présidents » de la République démocratique du Congo.
En dix années de procédure, la Cour pénale internationale a successivement condamné, acquitté puis libéré le Congolais Jean-Pierre Bemba. Les 5 000 victimes centrafricaines de ses miliciens, elles, attendent toujours réparation. Retour sur une affaire dont la CPI sort plus illisible que jamais aux yeux des Africains.
La justice congolaise a annoncé lundi l’ouverture d’une information judiciaire contre l’opposant en exil Moïse Katumbi, récemment interpellé à Bruxelles en possession d’un passeport litigieux. Ce dernier dénonce l’« instrumentalisation » des services de l’État.
Les rumeurs n’ont cessé de se propager ces dernières semaines autour du sort de Jonathan Seke Mavinga, directeur du Centre national de traitement de la Ceni en RDC. A-t-il démissionné de son poste ou a-t-il été contraint à le faire ? Et pourquoi ?
Au lendemain de la brève interpellation de Moïse Katumbi dans l’aéroport de Bruxelles-Zaventem, les autorités belges ont confirmé à Jeune Afrique que le passeport de l’opposant congolais avait bel et bien été falsifié. Il a désormais quinze jours pour régulariser sa situation.
Cible privilégiée du régime de Kinshasa, Moïse Katumbi a été brièvement interpellé jeudi 14 juin à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem car son passeport n’était pas en règle. Les autorités belges lui ont donné un titre de séjour provisoire pour régulariser sa situation.