Le président congolais s’est entretenu avec son homologue des Émirats arabes unis, Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyane. Au menu des discussions : des accords économiques, mais aussi l’épineux dossier libyen.
Le fils du président de la République du Congo, actuel ministre, souvent présenté comme le dauphin de son père, s’est fait cambrioler en son absence. Des espèces, mais aussi des documents ont été dérobés.
Émigré sénégalais d’origine mauritanienne, Yoro Thiam fut le témoin d’une entreprise coloniale broyeuse d’hommes : le Chemin de fer Congo-Océan. Avant de fonder, à Brazzaville, un port de pêche qui porte son nom.
Pour le FMI, les performances de Brazzaville sont globalement satisfaisantes, bien que les réformes structurelles aient connu des retards dans une conjoncture économique complexe. Les efforts sont donc à poursuivre.
Le Premier ministre congolais a pris la tête de la délégation dépêchée à Paris pour les obsèques de l’écrivain Henri Lopes, décédé le 2 novembre dernier en France.
Alors que Brazzaville semble garder la tête hors de l’eau, il reste pourtant fort à faire. C’est du moins ce qui ressort du dernier rapport de Moody’s Investors Service qui a maintenu la note du Congo à « Caa2 » avec une « perspective stable ».
Alors que la déforestation s’accélère et que le dérèglement climatique fait chaque jour plus de dégâts, le second Sommet des trois bassins forestiers a tenté de fédérer l’Afrique, l’Amazonie et l’Asie du Sud pour organiser leur survie. Décryptage des menaces qui pèsent sur la forêt du bassin du Congo en infographies.
Présent à Brazzaville lors du Sommet des trois bassins, Félix Tshisekedi avait soigneusement préparé sa venue afin d’éviter Paul Kagame, qui a finalement renoncé à venir. Et son discours pour le moins pugnace a agacé certains de ses pairs.
Les participants au sommet de Brazzaville consacré aux trois grands bassins forestiers tropicaux mondiaux ont constaté le besoin d’une plus grande collaboration internationale pour protéger la forêt, essentielle à la régulation du climat.
Le président congolais s’apprête à accueillir dix de ses pairs et de nombreuses personnalités internationales au Centre international de conférences de Kintélé, dans la banlieue de Brazzaville.
En s’offrant l’établissement après avoir repris la totalité des participations du groupe français dans sa filiale locale, Brazzaville, qui souhaitait avoir la mainmise sur le choix du futur repreneur, a jeté son dévolu sur le groupe bancaire BGFIBank. L’enseigne dirigée par le banquier Oyima rachète ainsi la totalité des actions de Société générale Congo.
Dans son dernier roman, « La Reine aux yeux de lune », l’écrivain retrace la courte existence de Kimpa Vita, figure anticolonialiste de l’ancien royaume Kongo, dont la mémoire se perpétue aux quatre coins du continent.
Le rappeur, auteur, compositeur, cinéaste rend hommage dans son livre « Juliette » à la chanteuse française Juliette Gréco. Et prêche, avec une ferveur intacte, le dialogue et le vivre-ensemble.
Saisi en juin 2020 dans le cadre du litige qui l’oppose à la société Commisimpex, l’avion présidentiel congolais va être mis en vente le 3 octobre prochain à Bordeaux.
De Denis Christel Sassou Nguesso à Jérémy Lissouba, en passant par Jean-Jacques Yhombi-Opango, au Congo, il n’est pas rare que les enfants inscrivent leurs pas dans ceux de leurs aînés. Rencontre avec cinq « héritiers », dont certains ont dévié du chemin paternel.
Expert auprès des pouvoirs publics, l’ingénieur est aussi le promoteur du Salon international des technologies de l’information et de l’innovation de Brazzaville, Osiane. Son credo : connecter son pays et la sous-région.
Le Congo a réussi son dernier examen de passage auprès du FMI, son économie redécolle, et, à deux ans et demi de la présidentielle, le chef de l’État a les mains libres – et du temps – pour se consacrer aux dossiers internationaux.
Le Congo a beau disposer de 10 millions d’hectares de terres arables, il importe 80% de ses besoins alimentaires. L’exécutif s’attèle donc à développer l’agriculture et à susciter des vocations.
Médiateur pour la Libye et les Grands Lacs, protecteur de la forêt tropicale… À deux ans et demi de la présidentielle, Denis Sassou Nguesso a les mains libres, et du temps, pour enchaîner les voyages diplomatiques.
Un an après sa nomination, le ministre congolais de l’Économie et des Finances dresse un premier bilan de son action. Au moment où le FMI confirme son soutien au programme en cours.
Un écosystème numérique est en train de se développer au Congo, stimulé par l’ouverture en septembre du Centre africain de recherche en intelligence artificielle. Unique établissement du genre sur le continent, il attire déjà les géants de la tech.
Deux ans après la création, à Brazzaville, de sa start-up spécialisée dans la livraison et l’e-commerce, l’ingénieur Jonathan Yanghat développe de nouvelles applications et étend ses services à Dakar, Kinshasa et, à partir d’octobre, Libreville. Portrait.
Du 4 au 23 septembre, la capitale congolaise accueille la dixième édition de la Rencontre internationale d’art contemporain, un rendez-vous unique en son genre en Afrique centrale.
Le Congo s’est résolu à diminuer de 30 % ses aides aux carburants, comme l’exigeait le FMI. Une manne que Brazzaville devrait investir dans les dépenses sociales.
Depuis plus de dix ans, l’environnement et le développement durable sont une composante essentielle de la diplomatie congolaise. Retour sur les principaux enjeux, à quelques semaines du Sommet des trois bassins forestiers tropicaux, qui se tiendra à Brazzaville du 26 au 28 octobre.