Cinquante-et-un corps de civils ont été comptabilisés lundi à Beni, selon un nouveau bilan de la société civile, après un massacre attribué par l’armée à des rebelles ougandais dans la nuit de samedi à dimanche dans cette ville de l’est de la République démocratique du Congo.
Au moins 42 civils, selon un nouveau bilan officiel, ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche à Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, un massacre attribué par l’armée de la RDC à des rebelles musulmans ougandais.
L’agence américain a sorti la notation souveraine du pays de la catégorie « défaut partiel », après que Brazzaville s’est acquitté d’un arriéré sur un emprunt international. Standard & Poor’s souligne toutefois de la baisse des actifs liquides externes du pays.
Les autorités congolaises ont procédé à un paiement estimé à 21 millions de dollars pour l’échéance de fin juin 2016 de son emprunt international de 2007. Une « erreur administrative » a empêché la réalisation de ce paiement à temps, entraînant la dégradation de la note du pays.
Faire pousser des champignons dans un terreau composé de sciure de bois (fournie gratuitement en menuiserie) et de son de blé au beau milieu de la capitale congolaise ? C’est le pari un peu fou que s’est lancé l’ingénieur Tsengué-Tsengué voilà deux ans. Avec un certain succès. L’émission Réussite, coproduite par le groupe Jeune Afrique, Canal + et Galaxie presse, passe en revue les principes de sa ferme urbaine en kit.
Selon nos informations, cette somme a été mobilisée auprès d’établissements bancaires privés afin, notamment, de mettre aux normes trois installations aéroportuaires du Congo-Brazzaville.
Le géant chinois du BTP a approuvé l’ouverture d’un bureau de représentation dans la capitale congolaise. En ligne de mire : le ferroviaire, mais également les infrastructures routières et portuaires, ainsi que l’immobilier.
Après l’agence britannique Fitch, fin juillet, c’est au tour de l’américain Moody’s d’abaisser la note de la République du Congo, qui recule d’un cran. En cause : Brazzaville a raté le paiement d’une échéance de son eurobond de fin 2007.
L’agence de notation Fitch a brutalement abaissé la note de crédit de la République du Congo, basculée dans la catégorie des obligations comportant un « risque de crédit exceptionnellement élevé ». Explications.
L’actuelle liste électorale, qui exclut nombre de jeunes majeurs, pourrait ne pas être révisée avant la présidentielle. Au grand dam de toute une génération. À Kinshasa…
La Banque mondiale a annoncé la suspension de son aide au projet hydroélectrique Inga 3 en République démocratique du Congo. L’institution conteste « l’orientation stratégique » du gouvernement.
Selon nos informations, la banque publique congolaise négocie un financement de 300 millions de dollars pour la réalisation d’un programme de construction de 5 000 logements d’ici à 2019.
Ces ressources serviront au gestionnaire londonien Helios Towers Africa (HTA) à financer le rachat d’environ 950 tours télécoms de l’opérateur indien Airtel en RDC, approuvé en mai dernier.
Le ministère congolais des Affaires étrangères a annoncé mardi que Rodolphe Adada était nommé ambassadeur du Congo-Brazzaville en France. Le retour aux affaires d’un vieux baobab de la scène politique congolaise.
Trois mois après sa réélection, Denis Sassou Nguesso séjourne depuis lundi à Pékin pour une visite d’État de cinq jours qui amènera également le président congolais à Suzhou et à Shanghai. Objectif : renforcer les relations bilatérales entre la Chine et le Congo-Brazzaville.
L’attaque au cocktail Molotov et à la voiture bélier dont a fait l’objet l’ambassade du Congo à Paris dans la nuit du 20 au 21 juin, œuvre d’un commando non identifié, a suscité une vive colère de la part du président Sassou Nguesso.
Selon les informations de « Jeune Afrique », le géant français des hydrocarbures a décidé de se retirer de ce champ situé au large des côtes du Congo-Brazzaville.
L’ambassade du Congo-Brazzaville à Paris a été prise pour cible dans la nuit de lundi et mardi par des assaillants qui ont lancé des cocktails Molotov à l’accueil du bâtiment.
À bientôt 26 ans, Franck Elemba figure parmi les dix meilleurs lanceurs de poids dans le monde cette année. Auteur d’un jet à 21,01 mètres fin mai, le natif de Brazzaville aborde en grand favori les 20èmes championnats d’Afrique, qui débutent le 22 juin à Durban.
Le journaliste de TV5 Monde et ses deux confrères placés en garde à vue samedi dans le nord du Congo-Brazzaville ont été libérés dimanche par les autorités policières locales.
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars au Congo a été inculpé pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État, a-t-on appris jeudi auprès de son avocat. Il est actuellement en détention préventive à la maison d’arrêt de Brazzaville.
Le général Jean-Marie Michel Mokoko a été arrêté mardi soir et placé en garde à vue à la direction générale de surveillance du territoire (DGST) à Brazzaville, a annoncé son avocat.
Le gouvernement congolais a réfuté jeudi les accusations d’exactions formulées par Human Rights Watch à l’encontre de ses soldats déployés en Centrafrique.
Le ministre congolais de la Justice a demandé jeudi au procureur de la République d’accélérer la procédure engagée contre le général Jean-Marie Michel Mokoko, mis en cause dans une vidéo tournée en 2007 où il était question d’un coup d’État contre le président Denis Sassou Nguesso.
Traqué par les unités de la Garde républicaine depuis l’échec de son attaque sur Brazzaville dans la nuit du 3 au 4 avril, Frédéric Bitsamou, alias Pasteur Ntumi, demeure introuvable.
Un mois après que Jean-Claude Gakosso, le ministre congolais des Affaires étrangères, a demandé son départ à Federica Mogherini, la patronne de la diplomatie européenne, Saskia de Lang, la représentante de l’UE à Brazzaville, a été rappelée à Bruxelles début juin, même si elle garde officiellement ses fonctions.
Dans un rapport rendu public mardi, Human Rights Watch (HRW) accuse des militaires du Congo-Brazzaville déployés en Centrafrique d’avoir tué au moins 18 personnes. Le gouvernement congolais réfute ces allégations et dénonce une tentative de « déstabilisation ».