Extraits de « Lettres noires : des ténèbres à la Lumière », d’Alain Mabanckou, leçon inaugurale prononcée au Collège de France le 17 mars, à paraître le 24 avril aux éditions Fayard.
Pour la quatrième fois depuis la mise en place du multipartisme, les électeurs sont appelés à élire leur président. Bénéficiant de moyens sans commune mesure avec ceux d’une opposition par ailleurs divisée, Denis Sassou Nguesso peut-il échouer ? Réponse le 20 mars.
Candidat malheureux à la présidentielle de 2002 et de 2009, Joseph Kignoumbi Kia Mboungou brigue pour la troisième fois consécutive la magistrature suprême au Congo-Brazzaville, dimanche prochain. Mais ses détracteurs le considèrent comme un « faire-valoir » du président sortant, Denis Sassou Nguesso. Le député de Sibiti répond à ces accusations.
Depuis vingt ans, l’écrivain congolais ne cesse de bousculer la langue française et les idées sur l’Afrique. Rencontre avec cet enfant de Pointe-Noire qui, s’il attire les lumières du monde entier, reste plus que jamais inspiré par celles de sa ville d’origine.
Charles Bowao, coordinateur du Frocad/IDC, exclut toute possibilité de victoire de Denis Sassou Nguesso au premier tour de la présidentielle du 20 mars. L’ancien ministre de la Défense revient sur la stratégie mise en place par la principale coalition de l’opposition au Congo-Brazzaville pour barrer la route au chef de l’État sortant, en toute légalité.
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou doit prononcer jeudi sa leçon inaugurale au Collège de France. Il a d’ores et déjà déploré mercredi l’absence de représentant officiel du Congo.
En 2015, le groupe bancaire panafricain a enregistré 85,3 millions d’euros de profits en Afrique hors Nigeria. UBA Côte d’Ivoire passe dans le vert tandis que les résultats au Congo et en Guinée s’envolent.
Le Parti congolais du travail (PCT) et ses alliés ne jurent que par la victoire, dès le premier tour, du président sortant, Denis Sassou Nguesso, lors du scrutin présidentiel prévu le 20 mars. Serge Michel Odzoki, porte-parole du parti au pouvoir, s’en explique.
Le groupe congolais Sapro, dont Paul Obambi est le PDG, vient de reprendre la totalité du capital de Global Outdoor Systems (GOS), géant de l’affichage extérieur basé en Afrique du Sud. Ce qui lui ouvre la porte à 6 000 panneaux dans seize pays, de Nairobi à Dakar.
Une « Commission Technique Electorale » (CTE) a été lancée mercredi par la principale plateforme d’opposition Frocad-IDC. Elle compte travailler en parallèle de celle créée par le gouvernement de Denis Sassou Nguesso en février. Selon ses créateurs, elle annoncera ses propres résultats pour la présidentielle du 20 mars prochain.
Olivier Ndjimbi-Tshiende, prêtre catholique germano-congolais officiant en Allemagne, va quitter sa paroisse bavaroise pour protester contre les attaques racistes dont il a fait l’objet du fait de son soutien aux réfugiés.
Le président congolais Denis Sassou Nguesso, qui brigue un troisième mandat, a promis samedi, en campagne à Pointe-Noire (sud), de remporter la présidentielle du 20 mars dès le premier tour face à huit adversaires.
La campagne électorale en vue de la présidentielle du 20 mars a été officiellement lancée vendredi au Congo-Brazzaville. Mais dans la capitale congolaise, l’ambiance était au recueillement plutôt qu’aux meetings politiques.
L’ONU a recensé l’an dernier 69 cas d’abus sexuels qui auraient été commis par ses Casques bleus, principalement en République centrafricaine et en République démocratique du Congo. Sur 21 pays mis en cause, 11 sont africains.
À la veille du lancement de la campagne électorale, le général Jean-Marie Michel Mokoko, l’un des neuf candidats à la présidentielle du 20 mars au Congo, a exigé jeudi le report du scrutin, dénonçant une « gouvernance électorale opaque ».
Ils étaient dix à avoir déposé leur candidature à la présidentielle anticipée du 20 mars, mais le Conseil constitutionnel n’a retenu que les dossiers de huit prétendants et celui de Denis Sassou Nguesso. Qui sont ces candidats face au président sortant du Congo-Brazzaville ?
Bien que nombre de chefs d’État francophones s’y côtoient, les Loges africaines apparaissent toujours comme un lieu de pouvoir occulte et semblent impuissantes à désamorcer les conflits qui déchirent le continent.
Déclenchée en 2014 pour expulser les ressortissants de la RD Congo en situation illégale au Congo, l’opération Mbata ya bakolo (« La gifle des aînés », en lingala) a provoqué une querelle épistolaire dans le petit monde maçonnique des deux Congos.
Quels sont les présidents africains qui revendiquent leur appartenance à la franc-maçonnerie ? Ceux qui la démentent ou encore ceux qui laissent planer le doute ? Petite liste non exhaustive.
Né en France, le défenseur Clévid Dikamona, qui évolue à Dagenham & Redbridge, va porter le maillot du Congo pour la première fois de sa carrière fin mars, lors des matches face à la Zambie qualificatifs pour la CAN 2017.
Appelé à se justifier sur une vidéo embarrassante, le général Jean-Marie Michel Mokoko est entendu mardi, pour la deuxième fois consécutive, au bureau de la DGST. Dans l’entourage du candidat déclaré à la présidentielle du 20 mars, l’on assure que l’officier a décidé de coopérer pour faire avancer l’enquête.
Créé il y a 35 ans, le Salon du livre de Paris accueille cette année la culture de deux villes congolaises : Brazzaville et Pointe-Noire. Une 36e édition marquée également par le changement de nom de l’événement qui s’appelle désormais « Livre Paris ».
Le procureur de la République a ordonné vendredi à Brazzaville « l’interpellation » et « l’interrogatoire » du général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat à la présidentielle du 20 mars face au président sortant Denis Sassou Nguesso.
Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a confirmé vendredi 19 février à Brazzaville sa candidature à l’élection présidentielle du 20 mars prochain.
Le Frocad-IDC, principale plateforme de l’opposition congolaise, a récusé vendredi la nomination des membres du bureau de la nouvelle commission nationale électorale indépendante (CNEI) au Congo-Brazzaville. Sans remettre en cause sa participation au scrutin présidentiel du 20 mars.