Dans un communiqué de Congo Capital Entreprises, Wilfrid Etoka, explique que la lettre mise en avant mercredi par la candidate du Front national Marion Maréchal-Le Pen est le fruit d’une initiative individuelle et n’engage pas le groupe congolais.
La société Congo Capital Entreprises, contrôlée par Wilfried Etoka, a écrit une lettre annonçant sa venue en Provence-Alpes-Côte d’Azur (sud est de la France) pour proposer des opportunités d’affaires aux entreprises régionales, « dès le lendemain de l’élection de Marion Maréchal-Le Pen », la candidate du Front national.
Francis, 30 ans, combine ses études à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville et la vente de cartes téléphoniques prépayées. Une astuce qui lui permet de gagner jusqu’à 25 000 francs CFA (38 euros) certains mois. Pour ce nouveau volet de notre série, Francis raconte comment il parvient à s’en sortir et même à épargner un peu d’argent.
Présent à Paris pour la COP21 avec pas moins de six ministres et logé au Royal Monceau, le président Denis Sassou Nguesso a mis à profit son séjour pour recevoir Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense (avec lequel il s’est entretenu du dossier centrafricain), et pour déjeuner sur le site du Bourget avec Ségolène Royal.
Oui, vous avez bien lu : 800 milliards de dollars sur 15 ans ! Depuis l’accession à l’indépendance, la République démocratique du Congo (RDC) a vécu de longues années d’instabilité politique permanente, de mal-gouvernance et de stagnation économique.
Le magazine « Réussite » s’intéresse à la PME de Brazzaville spécialisée dans l’énergie électrique solaire. Ouverte depuis cinq ans, elle entend devenir un acteur majeur de la production d’électricité d’origine solaire – une perspective réaliste tant les besoins sont nombreux.
Guinée, Cameroun, Tchad : pour se prémunir des attaques terroristes, ils sont de plus en plus nombreux à s’attaquer au voile intégral. Ou du moins à lancer le débat, quitte à susciter la polémique. Tour d’horizon.
Entre intentions affirmées de s’implanter et protocoles d’accord paraphés, les organisateurs du forum « Investir au Congo Brazzaville 2015 », du 19 au 21 novembre, se satisfont d’ores et déjà de la présence de 700 participants sur les 800 attendus.
Burkina Faso, Burundi, Congo-Brazzaville, Rwanda, bientôt la RDC… Dans plusieurs pays du continent, des chefs d’État africains tentent de s’assurer une plus grande longévité au pouvoir en modifiant la Constitution de leur pays. Jusqu’à quelle année peuvent-ils désormais (théoriquement) se maintenir ? Réponse.
La première édition du forum Investir au Congo Brazzaville (ICB 2015) a débuté ce jeudi au Palais des congrès de la capitale congolaise. Environ 800 participants échangeront deux jours durant sur les opportunités d’investissement dans le pays.
Dans sa dernière création, l’auteur, acteur et metteur en scène congolais évoque la guerre civile qui déchira son pays en 1997 et la sape, expression élégante d’une résilience à toute épreuve.
En fin de contrat avec le Congo, Claude Le Roy a annoncé son départ après la victoire des Diables Rouges mardi soir face à l’Éthiopie à Brazzaville (2-1, 4-3 à l’aller) en qualifications pour la Coupe du monde 2018. Les relations tendues qu’il entretenait avec sa fédération n’y sont pas étrangères.
Après avoir qualifié le Congo pour le 3e tour de la phase qualificative zone Afrique au Mondial-2018, le Français Claude Le Roy quitte son poste, a-t-il annoncé mardi 17 novembre.
Sous l’impulsion du groupe français, le terminal à conteneurs est devenu le plus moderne de la sous-région. Et les chantiers d’infrastructures lancés par l’État ne feront que conforter sa position.
Selon des sources judiciaires, le général Ferdinand Mbaou, ancien patron de la sécurité présidentielle au Congo-Brazzaville, en exil en France, a été blessé par balles mardi près de sa résidence située au nord de Paris.
L’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC) et le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), les deux principales plateformes de l’opposition au Congo-Brazzaville, ont rejeté samedi la nouvelle Constitution du pays, promulguée la veille par le président Denis Sassou Nguesso (DSN).
Le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, a promulgué vendredi soir la nouvelle Constitution du pays, issue du référendum controversé du 25 octobre. L’opposition dénonce une « précipitation » et réclame toujours des négociations avec le pouvoir.
Du 8 au 10 novembre, Brazzaville accueille la 47e assemblée générale de l’Association des compagnies aériennes d’Afrique (AFRAA). Les représentants de 45 transporteurs africains sont attendus dans la capitale congolaise.
Après avoir annoncé la veille la suspension des actions de désobéissance civile, l’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC), l’une des deux principales plateformes d’opposition anti-Sassou, est revenue mardi sur sa décision. Laquelle n’était pas partagée par le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad).
Les chefs de l’opposition ont profité de l’organisation d’un référendum controversé pour tenter de déstabiliser le régime. Denis Sassou Nguesso a tenu bon. Et maintenant ?
Le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad) et l’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC), deux principales coalitions d’opposition anti-Sassou, ont annoncé lundi qu’elles suspendaient les actions de désobéissance civile auxquelles elles avaient appelé au lendemain de la publication des résultats du référendum.
La secrétaire d’État française au Développement et à la Francophonie, Annick Girardin, a déclaré vendredi douter des chiffres publiés par les autorités congolaises après le référendum constitutionnel organisé dimanche 25 octobre, lequel doit permettre à Denis Sassou Nguesso de briguer un troisième mandat en 2016.
L’opposition avait convoqué des marches « pacifiques » ce vendredi pour contester les résultats du référendum constitutionnel. Selon les résultats des autorités congolaises, le « oui » l’avait emporté à 92,96%, avec un taux de participation de 72,44%.
Vingt heures après la publication des résultats du référendum constitutionnel du 25 octobre, les deux principales coalitions d’opposition congolaise ont appelé mercredi à une « marche patriotique et pacifique » pour « barrer la route à l’escroquerie et à la dictature », selon une déclaration commune lue à la presse.
Selon les chiffres officiels communiqués mardi par le ministre de l’Intérieur, Raymond Mboulou, le projet de Constitution a été approuvé à hauteur de 92,96% des voix.