Entre intentions affirmées de s’implanter et protocoles d’accord paraphés, les organisateurs du forum « Investir au Congo Brazzaville 2015 », du 19 au 21 novembre, se satisfont d’ores et déjà de la présence de 700 participants sur les 800 attendus.
Burkina Faso, Burundi, Congo-Brazzaville, Rwanda, bientôt la RDC… Dans plusieurs pays du continent, des chefs d’État africains tentent de s’assurer une plus grande longévité au pouvoir en modifiant la Constitution de leur pays. Jusqu’à quelle année peuvent-ils désormais (théoriquement) se maintenir ? Réponse.
La première édition du forum Investir au Congo Brazzaville (ICB 2015) a débuté ce jeudi au Palais des congrès de la capitale congolaise. Environ 800 participants échangeront deux jours durant sur les opportunités d’investissement dans le pays.
Dans sa dernière création, l’auteur, acteur et metteur en scène congolais évoque la guerre civile qui déchira son pays en 1997 et la sape, expression élégante d’une résilience à toute épreuve.
En fin de contrat avec le Congo, Claude Le Roy a annoncé son départ après la victoire des Diables Rouges mardi soir face à l’Éthiopie à Brazzaville (2-1, 4-3 à l’aller) en qualifications pour la Coupe du monde 2018. Les relations tendues qu’il entretenait avec sa fédération n’y sont pas étrangères.
Après avoir qualifié le Congo pour le 3e tour de la phase qualificative zone Afrique au Mondial-2018, le Français Claude Le Roy quitte son poste, a-t-il annoncé mardi 17 novembre.
Sous l’impulsion du groupe français, le terminal à conteneurs est devenu le plus moderne de la sous-région. Et les chantiers d’infrastructures lancés par l’État ne feront que conforter sa position.
Selon des sources judiciaires, le général Ferdinand Mbaou, ancien patron de la sécurité présidentielle au Congo-Brazzaville, en exil en France, a été blessé par balles mardi près de sa résidence située au nord de Paris.
L’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC) et le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), les deux principales plateformes de l’opposition au Congo-Brazzaville, ont rejeté samedi la nouvelle Constitution du pays, promulguée la veille par le président Denis Sassou Nguesso (DSN).
Le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, a promulgué vendredi soir la nouvelle Constitution du pays, issue du référendum controversé du 25 octobre. L’opposition dénonce une « précipitation » et réclame toujours des négociations avec le pouvoir.
Du 8 au 10 novembre, Brazzaville accueille la 47e assemblée générale de l’Association des compagnies aériennes d’Afrique (AFRAA). Les représentants de 45 transporteurs africains sont attendus dans la capitale congolaise.
Après avoir annoncé la veille la suspension des actions de désobéissance civile, l’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC), l’une des deux principales plateformes d’opposition anti-Sassou, est revenue mardi sur sa décision. Laquelle n’était pas partagée par le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad).
Les chefs de l’opposition ont profité de l’organisation d’un référendum controversé pour tenter de déstabiliser le régime. Denis Sassou Nguesso a tenu bon. Et maintenant ?
Le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad) et l’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC), deux principales coalitions d’opposition anti-Sassou, ont annoncé lundi qu’elles suspendaient les actions de désobéissance civile auxquelles elles avaient appelé au lendemain de la publication des résultats du référendum.
La secrétaire d’État française au Développement et à la Francophonie, Annick Girardin, a déclaré vendredi douter des chiffres publiés par les autorités congolaises après le référendum constitutionnel organisé dimanche 25 octobre, lequel doit permettre à Denis Sassou Nguesso de briguer un troisième mandat en 2016.
L’opposition avait convoqué des marches « pacifiques » ce vendredi pour contester les résultats du référendum constitutionnel. Selon les résultats des autorités congolaises, le « oui » l’avait emporté à 92,96%, avec un taux de participation de 72,44%.
Vingt heures après la publication des résultats du référendum constitutionnel du 25 octobre, les deux principales coalitions d’opposition congolaise ont appelé mercredi à une « marche patriotique et pacifique » pour « barrer la route à l’escroquerie et à la dictature », selon une déclaration commune lue à la presse.
Selon les chiffres officiels communiqués mardi par le ministre de l’Intérieur, Raymond Mboulou, le projet de Constitution a été approuvé à hauteur de 92,96% des voix.
Pascal Tsaty Mabiala, premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), a affirmé lundi que le taux de participation au référendum constitutionnel du 25 octobre n’avait pas dépassé 10 %. Les résultats officiels sont attendus mercredi soir.
Coupé depuis le 18 octobre, le signal de Radio France Internationale au Congo n’était toujours pas rétabli à l’heure où nous publiions cet article ce lundi.
Député européen et vice-président du Front national, Louis Aliot est curieusement monté au créneau depuis le début de ce mois d’octobre pour intervenir dans le débat intérieur congolais.
Dimanche, au Congo-Brazzaville, les électeurs semblent avoir largement boudé le référendum sur un projet de Constitution qui pourrait, en revenant sur la limitation des mandats présidentiels, permettre une nouvelle candidature du chef de l’État Denis Sassou Nguesso en 2016.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 31 ans de pouvoir à Brazzaville.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 30 ans de pouvoir à Brazzaville.
L’opposition congolaise est restée en retrait vendredi tandis qu’après les récentes violences, l’archevêque de Brazzaville appelait à « sauver la cohésion nationale », à deux jours du référendum qui pourrait permettre au président sortant de briguer un 3e mandat.
La banque britannique solidement implantée en Afrique affirme que malgré la forte baisse des réserves de change en Afrique centrale, la zone reste compétitive en raison notamment de la baisse de l’euro face au dollar.
Les plateformes de l’opposition au référendum de dimanche, qui pourrait permettre au président congolais Denis Sassou Nguesso de briguer un nouveau mandat en 2016, ont annoncé jeudi 22 octobre annuler la manifestation prévue vendredi.