Pascal Tsaty Mabiala, premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), a affirmé lundi que le taux de participation au référendum constitutionnel du 25 octobre n’avait pas dépassé 10 %. Les résultats officiels sont attendus mercredi soir.
Coupé depuis le 18 octobre, le signal de Radio France Internationale au Congo n’était toujours pas rétabli à l’heure où nous publiions cet article ce lundi.
Député européen et vice-président du Front national, Louis Aliot est curieusement monté au créneau depuis le début de ce mois d’octobre pour intervenir dans le débat intérieur congolais.
Dimanche, au Congo-Brazzaville, les électeurs semblent avoir largement boudé le référendum sur un projet de Constitution qui pourrait, en revenant sur la limitation des mandats présidentiels, permettre une nouvelle candidature du chef de l’État Denis Sassou Nguesso en 2016.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 31 ans de pouvoir à Brazzaville.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 30 ans de pouvoir à Brazzaville.
L’opposition congolaise est restée en retrait vendredi tandis qu’après les récentes violences, l’archevêque de Brazzaville appelait à « sauver la cohésion nationale », à deux jours du référendum qui pourrait permettre au président sortant de briguer un 3e mandat.
La banque britannique solidement implantée en Afrique affirme que malgré la forte baisse des réserves de change en Afrique centrale, la zone reste compétitive en raison notamment de la baisse de l’euro face au dollar.
Les plateformes de l’opposition au référendum de dimanche, qui pourrait permettre au président congolais Denis Sassou Nguesso de briguer un nouveau mandat en 2016, ont annoncé jeudi 22 octobre annuler la manifestation prévue vendredi.
Quatre ouvrages remettent l’auteur sur le devant de la scène après une longue période d’oubli. Interview du chercheur Nicolas Martin-Granel, à qui l’on doit
la publication de nombreux inédits du Congolais disparu il y a vingt ans.
Après la RD Congo et la Tanzanie, le groupe belge s’implante au Congo. Outre un centre de maintenance, il compte y développer une activité de formation à destination des compagnies aériennes.
Le président français, François Hollande, a demandé mercredi à son homologue congolais, Denis Sassou Nguesso, de « veiller à rassembler, respecter et apaiser » alors que son pays est confronté ces derniers jours à des heurts entre manifestants anti-référendum et forces de l’ordre.
Dans une déclaration faite à la presse, le Front républicain pour le respect constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), a annoncé mercredi que six de ses cadres avaient été arrêtés par la police à Brazzaville. Le gouvernement affirme qu’ils ont été relâchés.
Kasongo* a 27 ans. De nationalités congolaise et gabonaise, l’étudiant est installé au Maroc où il vit avec son jeune frère. Chaque mois, ils reçoivent 1 500 euros de leurs parents installés au Gabon. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille.
Le calme était revenu dans la capitale congolaise mercredi 21 octobre dans l’après-midi, après des affrontements entre forces de l’ordre et manifestants opposés au référendum de dimanche. Une accalmie néanmoins précaire. Le point sur la situation.
Au lendemain de heurts meurtriers entre forces de l’ordre et manifestants anti-référendum, de nouveaux affrontements ont opposé mardi matin des groupes de jeunes aux policiers et militaires déployés, dans un quartier ouest de Brazzaville.
De violents heurts ont provoqué la mort de quatre personnes lors d’affrontements entre forces de l’ordre et manifestants opposés au référendum constitutionnel de dimanche, a-t-on indiqué de source officielle. Dix personnes ont par ailleurs été blessées.
Au moins huit personnes ont été blessées, dont six par balles, mardi dans des heurts à Brazzaville. L’opposition avait appelé à des manifestations dans la journée afin de protester contre le référendum constitutionnel prévu le 25 octobre.
L’ambiance se tend à l’approche du référendum constitutionnel, sur lequel les Congolais sont appelés à se prononcer dimanche 25 octobre. L’opposition a convoqué mardi 20 octobre une manifestation dans la capitale.
Quatre dirigeants de l’opposition congolaise, bloqués dimanche 18 octobre par les autorités à Pointe-Noire après un meeting, ont finalement pu regagner Brazzaville dans la soirée.
Ces huit personnes ont été placées en garde à vue jeudi 15 octobre après avoir fait irruption et provoqué des dégradations à l’ambassade du Congo à Paris. Ces derniers demandaient l’annulation d’un référendum constitutionnel controversé.
Après les critiques de l’opposition qui se plaignait de n’avoir pas pu consulter le projet de Constitution destiné à être soumis au référendum le 25 octobre, les autorités congolaises ont enfin dévoilé, mardi, le texte intégral de la future loi fondamentale du pays.
La Banque sino-congolaise pour l’Afrique, détenue à 50 % par Agricultural Bank of China, est la première implantation en Afrique du groupe bancaire chinois.
À moins de deux semaines du référendum prévu le 25 octobre, lequel pourrait permettre au président Denis Sassou Nguesso de briguer un troisième mandat, l’opposition congolaise a déploré lundi que le projet de la nouvelle Constitution ne soit pas encore disponible pour le corps électoral.
Le pouvoir congolais a mobilisé massivement samedi après-midi à Brazzaville les partisans du président Denis Sassou Nguesso pour dire « oui » au projet de nouvelle Constitution qui permettrait au chef de l’État de briguer un troisième mandat en 2016.
Depuis l’annonce du président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, de son intention de soumettre à référendum un projet de nouvelle Constitution susceptible de lui permettre de briguer un nouveau mandat, le débat fait rage sur Twitter.
Sans surprise, les États-Unis ont pris position au sujet du référendum constitutionnel à venir au Congo-Brazzaville, le 25 octobre. Le département d’État s’est déclaré mardi inquiet de la décision pris par Denis Sassou Nguesso.
Le référendum constitutionnel convoqué par le président congolais Denis Sassou Nguesso a été fixé au 25 octobre. Élection présidentielle, abolition de la peine de mort et contestation de l’opposition : voici ce qu’il faut savoir du projet dévoilé lundi.
La date du référendum constitutionnel voulu par le président Denis Sassou Nguesso a été fixée au 25 octobre, selon une annonce officielle diffusée à la télévision publique lundi soir. Le projet de nouvelle loi fondamentale autorise l’actuel chef de l’État à se représenter à la présidentielle prévue à la mi-2016.