Quatre ouvrages remettent l’auteur sur le devant de la scène après une longue période d’oubli. Interview du chercheur Nicolas Martin-Granel, à qui l’on doit
la publication de nombreux inédits du Congolais disparu il y a vingt ans.
Après la RD Congo et la Tanzanie, le groupe belge s’implante au Congo. Outre un centre de maintenance, il compte y développer une activité de formation à destination des compagnies aériennes.
Le président français, François Hollande, a demandé mercredi à son homologue congolais, Denis Sassou Nguesso, de « veiller à rassembler, respecter et apaiser » alors que son pays est confronté ces derniers jours à des heurts entre manifestants anti-référendum et forces de l’ordre.
Dans une déclaration faite à la presse, le Front républicain pour le respect constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), a annoncé mercredi que six de ses cadres avaient été arrêtés par la police à Brazzaville. Le gouvernement affirme qu’ils ont été relâchés.
Kasongo* a 27 ans. De nationalités congolaise et gabonaise, l’étudiant est installé au Maroc où il vit avec son jeune frère. Chaque mois, ils reçoivent 1 500 euros de leurs parents installés au Gabon. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille.
Le calme était revenu dans la capitale congolaise mercredi 21 octobre dans l’après-midi, après des affrontements entre forces de l’ordre et manifestants opposés au référendum de dimanche. Une accalmie néanmoins précaire. Le point sur la situation.
Au lendemain de heurts meurtriers entre forces de l’ordre et manifestants anti-référendum, de nouveaux affrontements ont opposé mardi matin des groupes de jeunes aux policiers et militaires déployés, dans un quartier ouest de Brazzaville.
De violents heurts ont provoqué la mort de quatre personnes lors d’affrontements entre forces de l’ordre et manifestants opposés au référendum constitutionnel de dimanche, a-t-on indiqué de source officielle. Dix personnes ont par ailleurs été blessées.
Au moins huit personnes ont été blessées, dont six par balles, mardi dans des heurts à Brazzaville. L’opposition avait appelé à des manifestations dans la journée afin de protester contre le référendum constitutionnel prévu le 25 octobre.
L’ambiance se tend à l’approche du référendum constitutionnel, sur lequel les Congolais sont appelés à se prononcer dimanche 25 octobre. L’opposition a convoqué mardi 20 octobre une manifestation dans la capitale.
Quatre dirigeants de l’opposition congolaise, bloqués dimanche 18 octobre par les autorités à Pointe-Noire après un meeting, ont finalement pu regagner Brazzaville dans la soirée.
Ces huit personnes ont été placées en garde à vue jeudi 15 octobre après avoir fait irruption et provoqué des dégradations à l’ambassade du Congo à Paris. Ces derniers demandaient l’annulation d’un référendum constitutionnel controversé.
Après les critiques de l’opposition qui se plaignait de n’avoir pas pu consulter le projet de Constitution destiné à être soumis au référendum le 25 octobre, les autorités congolaises ont enfin dévoilé, mardi, le texte intégral de la future loi fondamentale du pays.
La Banque sino-congolaise pour l’Afrique, détenue à 50 % par Agricultural Bank of China, est la première implantation en Afrique du groupe bancaire chinois.
À moins de deux semaines du référendum prévu le 25 octobre, lequel pourrait permettre au président Denis Sassou Nguesso de briguer un troisième mandat, l’opposition congolaise a déploré lundi que le projet de la nouvelle Constitution ne soit pas encore disponible pour le corps électoral.
Le pouvoir congolais a mobilisé massivement samedi après-midi à Brazzaville les partisans du président Denis Sassou Nguesso pour dire « oui » au projet de nouvelle Constitution qui permettrait au chef de l’État de briguer un troisième mandat en 2016.
Depuis l’annonce du président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, de son intention de soumettre à référendum un projet de nouvelle Constitution susceptible de lui permettre de briguer un nouveau mandat, le débat fait rage sur Twitter.
Sans surprise, les États-Unis ont pris position au sujet du référendum constitutionnel à venir au Congo-Brazzaville, le 25 octobre. Le département d’État s’est déclaré mardi inquiet de la décision pris par Denis Sassou Nguesso.
Le référendum constitutionnel convoqué par le président congolais Denis Sassou Nguesso a été fixé au 25 octobre. Élection présidentielle, abolition de la peine de mort et contestation de l’opposition : voici ce qu’il faut savoir du projet dévoilé lundi.
La date du référendum constitutionnel voulu par le président Denis Sassou Nguesso a été fixée au 25 octobre, selon une annonce officielle diffusée à la télévision publique lundi soir. Le projet de nouvelle loi fondamentale autorise l’actuel chef de l’État à se représenter à la présidentielle prévue à la mi-2016.
Sessions plénières, ateliers sectoriels et conférences pratiques consacrées à la réalisation de projets… Découvrez le programme du forum Investir au Congo-Brazzaville 2015 qui se tient du 19 au 21 novembre.
Vingt-quatre ans après la catastrophe ferroviaire qui les a laissés sans emploi, les cheminots de la Comilog, filiale du groupe français Eramet, pourraient bientôt être indemnisés. Récit d’un interminable combat judiciaire entre deux continents.
Wilfrid Nguesso est dans le viseur de la justice française. Les juges en charge de l’enquête dite des biens mal acquis ont saisi plusieurs propriétés, notamment une luxueuse demeure dans les Yvelines, dont ils soupçonnent le neveu du président congolais d’être le véritable propriétaire à travers des sociétés-écrans.
Il fallait s’y attendre. L’annonce, le 22 septembre, par Denis Sassou Nguesso de la tenue prochaine d’un référendum sur un projet de loi fondamentale fixant « les nouvelles formes d’organisation et les nouvelles règles de fonctionnement de l’État » au Congo a déclenché une salve de réactions dont la mesure n’est pas la caractéristique majeure : « coup d’État constitutionnel », « déclaration de guerre au peuple », « après Ouaga, Brazza », etc.
Des milliers de Congolais se sont rassemblés dimanche à Brazzaville pour dire non au « coup d’État constitutionnel », en référence au référendum annoncé par le président Denis Sassou Nguesso et qui lui permettrait de briguer un nouveau mandat en 2016, a constaté un journaliste de l’AFP.
La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. À qui le pouvoir a-t-il confié la difficile préservation de la sécurité nationale ? Au Congo, Jean-Dominique Okemba (JDO) dirige le Conseil national de sécurité (CNS).
Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a annoncé mardi soir son intention de soumettre à référendum un projet de nouvelle Constitution, susceptible de lui permettre de briguer un nouveau mandat.
L’agence de notation Fitch évoque la faiblesse persistante des cours du pétrole et la chute de la croissance pour expliquer la perspective négative de la notation souveraine du pays d’Afrique centrale.