Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de Célestine Bagniakana.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de François Tchichellé.
Comme au premier tour, les électeurs français d’Afrique ont apporté majoritairement leur suffrage à François Hollande le 6 mai 2012. Le candidat socialiste termine en effet en tête avec 56,68% des voix sur le continent, selon les chiffres du ministère des affaires étrangères français, devant Nicolas Sarkozy avec 43,32%. Les résultats de la présidentielle française pays par pays.
Ponténégrins d’adoption, pinceau à la main ou caméra au poing, ils puisent dans la cité océane l’inspiration du grand large et la quiétude propice à la création.
La ville a été créée pour être le point de départ et d’arrivée, sur le golfe de Guinée, du réseau de communication du pays et de ses voisins enclavés. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Comme Nicolas Sarkozy en son temps, François Hollande a promis de mettre fin à la « Françafrique » et d’instaurer des rapports sains entre l’Hexagone et les pays du continent. Ses actes seront-ils à la hauteur des espoirs suscités par ses paroles ?
Une victoire du candidat socialiste François Hollande, le 6 mai, ne plongerait pas dans le désespoir nombre de chefs d’État du continent. Même s’ils en redoutent parfois les conséquences économiques.
Pour les industriels asiatiques et européens, l’heure est à la ruée vers les terres africaines. Le palmier à huile peut être une chance, à condition que développement rural ne rime pas avec menace environnementale.
Dans son numéro 2677, « Jeune Afrique » poursuit son enquête sur la gouvernance pour le moins sujette à caution du président de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), Antoine Ntsimi. Et répond aux arguments de ce dernier par la publication de nouveaux documents exclusifs.
Tombé sous le charme de la musique africaine des années 1960 à 1980, le journaliste Florent Mazzoleni aimerait monter un Buena Vista Social Club en Afrique francophone. Première étape, le Burkina Faso.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Rares sont ceux qui avouent leur appartenance. Pourtant, avec ses rites et son goût du secret, la franc-maçonnerie fascine et fait chaque jour de nouveaux adeptes. Et sur le continent, dans les cercles du pouvoir, beaucoup en font partie.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
Air Cemac, passeport unique, fusion des Bourses… La Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale semble avoir fait sienne la fameuse devise « Il est urgent de ne rien faire ».
À quelques semaines de son sommet à Brazzaville, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), qui regroupe six pays de la région, traverse une crise profonde. Enquête et révélations sur l’homme au coeur de ce malaise : le Camerounais Antoine Ntsimi, président de la Commission.
Sur un continent où la démocratie peine à s’enraciner, les élections se suivent et ne se ressemblent pas – même si elles sont souvent sources de réelles tensions. Petit tour d’horizon des scrutins présidentiels et législatifs organisés dans les prochains mois en Afrique, grâce à une carte interactive actualisée en temps réel par la rédaction de jeuneafrique.com.
Dans son numéro 2673 en kiosque du 1er au 7 avril, Jeune Afrique enquête sur la gestion financière pour le moins relâchée de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Son président, le Camerounais Antoine Louis Ntsimi Menye, est la figure centrale de cette affaire.
Depuis le début du versement des allocations d’urgence aux sinistrés congolais des explosions du 4 mars, Brazzaville est sous tension. Les incidents se succèdent et obligent parfois la police à intervenir.
Les explosions dans un dépôt de munitions le 4 mars à Brazzaville ont fait au moins 282 morts, selon un bilan actualisé samedi par le président de la Commission d’évaluation du sinistre. De nouveaux corps ont été découverts lors des opérations de déminage du site.
Près d’un mois après l’explosion d’un dépôt de munitions à Brazzaville, qui a entraîné la mort de 223 personnes, des milliers de sinistrés ont violement manifesté lundi 26 et mardi 27 mars, alors que l’aide d’urgence promise par le gouvernement ne leur avait pas été versée. Dans le même temps, la situation au sein des sites d’hébergement de la ville se dégrade, avec notamment l’apparition du choléra. Roch Euloge N’zobo, responsable des programmes de l’Observatoire congolais des droits de l’Homme (OCDH), met en cause le manque de compétences techniques du gouvernement congolais.
Habitué à surprendre par son sens de l’ouverture, le pianiste Ray Lema est, une fois de plus, sorti de la routine. Résultat : un CD/DVD d’où se dégage une énergie à revendre.
Le 4 mars, au Congo, l’explosion d’un dépôt de munitions a ravagé les quartiers du nord-est de Brazzaville. Mesures de sécurité négligées, gouvernement tétanisé, secours désorganisés, hôpitaux débordés… Passé le choc, il va falloir déterminer les responsabilités de chacun.
Tunisie, Égypte, Libye… La major italienne Eni a subi de plein fouet le Printemps arabe. Devenu l’allié des nouveaux pouvoirs en Afrique du Nord, le groupe repart de l’avant et mont en puissance au sud du Sahara.
L’enterrement des victimes des explosions dans un dépôt d’armement de Brazzaville aura lieu dimanche prochain en présence du chef de l’État Denis Sassou Nguesso. Selon des soldats, les opérations de déminage ont commencé dans la zone où le drame a eu lieu, le 4 mars, provoquant la mort de quelque 200 personnes.
Le bilan de l’explosion du dépôt d’armement de la caserne de Mpila, à Brazzaville, est désormais de près de 200 morts. Sur le terrain, l’aide médicale internationale s’active pour épauler les médecins congolais à soigner quelque 1 300 blessés, souvent victimes d’éclats d’obus.
Les explosions du dépôt de munitions de Mpila ont fait 180 morts et 1 340 blessés, selon le ministre congolais de la Santé Georges Moyen, en visite mardi dans un hôpital de Brazzaville. Le bilan pourrait encore s’alourdir, mais, selon les autorités, l’incendie a été totalement circonscrit et l’explosion d’un second magasin d’armement ne serait plus à redouter.