Des centaines de commentaires sur Facebook, des dizaines de réactions sur notre live blogging autour des évènements du jeudi 20 octobre et des avis souvent bien tranchés… La mort de Mouammar Kadhafi n’a laissé personne indifférent.
La citoyenne française Marie Dedieu était détenue en Somalie depuis le 1er octobre après son enlèvement sur l’île de Manda au Kenya. Le ministère français des Affaires étrangères a officialisé son décès mercredi 19 octobre dans un communiqué.
Sept ans après la sortie en salle du documentaire choc de Hubert Sauper, « Le cauchemar de Darwin », les révélations sur la tragédie humaine et écologique du Lac Victoria, le plus grand lac d’Afrique, sont nuancées par des scientifiques.
Comme Jean Ping à la tête de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha souhaite se succéder à lui-même à la vice-présidence de cette institution. Et continuer son oeuvre de restructuration libérale.
Alors que le conflit interethnique de la région du Dongo (RDC) a pris fin en 2010, des dizaines de milliers de réfugiés au Congo-Brazzaville ont encore peur de rentrer chez eux.
Pour ou contre le tissage ? La perruque cousue sur les cheveux est devenue la coiffure n° 1 de la Congolaise. Mais cette mode soulève un vent de contestation. Parmi ses contempteurs, ceux et celles qui la trouvent non hygiènique et pas assez « africaine ».
L’ancien président du Cap-Vert Pedro Pires a reçu le prix de la fondation du milliardaire soudanais Mo Ibrahim, qui récompense un chef d’État africain ayant quitté le pouvoir démocratiquement. Faute de candidats, il n’était pas attribué depuis deux ans.
Le 10 octobre, à Londres, la Fondation Mo Ibrahim a rendu public son palmarès 2011 pour l’Afrique. Et remis son prix pour la bonne gouvernance, qui n’avait pas eu de lauréat en 2009 et 2010, à l’ex-président du Cap-Vert Pedro Pires.
Si une quarantaine de télévisions privées animent aujourd’hui le paysage audiovisuel du Congo-Brazzaville, ouvert en 2001, la plupart sont toujours à la recherche d’une stabilité financière.
Depuis quelques temps, certaines ngandas de Brazzaville – buvettes très prisées par les Congolais – ont de nouvelles excroissances au nom intriguant, les « camouflettes ». Des chambres où les clients peuvent venir discrètement étancher une soif… sexuelle, celle-là. Visite guidée dans le monde secret de la « double-détente ».
L’ancien secrétaire d’État à la Coopération avait appelé « au décès de la Françafrique », en janvier 2008. Deux mois plus tard, il était débarqué. Jeune Afrique l’a consulté pour avoir son sentiment sur les récentes déclarations de Robert Bourgi, qui affirme avoir fait transité des mallettes « pleines de billets » entre des présidents africains et des personnalités politiques françaises, dont Jacques Chirac.
La machine à billets de la Françafrique, dénoncée récemment par l’un de ses acteurs, Robert Bourgi, a aussi fonctionné durant les années Mitterrand. L’entreprise Elf en était une pièce maîtresse.
Le Français Jean-Guy Wallemme (44 ans) est depuis le 27 août le sélectionneur du Congo. L’ancien entraîneur de Saint-Étienne et de Lens va réunir les Diables rouges début octobre pour un stage où il exposera son projet pour les deux saisons à venir.
Qu’importent l’or, les diamants, ou même l’annulation de la dette… Le Premier ministre congolais en est convaincu : son pays n’a jamais su exploiter son potentiel. Nommé en 2008, il défend le bilan de Joseph Kabila, dont il a choisi de soutenir la candidature à la présidentielle du 28 novembre.
En 2009 et 2010, six télégrammes de l’ambassade américaine à Paris, révélés par WikiLeaks, évoquent le rôle de Robert Bourgi dans les affaires africaines. Morceaux choisis.
Les révélations de Robert Bourgi étalent au grand jour les financements occultes en France en provenance du continent. Quelle est la crédibilité de ces accusations ? Pourquoi ce « porteur de valises » s’est-il mué en imprécateur ? Jusqu’où ira-t-il ? Enquête exclusive.
Abdoulaye Wade ne portera finalement pas plainte en diffamation contre Robert Bourgi devant la justice française. Une décision prise après les rétractations de l’avocat, qui avait d’abord accusé le président sénégalais et son fils Karim d’avoir donné de l’argent en liquide à d’anciens dirigeants français.
« Femme exceptionnelle », « modèle d’inspiration », « magnifique visionnaire », les leaders politiques ou militants des droits de l’Homme africains n’ont pas tari d’éloge en Afrique, suite à la mort de l’environnementaliste kenyane Wangari Maathai.
La militante « verte » Wangari Maathai est décédée dimanche 25 septembre à la suite d’un cancer. Elle avait remporté le prix Nobel de la paix en 2004 avec son organisation « Greenbelt Movement ».
Vérone Mankou, un jeune Congolais de 25 ans, lance « Way-C », la première tablette tactile africaine. Bon marché, sa création parie aussi sur la production de contenus africains pour trouver son public sur le continent.
Après avoir accusé plusieurs hommes politiques français, dont Jacques Chirac et Dominique de Villepin, d’avoir profité des financements occultes de plusieurs dirigeants africains, l’avocat Robert Bourgi sera entendu par la police de Paris jeudi matin.
Abdoulaye Wade a confirmé à son entourage son intention de porter plainte à Paris et Dakar contre Robert Bourgi pour diffamation, après que celui-ci l’a mis en cause dans des financements occultes de personnalités politiques françaises. Si elle se traduit dans les faits, la procédure lancée par le président sénégalais devrait rejoindre en France celles de son fils Karim, mais aussi de Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Marie Le Pen.
Avec ses neuf étapes, ses 1 100 km de routes et son projet humanitaire de création d’écoles, la course cycliste Equator 24 a été lancée samedi au Congo. Une seconde édition qui doit permettre de faire émerger des coureurs de niveau international.
Pour la création de l’Organisation mondiale de l’environnement (OME), Nicolas sarkozy compte sur l’aide de tous ses amis africains. Au premier rang desquels le président du Congo, Denis Sassou Nguesso.
Le général Carter Ham, chef du commandement des États-Unis pour l’Afrique (Africom) entend bien mener une lutte sans relâche contre le terrorisme. Il a appelé hier à une meilleure coopération de l’Afrique pour lutter contre les extrémistes et a précisé à des journalistes américains qu’il fallait « se préparer à l’émergence possible d’un réseau de terroristes sur le continent qui prendrait pour cible la région et les États-Unis ».
Suite aux déclarations de Me Robert Bourgi dans la presse, le parquet de Paris a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire. Selon l’avocat, six chefs d’État Africains auraient financé de manière occulte plusieurs présidents et hommes politiques français, dont Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Marie Le Pen. Des allégations qui ont suscité l’indignation de l’opposition congolaise, le nom de Denis Sassou Nguesso étant cité par Robert Bourgi.
Le partenariat Roll Back Malaria (RBM) publie son rapport « Faire reculer le paludisme : dix ans de partenariats et résultats » lundi 12 septembre. La lutte antipaludique affiche un franc succès même si certaines régions du monde restent fortement touchées par ce fléau.
La fracassante sortie de Robert Bourgi, avocat franco-libanais qui accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin d’avoir perçu environ « 20 millions de dollars » de la part de plusieurs présidents africains, a suscité lundi une onde de choc et bien des réactions. En France surtout, un peu moins sur le continent. Pour le moment.
Robert Bourgi a accusé dimanche Jacques Chirac et son ex-Premier ministre Dominique de Villepin d’avoir perçu de ses mains des sommes en liquides provenant de plusieurs présidences africaines. Un financement occulte évalué par l’avocat à « 20 millions de dollars » qui, s’il était avéré, ferait trembler la république. L’ancien président français a aussitôt porté plainte pour diffamation.