En matière de pétrole et de gaz, l’Afrique est un espace sous-exploité qui, plus que jamais, a un rôle à jouer sur la scène mondiale. Tous les acteurs internationaux, et nationaux, lorgnent les gisements encore à mettre au jour.
Pas un jour sans qu’Alassane Dramane Ouattara (ADO) s’entretienne au téléphone avec ses plus fidèles soutiens internationaux. Privé de liberté d’action au niveau national, il sait que son destin se joue en partie à l’extérieur.
Alors que l’accès à l’eau laisse à désirer, les opérateurs privés s’interrogent sur le modèle approprié pour intervenir en Afrique. Instabilité des contrats de concession, frilosité des géants français, émergence de nouveaux acteurs… Le secteur se cherche encore.
Des ONG congolaises ont annoncé leur saisine de la Cour de justice de l’Union européenne pour faire annuler l’enquête de la justice française sur les biens présumés « mal acquis » du président Denis Sassou Nguesso.
Le Congo a lancé lundi une campagne de vaccination de masse contre la rougeole en faveur des enfants âgés de neuf mois à cinq ans, a annoncé le ministre de la Santé, le professeur Georges Moyen.
Annoncé pour le mois d’août, puis pour celui d’octobre, l’emménagement du président Denis Sassou Nguesso [DSN], dans son palais du Plateau, réhabilité par des entreprises chinoises, devrait finalement avoir lieu au début du mois de janvier.
BTP, téléphonie, bois, pétrole et même commerce de détail : les groupes chinois ont investi tous les pans de l’économie congolaise. Impossible, désormais, d’y échapper.
En Afrique centrale, les mémos diplomatiques révélés par le site WikiLeaks s’articulent autour du thème majeur de la Françafrique. En plus des noms des présidents Bongo, Sassou Nguesso, Obiang Nguema ou encore Paul Biya, cités à différents titres, Robert Bourgi y est aussi mentionné comme une personnalité importante de la scène « françafricaine ».
Une série de télégrammes diplomatiques américains, publiés par WikiLeaks samedi, détaille les discussions menées, à quatre, entre le président burkinabé Blaise Compaoré, les États-Unis, la France et le Maroc sur le sort du président guinéen déchu Moussa Dadis Camara, entre fin 2009 et début 2010. Récit.
Le dossier sensible des « biens mal acquis » a été confié à deux juges d’instruction français. Leur mission est d’enquêter sur le patrimoine en France de trois présidents africains : le Gabonais feu Omar Bongo Ondimba, l’Équato-Guinéen Teodoro Obiang Nguema et le Congolais Denis Sassou N’Guesso.
Un virus sauvage de la poliomyélite a causé depuis octobre au Congo la mort de 200 personnes sur plus de 470 cas, a appris l’AFP de sources sanitaires jeudi 2 décembre à la veille du lancement d’une nouvelle phase de vaccination de masse à Brazzaville.
Alors que le Ghana s’apprête à produire son premier baril, le golfe de Guinée est victime des vertiges du brut. Une effervescence pétrolière qui aiguise l’appétit des majors et relance le débat sur la bonne gestion de cette manne tant espérée.
L’Upads, parti d’opposition congolais, soutient la procédure judiciaire entamée en France contre trois chefs d’État africains – dont Denis Sassou Nguesso – , dans une affaire de présumés « biens mal acquis ».
Congolais du pays, mais aussi des grandes capitales européennes comme Londres, Bruxelles ou Paris, les sapeurs ont fait de l’élégance un art de vivre. La Sape, Société des ambianceurs et des personnes élégantes, impose ses couleurs.
La décision de la Cour de cassation française du 9 novembre permet à la plainte de l’ONG Transparency international de suivre son cours, contre la volonté du ministère de la Justice. Et elle ouvre la voie à une guérilla judiciaire qui aura immanquablement des conséquences diplomatiques.
Une fanfare militaire française, en déplacement au Congo (Brazzaville), a commis une erreur de partition… en interprétant l’hymne de la République démocratique du Congo.
La Cour de cassation française a ordonné la poursuite de l’enquête sur le dossier dit des « biens mal acquis » en France, impliquant trois chefs d’État africains.
Lors de la clôture du 8e Forum sur le développement durable à N’Djamena, le 31 octobre, plusieurs chefs d’État africains (Libye, Sénégal, Centrafrique, Tchad, Nigeria) se sont engagés à renforcer leurs efforts pour lutter contre l’assèchement du lac Tchad.
Géographe, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), Géraud Magrin répond aux questions sur les causes des fluctuations de la superficie du lac Tchad et sur les manières de s’y adapter au mieux. Interview réalisée en marge des travaux du 8e Forum mondial sur le développement durable, qui a lieu à N’Djamena du 29 au 31 octobre 2010.
En marge du 8e Forum mondial sur le développement durable qui se déroule à N’Djamena du 29 au 31 octobre, le Premier ministre tchadien Emmanuel Nadingar revient sur les solutions qui peuvent, selon lui, remédier au problème de l’assèchement du lac Tchad. Interview.
Les organisateurs suisses du XIIIe sommet de la Francophonie, qui s’est déroulé à Montreux du 22 au 24 octobre, avaient tout prévu pour la quarantaine de chefs d’État et de gouvernement venus sur les bords du lac Léman.