Un prêt de 200 milliards de F CFA a été accordé par un pool bancaire à la Caisse nationale de sécurité sociale. Quarante-cinq mille retraités vont enfin pouvoir toucher leur pension.
Le Congo a retrouvé l’aide du FMI en juillet 2019 avant de la voir suspendue six mois plus tard, faute d’accord avec ses créanciers Glencore et Trafigura. La situation pourrait se débloquer au cours de ce premier semestre.
Alors que va s’ouvrir la campagne pour la présidentielle du 21 mars, à laquelle Denis Sassou Nguesso se porte candidat pour un quatrième mandat, les jeux semblent déjà faits. Contexte sanitaire et économique oblige, les Congolais ont la tête ailleurs. Et les plus franches critiques ne viennent pas de l’opposition…
Malgré ses parcs nationaux, son littoral, ses aires protégées, sa forêt tropicale, sa flore et sa faune sauvage exceptionnelle, le pays est encore néophyte en matière d’écotourisme. Mais ces dernières années, quelques trentenaires se sont lancés dans l’aventure… Portraits.
À cheval sur les deux Congos, la plus vaste zone de tourbières tropicales de la planète doit à tout prix être préservée. Sous peine de voir ce gigantesque piège à CO2 devenir une véritable bombe à retardement climatique.
Élément-clé du soft power diplomatique de Brazzaville, le Bassin du Congo sera au cœur des enjeux écologiques de la COP26, prévue en Écosse en novembre. Objectif : préserver cet écosystème unique au monde et faire prendre conscience des enjeux cruciaux qui s’y jouent.
Le rétablissement du programme prévu avec le FMI, suspendu tant que les discussions entre l’État et les négociants pétroliers n’auront pas abouti, est la principale urgence du Premier ministre congolais.
À l’heure où s’ouvre la campagne pour la présidentielle fixée au 21 mars, tout le monde ou presque s’accorde à dire que Denis Sassou Nguesso sera probablement reconduit pour un quatrième mandat. Sans que cela ne provoque de remous.
Le chef de l’État congolais, qui a nommé le 6 février une équipe de campagne imposante afin de l’accompagner pour la présidentielle du 21 mars, s’entoure aussi de ses fidèles et de membres de sa famille.
La Cour a validé la candidature du président sortant, Denis Sassou Nguesso, ainsi que celles de ses anciens ministres devenus opposants, Guy-Brice Parfait Kolélas et Mathias Dzon. La candidature de Michel Mboussi Ngouari a en revanche été rejetée.
En 2015, l’aîné, Guy-Brice Parfait, quittait le gouvernement, et son cadet, Euloge Landry, y entrait. S’ils revendiquent tous deux les valeurs prônées par leur père, les fils de l’ancien Premier ministre Bernard Kolélas sont devenus frères ennemis.
À la veille de l’ouverture de la campagne électorale, le secrétaire général du parti au pouvoir revient sur les objectifs de son mandat à la tête de la formation et sur le soutien inconditionnel que celle-ci compte apporter à son candidat, le président Denis Sassou Nguesso.
Le premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale, chef de file de l’opposition congolaise, a annoncé qu’il ne serait finalement pas candidat à la présidentielle du 21 mars prochain.
Moins d’un an après son arrivée, Yves Castanou, le DG de l’opérateur national, lance un vaste plan de « transformation ». Trop ambitieux ? L’analyse de Jeune Afrique.
Le chef de l’État congolais a annoncé, le 23 janvier, qu’il briguerait un quatrième mandat consécutif le 21 mars. Ancien officier parachutiste aujourd’hui âgé de 77 ans, il portera les couleurs du Parti congolais du travail (PCT) et des formations de la majorité présidentielle.
À quelques jours de voir son dossier examiné par le conseil d’administration du FMI, la République du Congo est enfin proche d’une restructuration de sa dette auprès du trader, a appris Jeune Afrique.
La compagnie française, qui voit déjà son planning de vols aminci par la crise du Covid, doit composer avec les autorités équato-guinéennes et congolaises pour maintenir son calendrier.
« Ces Africaines qui bousculent la science » (4/5). Face à la résistance des parasites responsables du paludisme aux traitements à base d’artémisinine, la jeune scientifique congolaise met en avant la pharmacopée traditionnelle.
Ouverte le 25 novembre, à quatre mois de l’élection présidentielle de mars 2021, la concertation nationale politique de Madingou, dans le département de la Bouenza, débouchera-t-elle sur les conditions d’un scrutin apaisé ?
Plusieurs chefs d’État africains ont participé à un colloque commémorant le 80e anniversaire de la proclamation de Brazzaville comme « capitale de la France libre » par le général De Gaulle.
Mené par le patron de BGFI, Henri-Claude Oyima, un groupe d’institutions financières mobilise près de 500 millions d’euros pour régler une partie des arriérés de l’État congolais.
Outre ses liens toujours soutenus avec la France, le pays continue d’entretenir des relations très étroites, et redynamisées ses vingt dernières années, avec la Chine, la Russie et Cuba.
Lors des funérailles de l’ancien président congolais Pascal Lissouba, célébrées le 31 août à Perpignan, en France, sa fille Mireille a évoqué son parcours et son héritage. « Jeune Afrique » publie le texte lu à cette occasion.
Ancien Premier ministre et ex-ambassadeur du Congo en France, l’écrivain Henri Lopes raconte l’atmosphère confuse qui régnait au Congo dans les années 1960 et 1970.
Congo Terminal (Bolloré, AP Moller et Socotrans) a modernisé ses installations pour allier performance et économies d’échelle. Un investissement payant.
Denis Sassou Nguesso devrait se porter candidat pour un quatrième mandat à la présidentielle de mars 2021. Après l’électrochoc créé par la chute des cours du brut, un aggiornamento s’impose mais les résistances sont nombreuses.