Homme de lettres, magistrat de formation, ex-animateur radio… Nommé mi-mai à la tête du gouvernement, Anatole Collinet Makosso est, depuis quinze ans, réputé proche du couple présidentiel.
Le président congolais Denis Sassou Nguesso a nommé un nouveau gouvernement dans lequel son fils fait son entrée et qui comptera par ailleurs un membre de la principale formation d’opposition, a-t-on appris dans la nuit de samedi à dimanche.
Le chef de l’État congolais a nommé mercredi soir un nouveau Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, ministre de l’Enseignement dans le gouvernement sortant.
« Le casse-tête de la transition énergétique » (3/3). Le groupe de Patrick Pouyanné a lancé la plantation d’une forêt de 40 000 hectares à 200 km au nord de Brazzaville. Une première sur le continent pour l’entreprise.
Les avocats de l’homme d’affaires libanais, condamné aux côtés de Vital Kamerhe, vont engager de nouvelles poursuites, notamment pour torture. Dans leur viseur, plusieurs personnalités politiques congolaises.
Amis de longue date, « protégés » du doyen… Pas moins de 19 chefs d’État ont confirmé leur présence à Brazzaville, le 16 avril. Voici la liste des invités VIP à cette cérémonie.
Denis Sassou Nguesso a été définitivement élu président du Congo pour un quatrième mandat consécutif, selon un arrêt de la Cour constitutionnelle qui a jugé « irrecevables » les recours d’opposants appelant à l’annulation du scrutin.
Les résultats de l’autopsie diligentée par la justice française après la mort de l’opposant, candidat à la présidentielle face à Denis Sassou Nguesso, écartent la thèse de l’empoisonnement.
L’opposant congolais, 61 ans, principal adversaire de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle du 21 mars, est décédé aux premières heures du lendemain, le 22. Voici le récit des jours qui ont précédé son évacuation à Paris.
Implantée près de Dolisie et déjà active dans l’analyse des sols, CA-Agri, coentreprise entre le congolais GTC et le sud-africain VS-Agri, s’apprête à lancer son unité de production d’engrais.
Décédé lundi 22 mars à l’âge de 61 ans, considéré comme le seul opposant de poids face à Denis Sassou Nguesso dans la présidentielle, il tentait pour la seconde fois de battre le chef de l’État congolais, dont il fut un ministre.
L’opposant congolais Guy-Brice Parfait Kolélas, principal rival de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle de dimanche, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi.
Les opérations de vote pour la présidentielle ont commencé timidement ce dimanche au Congo-Brazzaville, où six candidats affrontent le président sortant, Denis Sassou Nguesso.
Quelque 2,5 millions d’électeurs sont appelés aux urnes ce dimanche. Entre un paysage politique écrasé par la toute puissance de Denis Sassou Nguesso et de son parti, le retrait de la candidature du chef de file de l’opposition et les liens qui ont pu exister entre le président sortant et ses principaux concurrents, pour les Congolais, les jeux semblent déjà faits.
Utilisés entre autres par Glencore et Trafigura, les prépaiements de matières premières ont mené le Congo et le Tchad au bord du précipice, estime le FMI. Pour les professionnels du secteur, cette pratique « vieille de plusieurs siècles » a pourtant de beaux jours devant elle.
Entre la chute des cours du brut et le Covid-19, la capitale économique congolaise a perdu des points de croissance et des emplois, notamment dans le secteur des hydrocarbures. Mais les activités portuaires devraient permettre de garder le cap.
Il a suffi de quelques centaines de panneaux photovoltaïques et d’un complexe frigorifique pour transformer la vie d’un village de pêcheurs de la Cuvette.
Un prêt de 200 milliards de F CFA a été accordé par un pool bancaire à la Caisse nationale de sécurité sociale. Quarante-cinq mille retraités vont enfin pouvoir toucher leur pension.
Le Congo a retrouvé l’aide du FMI en juillet 2019 avant de la voir suspendue six mois plus tard, faute d’accord avec ses créanciers Glencore et Trafigura. La situation pourrait se débloquer au cours de ce premier semestre.
Alors que va s’ouvrir la campagne pour la présidentielle du 21 mars, à laquelle Denis Sassou Nguesso se porte candidat pour un quatrième mandat, les jeux semblent déjà faits. Contexte sanitaire et économique oblige, les Congolais ont la tête ailleurs. Et les plus franches critiques ne viennent pas de l’opposition…
Malgré ses parcs nationaux, son littoral, ses aires protégées, sa forêt tropicale, sa flore et sa faune sauvage exceptionnelle, le pays est encore néophyte en matière d’écotourisme. Mais ces dernières années, quelques trentenaires se sont lancés dans l’aventure… Portraits.
À cheval sur les deux Congos, la plus vaste zone de tourbières tropicales de la planète doit à tout prix être préservée. Sous peine de voir ce gigantesque piège à CO2 devenir une véritable bombe à retardement climatique.
Élément-clé du soft power diplomatique de Brazzaville, le Bassin du Congo sera au cœur des enjeux écologiques de la COP26, prévue en Écosse en novembre. Objectif : préserver cet écosystème unique au monde et faire prendre conscience des enjeux cruciaux qui s’y jouent.
Le rétablissement du programme prévu avec le FMI, suspendu tant que les discussions entre l’État et les négociants pétroliers n’auront pas abouti, est la principale urgence du Premier ministre congolais.
À l’heure où s’ouvre la campagne pour la présidentielle fixée au 21 mars, tout le monde ou presque s’accorde à dire que Denis Sassou Nguesso sera probablement reconduit pour un quatrième mandat. Sans que cela ne provoque de remous.
Le chef de l’État congolais, qui a nommé le 6 février une équipe de campagne imposante afin de l’accompagner pour la présidentielle du 21 mars, s’entoure aussi de ses fidèles et de membres de sa famille.
La Cour a validé la candidature du président sortant, Denis Sassou Nguesso, ainsi que celles de ses anciens ministres devenus opposants, Guy-Brice Parfait Kolélas et Mathias Dzon. La candidature de Michel Mboussi Ngouari a en revanche été rejetée.