Prévue dans la journée de mercredi, l’annonce des résultats de l’élection présidentielle congolaise se fait encore attendre. La Commission électorale procède encore au décompte des voix et a indiqué qu’il faudrait être patient…
Denis Sassou Nguesso a été réélu président du Congo avec 78,61% des voix lors du scrutin du 12 juillet, dont le taux de participation a dépassé les 66%, selon les résultats complets provisoires proclamés mercredi, contestés avant même leur publication par l’opposition.
Le taux de participation à la présidentielle de dimanche au Congo fait débat. Alors que le pouvoir parle d’un taux « au-dessus » de la moyenne, l’opposition évoque une « abstention record de plus de 90% »… Et ce ne sont pas les observateurs, eux-mêmes divisés, qui vont les départager.
Les Congolais devront attendre mercredi pour connaître les résultats complets provisoires de l’élection présidentielle de dimanche, qui semble assurer au chef d’Etat sortant Denis Sassou Nguesso la victoire malgré une polémique sur la participation.
Les Congolais élisent ce dimanche leur président. Alors que le camp du président sortant Denis Sassou Nguesso encourage à aller voter massivement, plusieurs challengers appellent au boycott.
L’affluence était « très timide » à l’ouverture, parfois retardée, des bureaux de vote pour la présidentielle congolaise de dimanche. Les opérations se déroulent pour l’heure dans le calme.
Les Congolais se sont rendus aux urnes dimanche, dans le calme mais timidement, pour élire leur président, le sortant Denis Sassou Nguesso faisant figure de grand favori face à douze adversaires, dont plusieurs ont appelé au boycottage du scrutin.
L’élection présidentielle de dimanche au Congo a été marquée par un taux d’abstention « de plus de 90% », ont affirmé dans la soirée à Brazzaville six candidats qui avaient appelé au boycottage du vote, en réclamant un nouveau scrutin.
L’ancien chef rebelle congolais Frédéric Bintsamou dit Pasteur Ntumi s’est déclaré partisan du boycott de la présidentielle de dimanche. Selon lui, le scrutin « est mal organisé ».
La campagne pour l’élection présidentielle de dimanche au Congo devait s’achever vendredi à minuit. Une campagne marquée par les appels au boycott de candidats de l’opposition qui prédisent une élection truquée.
Treize candidats s’affronteront lors du premier tour de la présidentielle du 12 juillet prochain. Cinq d’entre eux appartiennent à l’opposition, divisée entre la tendance « radicale » et la tendance « modérée ».
Le gouvernement congolais a mis en garde les « perturbateurs » potentiels de l’élection qui se déroulera le 12 juillet prochain. sa déclaration répondait aux accusations d’un membre de l’opposition pour qui tout est déjà « joué ».
Candidat pour un nouveau mandat à la présidentielle du 12 juillet, le chef de l’État congolais ne semble guère douter de sa victoire face à des concurrents aussi déterminés que divisés. Transparence du scrutin, critiques de l’opposition, bilan du septennat écoulé, affaire des « biens mal acquis », disparition d’Omar Bongo Ondimba… Entretien avec un homme toujours aussi sûr de lui-même et de son destin.
A deux semaines de la présidentielle du 12 juillet, le chef de l’Etat congolais, candidat pour un nouveau mandat, est un homme serein. Dans un entretien exclusif accordé à Jeune Afrique, il explique pourquoi il va gagner et livre ses vérités sur tous les sujets : l’affaire des « biens mal acquis », la transparence du scrutin, les critiques de l’opposition et les menaces de boycott de l’élection présidentielle, l’éventualité d’une nouvelle constitution, la disparition d’Omar Bongo Ondimba.
La campagne pour la présidentielle a commencé ce vendredi. Le 12 juillet, un peu plus de deux millions d’électeurs sont appelés à choisir entre treize candidats, dont le président sortant Denis Sassou Nguesso.
Deux candidats de l’opposition dite « modérée » au scrutin présidentiel du 12 juillet au Congo ont menacé lundi de se retirer du processus électoral, dénonçant notamment des retards dans la publication des listes électorales.
La Cour constitutionnelle congolaise a annoncé vendredi avoir rejeté quatre candidatures à la présidentielle du 12 juillet. Deux d’entre elles concernent le Front uni des partis de l’opposition, qui estime que cette décision « grave » est « susceptible de troubler la paix ».
Dix-sept candidats se présentent à l’élection présidentielle du 12 juillet, dont le chef de l’Etat sortant Denis Sassou Nguesso. La Cour constitutionnelle doit désormais statuer sur la validité des candidatures.
Le président congolais a annoncé samedi sa candidature à l’électino présidentielle du 12 juillet. Onze candidats sont désormais en lice pour ce scrutin.
Le premier tour de l’élection présidentielle au Congo aura lieu le 12 juillet prochain. Le 10 mars 2002, Denis Sassou Nguesso avait été élu pour un mandat de sept ans, avec 89,5 % des suffrages exprimés. Reste à savoir si son score sera aussi éloquent sept ans après… Car même si le président sortant n’a pas encore déclaré ses intentions, celles-ci ne semblent pas faire de doutes.
Le Congo-Brazzaville a signé un accord avec Cuba, qui veut aider le pays à lutter contre le paludisme, une des principales causes de la mortalité infantile. La Havane va notamment faire parvenir au Congo des produits biologiques.
Des ONG de défense des droits de l’homme ont réclamé mercredi « vérité et justice » sur l’affaire des « disparus du Beach » de Brazzaville, il y a dix ans, et appelé la justice française à poursuivre de façon « effective » son travail sur ce dossier.
La date de la présidientielle congolaise a été fixée au 12 juillet prochain. Le scrutin sera organisé par la Commission nationale d’organisation des élections, qui n’inspire aucune confiance à l’opposition.
Le Parquet de Paris a fait appel d’une décision favorable à l’ouverture d’une enquête sur trois présidents africains accusés d’avoir détourné des fonds publics pour acquérir des biens immobiliers, entre autres. La cour d’appel n’a pas de délai pour se prononcer sur la requête du ministère public.
Le doyen des juges d’instruction de Paris a jugé recevable une plainte déposée contre trois chefs d’Etat africains accusés d’avoir détourné des fonds publics pour s’offrir en France de luxueux biens, notamment immobiliers. Point sur les acquisitions présumées d’Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso et Teodoro Obiang Nguema.
La doyenne des juges du pôle financier de Paris a jugé mardi recevable une plainte visant trois chefs d’Etats africains soupçonnés de posséder en France des biens immobiliers financés par de l’argent public détourné, a-t-on appris auprès du parquet de Paris.
Le 30 avril, Bolloré Africa Logistics prendra officiellement les clés du terminal à conteneurs du Port autonome de Pointe-Noire (PAPN). En décembre dernier, associé à l’opérateur congolais Socotrans, le groupe français de logistique et de manutention portuaire a emporté le contrat de concession du PAPN pour vingt-sept ans, à l’issue d’un appel d’offres très disputé et encadré par les bailleurs de fonds.