Un réseau de fibre optique performant couvre désormais l’ensemble des régions rwandaises. Reste à développer son utilisation dans tous les secteurs économiques et sociaux. Dans le public comme dans le privé, les innovations ne manquent pas.
Les exploitations rétrécissent à mesure que la population rwandaise se densifie. Pourtant, des baux longue durée sont concédés à des sociétés étrangères. Les raisons de ce paradoxe.
Pour optimiser la productivité, l’accent est mis sur la recherche et la formation. Reportage à Rubona (Sud), où un centre sino-rwandais de démonstration des techniques agricoles vient d’être inauguré.
Des combats entre l’armée congolaise et des mutins se sont déroulés samedi dans la province du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, empêchant le pays de célébrer ce jour-là son indépendance.
Réalisateur et producteur prolifique, Eric Kabera est à l’origine d’un festival et d’un institut de formation dévolus au septième art. Son nouveau défi : ouvrir la première salle de cinéma de la capitale.
La fédération rwandaise organise deux courses internationales. Face à l’engouement de la population, elle songe à faire de ce sport l’équivalent de ce qu’est devenu l’athlétisme au Kenya : une spécialité.
Lancé en 2009, ce site d’information trilingue et au ton enlevé est le plus visité du Rwanda. Forte de son succès, la start-up a lancé un hebdomadaire tiré à 2 000 exemplaires.
Les dossiers sensibles de la transparence de l’administration ou de la liberté de la presse lui ont été confiés. Le directeur général de l’Office rwandais de la gouvernance, Anastase Shyaka, explique ce qui va changer.
Le président rwandais Paul Kagamé a appelé les anciennes puissances coloniales à respecter « la dignité » des pays africains, dans un discours prononcé à Kigali à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de son pays recouvrée le 2 juillet 1962
Finis les grands discours. Place à Twitter et aux messages de 140 caractères. Les dirigeants africains sont de plus en plus nombreux à s’essayer à l’exercice, avec plus ou moins d’assiduité et de réussite. Zoom sur les poids lourds de la twittosphère politique africaine.
La RDC a exigé jeudi 28 juin que les autorités rwandaises « cessent de laisser leurs officiers continuer à alimenter la guerre au Congo ». Une déclaration percutante qui intervient alors que des négocitations sécuritaires ont lieu à Goma (Nord-Kivu) entre les deux pays.
Symbole national et attraction très lucrative, le gorille fait l’objet d’une attention redoublée de la part des autorités rwandaises. Tout comme, plus généralement, les trois parcs nationaux.
Agités depuis 2010 et la tentative d’assassinat contre le général rwandais Faustin Kayumba Nyamwasa, les rapports rwando-sud-africains sont en cours de normalisation.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo a jugé « profondément regrettable » que « la frénésie médiatique » au sujet de l’implication présumée du Rwanda dans la rébellion en cours à l’Est de la RDC ait abouti à la publication d’un rapport d’étape des Nations unies sur le sujet. La version finale du document est attendue pour novembre prochain.
Plus de 40 % du budget de l’État rwandais est encore alimenté par l’étranger. Kigali fait tout pour réduire cette dépendance et renégocier les conditions d’utilisation de ces subsides, au nom de l’Afrique.
Les experts de l’ONU ont présenté le 21 juin leur rapport sur la situation en République démocratique du Congo (RDC). Comme prévu, la partie concernant les soutiens extérieurs à la mutinerie du M23 n’a pas été rendue publique, mais le document fourmille d’informations et de détails. Le point en cinq questions-réponses.
Une fois n’est pas coutume, le 1er juillet, le petit État célébrera l’anniversaire de son indépendance, en même temps que la victoire du Front patriotique rwandais et le début de la reconstruction du pays qu’il commémore chaque 4 juillet. Sans faste, dans la cohésion et la réflexion.
C’est l’heure de la pause dans le parc national des Volcans du Rwanda pour la famille Agashya. Les enfants se roulent sur le dos de leurs mères, les parents dégustent troncs d’arbres, plantes épineuses et foisonnantes.
Les défections de militaires se poursuivent en République démocratique du Congo (RDC) où plusieurs soldats ont déserté dans la nuit de vendredi à samedi pour rejoindre la mutinerie d’ex-rebelles que l’armée combat depuis mai dans la province du Nord-Kivu (est), a-t-on appris de sources concordantes.
Le groupe d’experts de l’ONU sur la RDC affirme avoir des preuves que trois des plus hauts gradés rwandais soutiennent la mutinerie congolaise du M23, a rapporté l’agence Reuters. Celle-ci affirme avoir eu accès à des notes prises lors d’une présentation orale le 13 juin, mais ne donne pas plus de précision.
Trois lieutenants-colonels et quatre majors de l’armée congolaise ont rejoint la mutinerie Mouvement du 23 mars (M23) « avec 166 hommes », a affirmé jeudi 21 juin le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, se présentant comme le porte-parole du M23.
« Le Conseil de sécurité doit rappeler le Rwanda à ses obligations internationales et exiger le retrait immédiat et sans conditions des membres des forces armées qui se dissimuleraient dans les rangs de la rébellion » qui sévit au Nord-Kivu, a déclaré la République démocratique du Congo dans un courrier adressé au Conseil sécurité de l’ONU
Lors d’une conférence de presse, mardi 19 juin à Kigali, le président rwandais Paul Kagamé a accusé la « communauté internationale » d’avoir cherché à chasser du pouvoir le président congolais, Joseph Kabila. Il a également affirmé la neutralité du Rwanda dans la crise au Nord-Kivu.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo et son homologue congolais Raymond Tshibanga ont ouvert lundi 18 juin à Kinshasa une série de discussions sur la situation dans le Nord-Kivu. La RDC a récemment dénoncé la la passivité des autorités rwandaises, qui sont accusées, dans un rapport de la Monusco, de soutenir les mutins du M23.