Par Jeannette Kagamé, première dame du Rwanda, membre du conseil d’administration des Amis du Fonds mondial Afrique, et Aigboje Aig-Imoukhuede, directeur général d’Access Bank Plc, président du conseil d’administration des Amis du Fonds mondial Afrique
Une embuscade apparemment menée par deux soldats des FDLR a conduit un camion de transport dans un ravin de la forêt de Walikale (Nord-kivu, est de la RDC). Bilan provisoire : au moins 23 morts.
La justice internationale a émis un mandat d’arrêt contre lui, mais Kinshasa refuse de le livrer. Accusé de crimes de guerre, l’ex-chef rebelle est maintenant général des Forces armées. Retour sur une affaire qui dérange.
Le Collectif des parties civiles pour le Rwanda (CPCR) exige que Callixte Mbarushimana, poursuivi par la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité en RDC, soit également jugé pour sa participation présumée au génocide de 1994.
La cour d’appel de Paris a ordonné la remise du secrétaire exécutif des rebelles rwandais FDLR, Callixte Mbarushimana, à la Cour pénale internationale. Il peut encore se pourvoir en cassation pour contester cette décision.
La justice française a annulé l’arrêté préfectoral refusant un titre de séjour à la veuve de l’ancien président rwandais Juvénal Habyarimana. Un nouvel examen de la situation d’Agathe Habyarimana devrait avoir lieu.
Didace Nduguyangu et Antoine Karemera, poursuivis pour l’assassinat du journaliste rwandais Jean-Léonard Rugambage, ont été condamnés à une peine de prison à vie.
Les organisateurs suisses du XIIIe sommet de la Francophonie, qui s’est déroulé à Montreux du 22 au 24 octobre, avaient tout prévu pour la quarantaine de chefs d’État et de gouvernement venus sur les bords du lac Léman.
L’un des principaux leaders des rebelles hutus rwandais (FDLR), Callixte Mbarushimana, arrêté il y a peu à Paris, devra rester en détention. Sa demande de remise en liberté ayant été rejetée par la cour d’appel.
Les autorités rwandaises accusent Paul Rusesabagina de terrorisme et le soupçonnent de soutenir le mouvement rebelle hutu FDLR, basé en République démocratique du Congo. Un mandat d’arrêt international pourrait être émis à son encontre.
La Cour pénale internationale avait lancé un mandat d’arrêt contre lui. L’un des leaders de la rébellion rwandaise, Callixte Mbarushimana, a été arrêté à Paris le 11 octobre.
L’ONG basée à Paris Reporters sans Frontières a publié le 20 octobre son rapport 2010 sur la liberté de la presse dans le monde. Portant sur 178 pays, cette neuvième livraison conforte les pays du nord de l’Europe, consacre quelques belles progressions comme le Mali, mais fustige aussi quelques États comme le Rwanda ou la Tunisie. Et la France.
Dans une interview exclusive à « Jeune Afrique », l’ancien président de l’Assemblée nationale congolaise, Vital Kamerhe, lève le voile sur ses intentions pour 2011.
Dans une lettre ouverte adressée au Conseil de sécurité de l’ONU, la plateforme de l’opposition rwandaise demande l’intervention de l’organisation internationale auprès du président Paul Kagamé pour la libération de personnalités politiques, dont celle de Victoire Ingabire.
À peine réélu, le président Rwandais a affirmé qu’il n’était « pas intéressé » par un troisième mandat. En 2017, à l’issue de son second septennat, il entend bien quitter le pouvoir.
Retour à la case prison pour Victoire Ingabire, toujours poursuivie pour « propagation de l’idéologie du génocide », « négationnisme » et « divisionnisme ». Des accusations que ses partisans jugent infondées.
Outre la « guerre des monnaies », la question du rééquilibrage des sièges, souhaité par les États-Unis, était au coeur de l’assemblée annuelle du Fonds monétaire international (FMI), qui s’est tenue à Washington les 8 et 9 octobre 2010 sans arriver à trancher le problème. Car celui-ci est fort complexe : les premiers à faire les frais de la nouvelle politique américaine ne seraient pas les Européens, mais des pays émergents comme le Brésil, l’Inde ou le Rwanda…
Callixte Mbarushimana, le chef des FDLR arrêté à Paris en exécution d’un mandat de la CPI, est aussi un des responsables du génocide au Rwanda en 1994, selon l’association de rescapés tutsis, Ibuka.
C’est un sérieux revers pour les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Un de leurs principaux dirigeants, Callixte Mbarushimana, a été arrêté à Paris le 11 octobre. Il est poursuivi par la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Lundi 11 octobre, devant le tribunal administratif de Versailles, le rapporteur public a officiellement demandé au préfet de l’Essonne de « réexaminer » le dossier de demande de titre de séjour d’Agathe Habyarimana, veuve de l’ancien président rwandais assassiné en 1994. La décision en délibéré du tribunal a été fixée au 2 novembre.
La justice sud-africaine a refusé la libération sous caution de Pascal Kanyandekwe, accusé de la tentative d’assassinat du général rwandais en exil Faustin Kayumba Nyamwasa. D’après la cour, il a proposé un million de dollar aux policiers lors de son arrestation.
Les Nations unies publient une nouvelle version de leur rapport sur les crimes en RD Congo commis entre 1993 et 2003. Le Rwanda et l’Ouganda, mis en cause, en rejettent les conclusions.
L’ONU publie le 1er octobre, son rapport sur les crimes en RD Congo de 1993 à 2003. En prenant de nombreuses précautions dans l’emploi du mot « génocide » pour qualifier les crimes imputés à l’armée rwandaise.
Dans son audition du mois de juin, Joshua Ruzibiza a reconnu n’avoir pas lui même assisté à l’opération, selon lui menée par le FPR, pour abattre l’avion de l’ancien président rwandais Juvénal Habyarimana en 1994.
En exil au Norvège depuis quelques années, Joshua Abdul Ruzibiza est décédé à l’âge de 40 ans à Oslo. Il était le témoin clé dans l’enquête sur l’attentat contre l’avion du président Juvénal Habyarimana.
Un rapport préliminaire des Nations unies sur les violences au RD Congo fait état d’au moins 303 viols commis dans 13 villages du territoire de Walikale au Nord-Kivu en 4 jours.
Ancien chef de la diplomatie et actuel ministre de l’Éducation, Charles Murigande répond au rapport de l’ONU accusant son pays d’exactions en RD Congo.