Quatorze ans après le pire massacre collectif que l’Afrique ait connu, le chef de l’État rwandais continue d’appliquer sa thérapie de choc : discipline de fer, développement à marche forcée et nationalisme ombrageux. Les bailleurs de fonds anglo-saxons ap
Comment transformer son pays en un dragon africain, trouver une solution aux tensions avec la RD Congo et aux relations difficiles avec Paris ? Le chef de l’État rwandais apporte sa part de vérité. Et se défend de faire du génocide un fonds de commerce.
À la veille de la commémoration du dixième anniversaire du génocide et de la célébration de son accession au pouvoir, le chef de l’État revient sur le chemin parcouru et lève le voile sur les ambitions qu’il nourrit pour son pays.