Le groupe français a officiellement inauguré jeudi son Centre de services numériques pour l’Afrique de l’Ouest. L’effectif de 250 personnes qui y est actif depuis 2014 sera porté à 400 d’ici fin 2016. 2 000 ingénieurs doivent à terme y travailler.
Le fils de l’ex-président Abdoulaye Wade a été gracié dans la nuit de jeudi à vendredi par Macky Sall. Sorti de prison en pleine nuit, il s’est immédiatement envolé pour le Qatar.
Le procès de Fabienne Kabou, mère infanticide d’origine sénégalaise accusée du meurtre de sa fille de 15 mois en novembre 2013, a fait place aux réquisitions ce matin. L’avocat général, Luc Frémiot, requiert « la peine de 18 années de réclusion criminelle, assortie d’un suivi socio-judiciaire, avec injonction de soins ».
L’agence américaine a maintenu la note souveraine ‘’B+/B’’ du Sénégal avec des perspectives stables, en ligne avec la note attribuée en juin 2015. Cette note — encore dans la catégorie hautement spéculative — reste, toutefois, limitée par la faiblesse du revenu par tête et une faible marge de manœuvre en matière de politique monétaire, a estimé l’agence.
Karim Wade, libéré de prison après avoir été gracié dans la nuit de jeudi à vendredi par le président Macky Sall, a quitté le Sénégal, a appris Jeune Afrique auprès d’une source à la présidence sénégalaise.
Un communiqué de la présidence de la République sénégalaise diffusé dans la nuit a annoncé que Karim Wade bénéficiait d’une grâce et qu’il était donc libre. Il a immédiatement quitté la prison de Rebeuss.
Alors que le procès de Fabienne Kabou à la Cour d’Assises du Pas-de-Calais se poursuit après trois jours d’audience, la personnalité énigmatique de cette mère infanticide d’origine sénégalaise, accusée du meurtre de sa fille de 15 mois en novembre 2013, n’a pas fini de semer le trouble.
La Société générale de banques au Sénégal (SGBS) a réalisé un profit de 4 milliards de F CFA en 2015 (6 millions d’euros), après avoir essuyé une perte nette de 36,4 milliards de F CFA en 2014, a-t-elle indiqué mercredi.
Donné pour mort, opéré en urgence en France, le plasticien sénégalais a profité d’une longue période d’hospitalisation pour réaliser plus d’une cinquantaine d’œuvres traversées d’un intense souffle vital.
Après avoir ouvert dans les temps le premier magasin Leader Price au Maroc, OCS Holding, présidé par François Bonnot, a également décroché le contrat de développement au Sénégal de cette enseigne du groupe français Casino, a appris « Jeune Afrique ».
Le groupe de microfinance Microcred a obtenu 12 millions de dollars de financement de la Fondation MasterCard pour faciliter l’inclusion financière dans trois pays africains, la Côte d’Ivoire, le Sénégal et Madagascar. Ce fonds permettra à Microcred d’étendre sa gamme de produits à environ 1,2 millions de clients d’ici 2019, a-t-il annoncé dans un communiqué diffusé dimanche.
Le mystère plane autour de Fabienne Kabou, accusée d’avoir tué sa fille en 2013 en l’abandonnant sur une plage de la localité de Berck-sur-Mer, à marée montante. Débuté ce lundi, le procès de cette mère infanticide d’origine sénégalaise devant la Cour d’assises de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais (France), est consacré au décryptage de sa personnalité. Retour sur les deux premiers jours d’audience.
La filiale du français Orange a revu à la hausse son offre pour acquérir l’exploitation de la 4G qu’elle commercialisera d’ici quelques mois. Elle paie également 68 milliards de F CFA pour renouveler sa concession qui arrivait à échéance en 2017.
Malgré ses 90 ans, Abdoulaye Wade n’entend pas lâcher les rênes du Parti démocratique sénégalais, poussant la plupart de ses anciens lieutenants à quitter le navire libéral. Enquête sur un naufrage annoncé.
Il a la confiance du président sénégalais, mais le nouveau directeur de l’entreprise ne fait pas l’unanimité. Car l’ex-patron de la Senelec, s’il sait redresser une société en difficulté, est moins à l’aise sur le terrain social.
Le deuxième opérateur mobile du Sénégal va démarrer dans quelques semaines, à Diamniadio (centre-ouest), la construction de son nouveau « datacenter » (centre de données). Il va coûter plus de 3 milliards de F CFA (4,57 millions d’euros).
Mahamoudou Issoufou a achevé sa cinquième visite à l’Élysée, jeudi 16 juin. Depuis l’arrivée de François Hollande au pouvoir en 2012, le président nigérien est l’un des chefs d’État africains les plus vus à Paris. Et le vôtre, fait-il partie du même cercle ?
Difficile de s’y retrouver dans un pays où 267 formations politiques sont officiellement recensées. Sans doute la « modernisation des partis », adoptée par référendum, permettra-t-elle de faire le ménage.
Selon les informations de plusieurs médias sénégalais mercredi, le président Macky Sall a évoqué devant d’influents chefs religieux musulmans une possible libération prochaine du fils de l’ancien chef de l’État.
Selon un communiqué de Jive/Epic (Sony), le chanteur sénégalais a rejoint le label et sortira un nouvel album en octobre. S’ensuivra une tournée européenne.
En visite à Dakar, le président de l’Agence de coopération internationale japonaise (JICA) a annoncé un prêt de 135 milliards de F CFA (205 millions d’euros). L’un des grands projets d’hydraulique urbaine du pays, l’unité de dessalement d’eau de mer près de Dakar, devra sécuriser l’approvisionnement la capitale sénégalaise pendant au moins 20 ans, selon le gouvernement.
En 2013, Patisen affichait un chiffre d’affaires de 143 millions de dollars, pour un bénéfice de 16,77 millions de dollars. L’ambition de son fondateur d’ici cinq à 10 ans ? « Être présent de Dakar à Djibouti et se muer ainsi en champion continental ». Reportage réalisée par l’émission « Réussite », co-produite par le Groupe Jeune Afrique, Canal+ Afrique et Galaxie Presse.
Hors service depuis 2007, la centrale électrique du Cap des Biches à Rufisque (20 km de Dakar) a été officiellement remise en service lundi. Elle est dotée d’une capacité totale actuelle de 53 mégawatts (MW) et une extension de 30 MW est prévue en septembre.
Un avocat de l’ex-président tchadien Hissène Habré a réclamé lundi sa libération immédiate, affirmant que sa condamnation à perpétuité par un tribunal spécial africain à Dakar était « nulle » en raison d’une irrégularité sur la désignation des juges.
En mai 1968 le Sénégal est touché par des mouvements estudiantins similaires à ceux de Paris, dont la virulence conduit le président Senghor à se réfugier dans une base militaire française. Ces journées de contestation, violemment réprimées, se solderont par des accords entre le gouvernement, le patronat et les travailleurs, sans que les étudiants y soient conviés.