Visé par trois chefs d’inculpation, le maire de la commune de Sacré-Coeur/Mermoz à Dakar, Barthélémy Dias, a été incarcéré ainsi que son garde du corps après les violences politiques du 22 décembre. Une mesure qui suscite l’émoi au sein du PS sénégalais.
L’Ivoirien a pris la tête de Vivo Energy, l’entité née du rachat des activités aval du pétrolier dans quatorze pays du continent. Le choix de la continuité : il a travaillé quinze ans pour le géant anglo-néerlandais.
Le maire de Sacré-Coeur/Mermoz, à Dakar, et deux des commanditaires présumés de l’attaque le 22 décembre contre sa mairie ont vu leur garde à vue prolongée de quarante-huit heures. Dans l’opposition sénégalaise, des voix s’élèvent pour dénoncer un complot du pouvoir.
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, persiste et signe : la guerre contre Kadhafi a été pour la région un facteur de déstabilisation, et la façon dont ce dernier a été tué « laissera des traces ». Pour lui, le dictateur libyen devait certes quitter le pouvoir, mais en douceur : « C’était possible », regrette-t-il.
Dans le numéro de Jeune Afrique paru le 25 décembre (2659-2660), Idrissa Seck se confie. Avare en paroles, l’ex-Premier ministre sénégalais a cependant toujours la formule-choc.
Passée par les Etats-Unis, Léna Sène est la directrice de campagne d’Idrissa Sek pour la présidentielle sénégalaise du 26 février 2012. Zoom sur une étoile montante.
Le Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) a désigné vendredi 23 décembre Abdoulaye Wade candidat du parti pour la présidentielle de 2012. Dans le même temps, l’opposition qui juge cette candidature anti constitutionnelle, manifeste à Dakar.
Tout le monde les lit, tout le monde en parle, et pourtant les sondages sont interdits à l’approche de la présidentielle sénégalaise. Enquête sur un anachronisme.
Un jeune homme se rendant au bureau politique du Parti démocrate sénégalais (PDS) a été tué jeudi 22 décembre à Dakar. Les circonstances du drame restent encore floues.
L’absence des plus hautes autorités françaises aux obsèques de l’ancien chef de l’État sénégalais, Léopold Sédar Senghor, restera comme une blessure dans les relations entre les deux pays.
Il y a dix ans, le 20 décembre 2001, disparaissait Léopold Sédar Senghor. Si les jeunes le connaissent mal, nombre de politiques sénégalais se réclament encore du président-poète disparu. À commencer par Abdoulaye Wade.
Directeur de publication de la revue « Présence africaine », il signe une biographie de Senghor qui paraîtra en février 2012 (éditions Perrin, 23 euros)
À l’occasion du dixième anniversaire de la disparition de l’ancien président sénégalais Léopold Sédar Senghor, Jeune Afrique ouvre ses archives et reproduit ici l’article « Senghor 1906 – 2001, une vie un siècle » paru dans l’édition du 25 décembre 2001 au 7 janvier 2001.
À trois mois de la présidentielle sénégalaise, la scission de la principale coalition de l’opposition, Bennoo Siggil Senegal, ouvre une large voie à Abdoulaye Wade dont la candidature à un troisième mandat est controversée. Mais aussi à ses anciens dauphins Macky Sall et Idrissa Seck, ce qui rend un second tour quasiment inévitable.
L’Italie est sous le choc. Après les deux meurtres de deux vendeurs ambulants sénégalais sur deux marchés de Florence par un militant d’extrême droite le 13 décembre, le pays s’interroge sur la portée de ce drame.
Le renouvellement du parc de cars de la capitale sénégalaise, Dakar, exacerbe la concurrence entre la société publique et une association d’opérateurs privés. Cette dernière a pris l’avantage. Pour l’instant.
Carlos Lopes est directeur général de l’Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (Unitar). Il explique pourquoi l’Afrique a tout intérêt à développer ses relations avec les pays émergents.
Candidat à la présidentielle de février 2012 au Sénégal, le leader de l’Alliance pour la République Macky Sall estime qu’il est temps que le chef de l’État quitte le pouvoir. Entretien avec un homme qui fut longtemps un fidèle d’Abdoulaye Wade… et qui est aujourd’hui l’un de ses plus solides adversaires.
Deux sénégalais ont été tués par balles par un militant d’extrême droite mardi 13 décembre à Florence en Italie. Trois autres sont gravement blessés. Le meurtrier a mis fin à ses jours.
La future procureure générale de la CPI, Fatou Bensouda, accorde une interview exclusive à Jeune Afrique dans son édition n° 2657, en kiosques du 11 au 17 décembre. Et fait le tour de la question des rapports compliqués de son institution avec le continent.
Le français Eramet et l’australien Mineral Deposits Ltd ont créé la coentreprise TiZir, qui doit exploiter la mine sénégalaise d’ilménite et de zircon située au nord-est de Dakar.
Le renouvellement du parc de cars de la capitale sénégalaise, Dakar, exacerbe la concurrence entre la société publique et une association d’opérateurs privés. Cette dernière a pris l’avantage. Pour l’instant.
Dans une interview à Jeune Afrique (n° 2656, en kiosques du 4 au 10 décembre), l’opposant sénégalais Macky Sall explique pourquoi, selon lui, le président Abdoulaye Wade doit céder la place et ne pas se représenter à la présidentielle de février 2012.
Leurs dernières négociations ont été sanctionnées par un nouvel échec, jeudi 1er décembre au soir. Parce que Ousmane Tanor Dieng et Moustapha Niasse ne s’entendent pas, la coalition de l’opposition Benno Siggil Senegal n’aura sans doute pas de candidat pour la présidentielle sénégalaise. Une voie royale pour Abdoulaye Wade ?
L’ex-Premier ministre sénégalais Hadjibou Soumaré est le nouveau président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine. Une nomination qui ne fait pas que des heureux.
L’indophilie plonge ses racines en plein coeur de l’Afrique, notamment au Sénégal où elle est devenue au fil des ans un véritable phénomène de société. Vue à travers le prisme du Bollywood et des séries télévisées sentimentales, la culture indienne fascine, représentant une sorte de monde parallèle et exutoire, pétri des mêmes valeurs et des mêmes interdits que nombre de société africaines. Voyage au coeur l’Indafrique.