Candidat à l’élection présidentielle de 2024, à laquelle le chef de l’État ne se présentera finalement pas, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur souhaite que tous, y compris Ousmane Sonko, puissent concourir.
Si le filtrage des candidatures s’est assoupli, il ne bénéficiera pas pour autant à chacun. Difficile de savoir qui, à ce jeu de chaises musicales, pourra s’asseoir en février 2024…
Un projet de partenariat entre la ville sénégalaise de Thiès et celle de Sébastopol, en Crimée, ravive les positionnements nationaux sur le conflit ukrainien.
Quelques jours après qu’il a renoncé à solliciter un troisième mandat à la tête du Sénégal, nous avons échangé avec Macky Sall pour mieux comprendre les ressorts de sa décision. Rencontre avec un futur ex-président soucieux de gérer sa succession.
En refusant, le 3 juillet, de briguer un troisième mandat, le président sénégalais a pris de court jusqu’aux cadres de sa propre majorité. Jeune Afrique s’est procuré un document détaillant les éléments de langage qui avaient été soumis, dans les deux hypothèses, aux ministres afin de préparer leurs interventions dans les médias.
Avec un investissement de 8 milliards de francs CFA, le terminus du TER à l’aérogare vient d’être livré pour assurer la liaison entre Diamniadio et l’AIBD avant décembre 2023.
Au cœur de la ville sainte du mouridisme, un maître coranique est soupçonné d’avoir abusé de 36 de ses élèves. Retour sur l’un des plus gros scandales sexuels de l’histoire du Sénégal.
Suivie par 230 000 personnes sur le réseau social, la Franco-Béninoise mélange recettes de cuisine et récit de son quotidien de mère et d’influenceuse. Elle lance aujourd’hui une marque de service de table inspirée du continent africain.
Le renoncement de Macky Sall a rebattu les cartes au sein de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY). Les trois principaux partis qui la composent opteront-ils pour une candidature unique ?
Au Sénégal, le fait que le chef de l’État ne se représente pas rassure les investisseurs face aux risques de troubles, toujours courants avant un scrutin présidentiel.
Pour la première fois dans l’histoire du pays, une présidentielle se déroulera sans le chef de l’État sortant. Pour Abdou Souleye Diop, associé gérant de Mazars au Maroc, c’est l’occasion de pousser les acteurs politiques à promouvoir de vrais projets de société.
De la progression du terrorisme dans le Sahel aux transitions en cours après les putschs au Mali, au Burkina Faso et en Guinée, le président bissau-guinéen, qui termine son mandat à la tête de la Cedeao, a accordé un entretien exclusif à Jeune Afrique.
Le holding royal marocain, via sa nouvelle filiale dédiée à l’agroalimentaire, doit devenir actionnaire majoritaire du champion sénégalais dirigé par Youssef Omaïs.
Au lendemain de l’annonce de la non-candidature du président Macky Sall, l’ancienne Première ministre, qui avait fait de la lutte contre le troisième mandat son cheval de bataille, appelle à poursuivre la mobilisation pour l’organisation d’une présidentielle « libre et inclusive ».
Le Pastef d’Ousmane Sonko refuse d’envisager un candidat alternatif pour la présidentielle de 2024, alors que l’opposant peut être arrêté à tout moment. Et ce en dépit de la décision de Macky Sall de ne pas se présenter.
Macky Sall hors du jeu, tout comme Moustapha Niasse, le scrutin de 2024 verra s’affronter de nombreux candidats n’ayant jamais concouru à une élection présidentielle.
Soucieux de garder le suspense jusqu’au bout, le chef de l’État sénégalais a piloté lui-même la retransmission en direct de son discours du 3 juillet. Voici les dessous d’un moment très attendu.
Rencontre avec la directrice financière de la Banque africaine de développement, l’une des stratèges qui murmure à l’oreille du président d’Akinwumi Adesina.
En difficulté au Maroc, le poids lourd de l’immobilier multiplie les projets à l’ouest du continent. Déjà présent à Abidjan, Dakar, Conakry et Accra, il vient de s’engager à construire 1 000 logements collectifs à Lomé.
Les messages positifs se sont multipliés depuis que le chef de l’État a déclaré qu’il ne serait pas candidat en 2024. Soulagés, ses adversaires se disent néanmoins décidés à s’assurer que l’élection se déroule dans les meilleures conditions.
Dans le propre entourage du chef de l’État, son renoncement à briguer un troisième mandat en février 2024 a surpris. Surtout que de nombreuses questions restent en suspens.
Après des mois de spéculations sur ses intentions, le président sénégalais a finalement déclaré lundi soir à la télévision nationale qu’il ne briguerait pas de troisième mandat à la présidentielle de février 2024.
L’opposant sénégalais, condamné à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse, s’est exprimé quelques heures avant que le chef de l’État prenne la parole et lève le voile sur ses ambitions pour la présidentielle de 2024.
Le président sénégalais a prôné l’unité devant ses partisans et dit qu’il annoncera le 3 juillet s’il se présentera pour un troisième mandat, lors de la remise samedi à Dakar d’une pétition d’élus locaux en faveur de sa candidature.
Condamné au Sénégal pour « corruption de la jeunesse », l’opposant a fait les frais d’un délit très français, abandonné depuis longtemps dans le pays qui l’a vu naître.
Autrice et musicienne, la Franco-Sénégalaise sort un premier roman, « Djinns », et fait le choix de la complexité par rapport aux prises de position identitaires.
Proche de plusieurs chefs d’État africains, l’architecte sénégalais a tenté une médiation entre Macky Sall et Ousmane Sonko. Un exercice dont il est coutumier mais qui, cette fois, a échoué.
Les manifestations de début juin ont fait huit morts à Pikine. La deuxième ville du pays, en banlieue de Dakar, est un concentré des crispations de la société sénégalaise. Mais elle reste aussi une terre à l’identité forte et à la jeunesse créative.
La décision de justice par laquelle l’opposant sénégalais a été condamné à deux ans de prison a été diffusée ce mercredi. En principe, il peut désormais être arrêté à tout moment.
Le signal télévision du groupe de presse a été suspendu le 1er juin pour une durée d’un mois, une première au Sénégal. Une « coupure politique », dénonce son PDG, Cheikh Niasse.