Rien ne les rapproche sinon d’avoir été condamnés pour « corruption de la jeunesse ». Et si le procès de Socrate éclairait la condamnation récente d’Ousmane Sonko ?
Depuis la condamnation d’Ousmane Sonko, le 1er juin, plusieurs personnalités mènent des missions de bons offices. En vain, bien que l’opposition ait renoncé à ses mobilisations des 9 et 10 juin.
Déjà bien implantée au Sénégal, la marque a récemment ouvert un magasin à Abidjan et souhaite développer sa vente en ligne. Son design inspiré du continent séduit une clientèle d’affaires.
Pendant un mois, des agents parcourent le pays pour récolter les données démographiques, économiques et sociales d’une population dont l’accroissement rapide constitue un défi de taille dans un contexte de fortes tensions politiques.
Le coordinateur du mouvement citoyen Y’en a marre est l’un des leaders de la plateforme F24, mobilisée contre un éventuel troisième mandat du président sénégalais. À la veille de la marche interdite du 10 juin à Dakar, il répond aux questions de « Jeune Afrique ».
À la demande notamment d’Adji Sarr, qui accuse l’opposant de l’avoir violée entre fin 2020 et début 2021, un procès en appel aura lieu dans l’affaire judiciaire qui tient les Sénégalais en haleine.
La ministre des Affaires étrangères a convié le corps diplomatique basé à Dakar pour lui livrer sa version sur les violences meurtrières qui ont secoué le pays la semaine passée.
Le président français a téléphoné à son homologue le 4 juin. Au menu des discussions : la crise politique sénégalaise après la condamnation d’Ousmane Sonko, à l’approche de la présidentielle prévue en février 2024.
Confronté pour la deuxième fois de son mandat à de violentes manifestations, le président a pour l’instant semblé garder le contrôle de la situation. Face à lui, l’opposition a appelé à de nouvelles manifestations.
Les heurts qui ont éclaté après la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko ont fait 16 morts. Le président Macky Sall a rappelé sa détermination à protéger la nation.
L’opposant sénégalais, qui n’a pas quitté son domicile dakarois depuis le 28 mai dernier, demeure en contact régulier avec son entourage. La tension de ces derniers jours est en partie retombée, mais la menace d’une arrestation continue de peser sur lui.
Tandis qu’Ousmane Sonko a été condamné à 2 ans de prison pour « corruption de la jeunesse », les autorités sénégalaises tardent à faire adopter un code de l’enfant pourtant finalisé. Principal point de crispation : les mariages précoces. Une discrète réunion a eu lieu à ce sujet il y a quelques mois.
Après des agressions contre des représentations sénégalaises à l’étranger, le gouvernement annonce la fermeture provisoire de ses consulats. Le calme revient à Dakar, mais Macky Sall ne s’est toujours pas exprimé.
Les différents secteurs de l’économie sont ébranlés par l’insécurité qui secoue le pays depuis la condamnation d’Ousmane Sonko. Si la situation perdurait, la perception du pays à l’international pourrait en pâtir.
En dépit d’une baisse des tensions depuis le 4 juin, la situation reste instable au Sénégal après la condamnation d’Ousmane Sonko. Sécurité, stratégie politique, communication… Sur qui s’appuie le chef de l’État pour garder la main ?
Après les violences meurtrières qui ont suivi la condamnation d’Ousmane Sonko, la situation reste tendue. Pour l’écrivain et universitaire El Hadji Malick Ndiaye, tous les protagonistes seront condamnés au tribunal de l’Histoire pour avoir échoué à préserver la paix sociale.
La police nationale a accusé des « civils armés » de se battre aux côtés des manifestants lors des heurts qui ont suivi la condamnation d’Ousmane Sonko. Des images prouvent pourtant que certains d’entre eux évoluent aux côtés des forces de l’ordre.
Depuis la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko, le 1er juin, le pays est en proie à des violences qui ont fait 16 morts. Le Pastef et le gouvernement s’en rejettent la responsabilité.
L’ancien Premier ministre, qui s’est retiré en avril de la coalition au pouvoir, trace son chemin vers la magistrature suprême en s’appuyant sur une équipe d’amis, de fidèles et d’anciens camarades de route du Parti démocratique sénégalais (PDS).
La tension reste vive deux jours après la condamnation d’Ousmane Sonko, alors que les émeutes ont déjà fait au moins 15 morts. Manifestants et internautes parviennent toutefois à contourner le blocage des réseaux sociaux.
Poursuivi pour viols, l’opposant sénégalais a finalement été condamné pour « corruption de la jeunesse ». Retour sur un verdict qui alimente la polémique.
Plusieurs des joueurs stars de l’équipe des Lions de la Teranga, dont Sadio Mané, ont lancé des appels au calme alors que le Sénégal est le théâtre d’émeutes meurtrières après la condamnation d’Ousmane Sonko.
L’armée a été déployée dans les rues de Dakar, alors que 15 personnes ont été tuées en deux jours à la suite de violence. De quoi faire craindre le pire si l’opposant Ousmane Sonko, condamné à deux ans de prison, était arrêté.
L’opposant, qui peut être arrêté « à tout moment », demeure reclus dans son domicile dakarois depuis sa condamnation. Les violences entre manifestants et forces de l’ordre ont déjà fait neuf morts dans le pays.
Ce jeudi 1er juin, le président du Pastef, principal opposant au président Macky Sall, a été condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse ». Des heurts ont été signalés dans la capitale sénégalaise.
L’opposant sénégalais a été reconnu coupable « de corruption de la jeunesse » ce jeudi 1er juin. Il a en revanche été acquitté des faits de viol dont il était accusé.