Passé sans transition d’une opposition certes radicale mais classique à l’apologie de la désobéissance civile, Ousmane Sonko pourrait bien avoir franchi la ligne jaune. Le verdict dans son procès pour viols doit être connu ce jeudi 1er juin.
En cours depuis le 26 mai, la cyberattaque perpétrée par un groupe de hackers bangladais peut avoir un impact concret sur le travail quotidien de l’administration.
L’opposant, dont le jugement pour « viols et menaces de mort » doit être prononcé jeudi 1er juin, tente de jouer la carte de la rue en appelant « le peuple à se lever » contre le chef de l’État sénégalais.
Après avoir entretenu le mystère ce dimanche 28 mai, l’opposant sénégalais a dévoilé les circonstances de son retour à Dakar, sous la contrainte des gendarmes.
Afin d’empêcher le président sénégalais de se représenter, l’opposant espère obtenir l’appui de Washington. Il s’est donc offert les services de deux spécialistes des relations publiques.
Plusieurs partis de l’opposition prendront part au « dialogue national » qui doit débuter le 31 mai. En espérant voir entérinées leurs propositions en vue de la présidentielle de 2024.
L’opposant sénégalais a été interpellé dimanche par des gendarmes dans le sud du pays et ramené de force à son domicile de Dakar alors qu’il venait d’entamer sa « caravane de la liberté » vers la capitale.
Leader du secteur avicole, le groupe dirigé par Anta Babacar Ngom Diack doit capitaliser sur ses forces et corriger ses faiblesses, afin de faire face à une concurrence féroce et d’être en mesure d’écrire une nouvelle page de son histoire.
Alors que « la caravane de la liberté » s’apprête à prendre la route, l’exécutif sénégalais soupçonne l’opposant de chercher à se faire arrêter pour éclipser l’infamie d’une condamnation pénale.
Alors que le verdict de son procès pour viols devrait être prononcé le 1er juin, l’opposant sénégalais lance un appel à « une caravane de la liberté » qui devra s’élancer de Zinguinchor pour rallier la capitale.
Le procès pour viols s’est finalement tenu hier, en l’absence de l’opposant sénégalais, resté à Ziguinchor. L’audience s’est terminée tard dans la nuit, au terme de plusieurs témoignages détaillés et parfois contradictoires. Dix ans de prison ont été requis.
Depuis son ouverture, en 2008, le « French bistrot » de Johan Gaudel met à l’honneur des plats traditionnels de France. Tout en les faisant voisiner avec la gastronomie locale.
Messages d’information, alertes de sécurité, interventions commerciales… Tout au long de leur trajet entre la capitale sénégalaise et Diamniadio, les usagers du Train express régional sont accompagnés par la coordinatrice informations-voyageurs Gnagna Diallo.
L’opposant sénégalais a réclamé vendredi soir que certaines conditions sur sa sécurité personnelle soient remplies pour être présent à son procès pour viols présumés, à trois jours d’une nouvelle audience à Dakar.
Ni avec Yewwi Askan Wi, dont il critique les méthodes, ni avec Macky Sall, qui devrait selon lui renoncer à se représenter, Babacar Diop, le maire de Thiès, veut tracer son propre chemin.
Le procès pour viols de l’opposant sénégalais, prévu ce mardi, a été renvoyé au 23 mai prochain. Ses avocats ont assuré qu’il serait présent lors de la prochaine audience si sa sécurité était assurée.
Au Sénégal, le président du Pastef doit comparaître ce 16 mai au tribunal pour viol. Ses soutiens se sont rassemblés la veille à Ziguinchor, ville dont il est maire, et des heurts ont éclaté. Un policier a été tué accidentellement par un blindé des forces de l’ordre, et des manifestants ont été blessés.
Depuis le premier jour, l’opposant et ses partisans dénoncent une machination politique orchestrée au sommet de l’État. L’accusé parviendra-t-il à en convaincre ses juges ?
En mars 2021, alors que les partisans d’Ousmane Sonko redoutent son placement en détention provisoire, des émeutes éclatent à travers le Sénégal. Mais pendant plusieurs mois, la justice fera du surplace.
En février 2021, la jeune Adji Sarr porte plainte pour viol contre l’opposant sénégalais. Protégé par l’immunité parlementaire, celui-ci dénonce une tentative de liquidation politique.
Alors que s’ouvre ce mardi 16 mai à Dakar le procès pour viols de l’opposant Ousmane Sonko face à la jeune Adji Sarr, Jeune Afrique revient sur la saga politico-judiciaire qui, depuis 2021, agite le Sénégal.
Des milliers de Sénégalais se sont rassemblés vendredi dans la capitale pour dire non à l’éventuelle candidature de Macky Sall et pour soutenir l’opposant Ousmane Sonko, visé par la justice à l’approche de la présidentielle de février 2024.
Il y a cinquante ans, le jeune intellectuel de 26 ans mourait en détention sur l’île de Gorée. Une tache noire de l’ère Senghor, qui entretient le mythe d’un martyr aujourd’hui adulé pour son engagement révolutionnaire.
Dakar a bien l’intention d’être candidat à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations 2027. Les autorités sénégalaises devront l’officialiser auprès de la Confédération africaine de football (CAF) au plus tard le 23 mai prochain.
Le chef de l’État sénégalais a annoncé une série de mesures en faveur de la lutte traditionnelle. Compassion envers un secteur en difficulté ou calcul électoraliste ?