Les deux jeunes sénégalais sont soupçonnés d’avoir fait traverser la Méditerranée à 54 migrants africains qui payaient « 4 000 euros chacun », a annoncé la police espagnole.
« Jeune Afrique » revenait cette semaine sur les grandes leçons de la présidentielle. Dans ce cinquième et dernier volet, Bakary Sambe, spécialiste des religions, explique les raisons de la victoire d’Idrissa Seck dans la région de Diourbel, considérée comme le bastion électoral de la confrérie mouride.
Le ministère sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement avait, à la surprise générale et en dépit de l’offre moins-disante de la Sénégalaise des eaux, attribué le marché de la distribution de l’eau potable à Suez. Une décision invalidée le 13 février par le régulateur, qui a publié sa décision le 8 mars.
« Jeune Afrique » revient cette semaine sur les grandes leçons de la présidentielle. Dans ce quatrième volet, Vincent Foucher, chargé de recherche au CNRS, analyse les raisons de la victoire sans appel d’Ousmane Sonko en Basse-Casamance, région dont il est lui-même originaire.
« Jeune Afrique » revient cette semaine sur les grandes leçons du scrutin. Dans ce troisième volet, Papa Fara Diallo, docteur en sciences politiques, décrypte la situation dans la capitale sénégalaise, où Macky Sall est arrivé en tête, malgré une majorité de votes en faveur des candidats de l’opposition.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a officiellement proclamé Macky Sall vainqueur de l’élection présidentielle, avec 58,26 % des voix. Ses quatre adversaires avaient renoncé à contester les résultats provisoires annoncés le 28 février.
« Jeune Afrique » revient cette semaine sur les grandes leçons du scrutin. Dans ce deuxième volet, Étienne Smith, maître de conférences en sciences politiques, analyse le vote de la diaspora sénégalaise.
Une quinzaine de personnes, dont un ancien porte-parole de l’armée, ont été arrêtés au Sénégal pour notamment « troubles à l’ordre public, incitation à la révolte » à la suite de l’élection présidentielle, ont indiqué des membres de l’opposition et des défenseurs des droits humains.
Du Fouta à la Casamance et de Dakar à Touba, en passant par la diaspora, « Jeune Afrique » revient cette semaine sur les grandes leçons du scrutin dans cinq bastions électoraux où s’est en partie jouée l’élection. Dans ce premier volet, le chercheur Alassane Bèye évoque les résultats pharaoniques de Macky Sall dans la vallée du fleuve Sénégal.
Si Macky Sall s’est imposé dès le premier tour de la présidentielle, Ousmane Sonko et Idrissa Seck ont su tirer leur épingle du jeu. Quant à Abdoulaye Wade, il semble avoir perdu de son aura…
Jeudi 28 février, le juge Demba Kandji, président de la Commission nationale de recensement des votes (CNRV), a rendu publics les résultats provisoires de la présidentielle sénégalaise, qui doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel. Jeune Afrique publie ces résultats, département par département, et revient sur les scores les plus significatifs du scrutin.
Il avait appelé au boycott d’une élection qu’il estimait jouée d’avance, en l’absence de son fils Karim et de Khalifa Sall. Pourtant le taux de participation a été nettement plus élevé qu’en 2012. Une stratégie « kamikaze » forgée quatre ans plus tôt, au climax de l’affaire Karim Wade…
Dès le premier jour de son élection, tout élu pense à sa réélection. Le premier jour d’une réélection, il réfléchit à sa reconversion. Dans une lettre ouverte adressée à Macky Sall au lendemain de sa réélection, le politologue Cheikh Omar Diallo prophétise ce que pourrait être le deuxième mandat du président sénégalais.
Alors que la Commission nationale de recensement des votes a proclamé Macky Sall vainqueur au premier tour, ses quatre concurrents viennent d’annoncer qu’ils ne déposeraient pas de recours devant le Conseil constitutionnel, bien qu’ils contestent les résultats.
Macky Sall a remporté la présidentielle dès le premier tour, selon les résultats provisoires proclamés ce jeudi par la Commission nationale de recensement des votes. Ces chiffres doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel. Les quatre autres candidats ont annoncé ne pas vouloir déposer de recours devant le Conseil constitutionnel.
Le Sénégal attend avec fébrilité l’annonce jeudi des résultats, encore provisoires, du premier tour de la présidentielle qui a mis aux prises le président sortant Macky Sall, dont le camp revendique la victoire, à quatre opposants qui entendent le contraindre à un second tour à l’issue indécise.
L’entreprise française Eiffage, associée à Saipem, filiale de l’italien Eni, a remporté un contrat à 350 millions d’euros pour la construction des infrastructures du terminal gazier offshore à la frontière maritime entre le Sénégal et la Mauritanie.
Dans son nouveau documentaire, le réalisateur sénégalais Alassane Diago fait longuement face à son géniteur, qui a quitté sa famille pendant vingt ans sans donner de nouvelles.
Ce dimanche 24 février, 6,6 millions de Sénégalais ont été appelés aux urnes pour désigner leur futur président. Au terme d’une journée de vote dont plusieurs missions d’observation ont salué le déroulement, la tension est montée d’un cran dans la soirée, avec le dépouillement des suffrages. Les premières tendances ont en effet amené les différents candidats à des revendications contradictoires.
Macky Sall a revendiqué dimanche soir, par la bouche de son Premier ministre, sa victoire dès le premier tour de la présidentielle. Un scénario impossible, selon Thierno Bocoum, responsable de la communication de la coalition d’Idrissa Seck.
S’il fallait encore une preuve de la supériorité du degré de maturité démocratique du Sénégal par rapport à celui de la quasi-totalité des autres pays francophones du continent (et même de beaucoup de pays anglophones), la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février vient de la fournir.
Au Sénégal, 6,6 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes ce dimanche. Premières tendances, réactions, analyses… Retour sur une soirée électorale tendue, alors que les chiffres officiels ne sont pas encore connus.
Meetings réglés au millimètre, militants convoyés par bus entiers, prises de paroles enflammées ou improvisations de débutant… Retour en images sur la campagne présidentielle sénégalaise, avec le photoreporter Sylvain Cherkaoui.
Idrissa Seck, candidat de la coalition « Idy2019 », a voté en fin de matinée dans une école élémentaire de Thiès, sa ville natale et son bastion électoral, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Dakar.
Le président sortant a voté dimanche matin peu après 9h dans sa ville natale de Fatick, à environ 150 kilomètres au sud-est de Dakar. Il a salué la « forte mobilisation » de ses compatriotes, qui se rendent aux urnes ce dimanche pour le premier tour de l’élection présidentielle.
Après trois semaines de campagne animée, plus de six millions de Sénégalais sont attendus aux urnes dimanche pour départager le président sortant Macky Sall de ses quatre autres adversaires : Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Madické Niang et Issa Sall.
Au cours des trois dernières décennies, le Sénégal a connu sept élections présidentielles pluralistes. Si la réélection au premier tour du président sortant a été la règle, les rares scrutins à deux tours ont été synonymes d’alternance.
Les Sénégalais sont appelés aux urnes dimanche pour élire leur président parmi Macky Sall, qui brigue un second mandat, et les candidats de l’opposition Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Issa Sall et Madické Niang.
Retrait des cartes d’électeurs, préparation des bureaux de vote, mais aussi polémique sur le fichier électoral… À 48 heures du premier tour de l’élection présidentielle, ce dimanche, la bonne organisation du scrutin est au centre de toutes les attentions.
Emplois des jeunes, ligne ferroviaire Dakar-Bamako, banque dédiée à la diaspora… À quelques heures de la clôture de la campagne électorale, Jeune Afrique revient sur les principales promesses économiques des cinq candidats en lice pour le scrutin présidentiel du 24 février prochain. Florilège.