Le rappeur Simon a diffusé sur Internet, le jour de la Saint-Valentin, son morceau « Yaa Tey ! », dans lequel il « déclare sa flamme » au président Macky Sall, à quelques jours de l’élection du 24 février. Une déclaration au deuxième degré qui fait le buzz…
Arrivé il y a une semaine dans la capitale sénégalaise, l’ancien président sénégalais a multiplié les rencontres avec des représentants de l’opposition. Mais mercredi soir, Abdoulaye Wade a réitéré ses appels à attaquer les bureaux de vote pour empêcher la tenue de la présidentielle.
Fatou N’Diaye rayonne dans « Un ange », du réalisateur belge Koen Mortier, une fable amoureuse inspirée d’un fait réel : la mort mystérieuse d’un coureur cycliste au Sénégal.
À une dizaine de jours du premier tour de l’élection présidentielle sénégalaise, le porte-parole de Y en a marre appelle ses compatriotes à massivement aller voter le 24 février. Et assure que le mouvement citoyen ne soutient aucun candidat. Interview.
Pour s’assurer que l’élection du futur président sénégalais se déroule dans de bonnes conditions, l’Eglise du Sénégal envoie des « observateurs » formés dans différents bureaux de vote. Au total, un millier de volontaires composés de membres de la commission « justice et paix » et des scouts du Sénégal se mobilisent.
La gendarmerie sénégalaise a arrêté 24 personnes, dont une vingtaine de partisans d’Issa Sall, et saisi des armes après les violences électorales qui ont jusqu’à présent fait au moins deux morts.
La campagne #SunuDébat, lancée début janvier par quelques citoyens sénégalais sur les réseaux sociaux, a fini par se concrétiser : un débat télévisé entre les candidats à la présidentielle aura lieu le jeudi 21 février. Seul Macky Sall refuse encore d’y participer.
Les responsables politiques et la société civile au Sénégal appelaient au calme lundi soir après le premier mort signalé depuis le début de la campagne présidentielle lors de heurts entre militants du parti au pouvoir et de l’opposition.
Le richissime homme d’affaires sénégalais Harouna Dia a joué un rôle déterminant dans le ralliement inattendu de l’avocate Aïssata Tall Sall, députée et maire de Podor, au président Macky Sall.
Matchs annulés, versement non effectué… Quelques mois après l’accord conclu fin 2018 entre Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) et le média chinois StarTimes, sa mise en oeuvre se révèle compliquée.
L’un est un novice, l’autre un habitué des arcanes du pouvoir. À quelques jours d’une présidentielle dont Macky Sall est le favori, Ousmane Sonko et Idrissa Seck incarnent les deux faces d’une classe politique en pleine recomposition.
Madické Niang a rompu la consigne du « Karim ou rien » en vigueur au Parti démocratique sénégalais (PDS) pour se présenter à la présidentielle. Dans cette élection, cet ex-membre du cercle rapproché d’Abdoulaye Wade joue son avenir politique.
Politologue, spécialiste du Sénégal et maître de conférences à Sciences-Po Bordeaux, Étienne Smith livre son analyse sur la nouvelle donne politique au Sénégal, à quelques jours de la présidentielle.
La Cour de justice de la Cedeao a rejeté la demande de « mesures provisoires » déposée par les avocats de Khalifa Sall. L’instance statuera le 20 février, quatre jours avant le scrutin, sur son droit – ou non – à briguer le fauteuil présidentiel. Le même jour, la Cour jugera la requête de Karim Wade portant sur son inscription sur les listes électorales.
En appelant ses partisans à brûler leur carte d’électeur et celles de leur famille, lors d’un meeting improvisé à Dakar, ce jeudi, l’ancien président sénégalais a franchi un cap supplémentaire dans son appel au boycott de l’élection présidentielle. Mais son mot d’ordre provoque le scepticisme dans son propre camp.
L’ex-président Abdoulaye Wade est rentré jeudi au Sénégal, où il a réitéré son appel à empêcher l’élection du 24 février, « verrouillée » selon lui pour assurer la reconduction de son successeur Macky Sall. Un appel qui n’a, pour l’instant, rencontré que peu d’écho.
Le secrétaire général d’And Jëf-PADS, proche d’Abdoulaye Wade, a annoncé mercredi son ralliement à Idrissa Seck. Une prise de position contraire à celle de Wade – qui refuse de soutenir tout autre candidat que son fils Karim – annoncée à la veille du retour de l’ancien président à Dakar.
Attendu au Sénégal ce jeudi, l’ex-président de la République a diffusé hier une vidéo appelant au boycott de l’élection du 24 février. Courtisé par les rares candidats en lice face à Macky Sall, l’ancien opposant historique a-t-il repris du service ?
L’ex-président sénégalais a appelé la population à s’opposer pacifiquement à la tenue d’une présidentielle « verrouillée », destinée selon lui à reconduire son successeur, Macky Sall. Il a également évoqué son retour au Sénégal, annoncé pour le jeudi 7 février.
La campagne pour l’élection présidentielle du 24 février au Sénégal a débuté dimanche pour trois semaines pendant lesquelles le sortant Macky Sall et ses quatre adversaires vont sillonner le pays.
L’ancien maire de Dakar et ex-président de l’Assemblée nationale va officialiser samedi son ralliement à Idrissa Seck. Un nouveau soutien de poids pour le candidat de la coalition « Idy 2019 » en vue de la présidentielle.
Alors que le premier vol commercial à destination de Paris est prévu pour le 1er février, l’Airbus commandé par Air Sénégal n’a pas encore été officiellement livré. C’est donc avec un appareil de location que commenceront les rotations.
Candidat à la présidentielle sénégalaise du 24 février, il compte créer la surprise. À l’image de son Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), qui avait fait une percée lors des dernières élections législatives.
Dans son documentaire « Les Anges », la journaliste britannique Jane Labous s’attaque au tabou de l’infertilité au Sénégal et donne la parole à des femmes qui se battent pour, un jour, devenir mères.
La maire de Podor soutiendra la réélection du président Macky Sall. Une décision qui suscite l’amertume sur les réseaux sociaux, tant cette dissidente socialiste, qui s’affichait hostile à l’actuel chef de l’État, donne l’impression d’avoir “transhumé” à quelques jours de l’élection.
Finances publiques sous contrôle, fin des coupures de courant, réalisation d’infrastructures, le bilan du chef de l’État sénégalais, candidat à un second mandat, est positif. Mais pour la population, l’émergence reste encore lointaine.
La restauration du film culte du réalisateur sénégalais Djibril Diop Mambéty offre une occasion de mesurer à nouveau la puissance poétique et l’humour de son cinéma.