Le « Senegambia Bridge » a été inauguré par les présidents sénégalais et gambien. Macky Sall et Adama Barrow ont été les premiers à emprunter cet ouvrage qui va très largement fluidifier les transports entre les deux pays et favoriser le désenclavement de la Casamance, dans le sud du Sénégal.
Tout comme Karim Wade, l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, a vu le Conseil constitutionnel rejeter définitivement sa candidature à la présidentielle. Il vient de saisir la Cour de justice de la Cedeao dans le cadre d’une procédure en urgence contre l’État du Sénégal.
Selon la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS), les importations autorisées par Dakar ont mis en péril sa survie. Des tensions exacerbées par la volonté de vendre du propriétaire.
En un an, Khalifa Sall aura accumulé les déconvenues. Condamné en justice, révoqué de sa fonction de maire de Dakar, empêché de se présenter à la présidentielle, il vient d’être destitué de son mandat de député…
Le célèbre mouvement citoyen sénégalais, qui célèbre ses huit ans ce vendredi, avait été un acteur clé de la victoire de Macky Sall contre Abdoulaye Wade en 2012. Mais un septennat plus tard, rien ne va plus entre le président sortant et Y en a marre.
C’est un hashtag qui prend de l’ampleur au Sénégal : #SunuDébat. Volonté affichée par les internautes : obtenir des candidats à la présidentielle du 24 février la participation à un débat télévisé. Initiatrice du mouvement sur Twitter, Awa Mbengue, les enjoint à « jouer le jeu démocratique ».
Ancienne Première ministre de Macky Sall, Aminata Touré est aujourd’hui la mandataire de sa campagne. Face aux critiques tous azimuts de l’opposition, elle défend le bilan de la loi sur les parrainages et assure que la présidentielle sera transparente.
Un des chantiers majeurs du premier mandat de Macky Sall, le Train express régional (TER), a été officiellement réceptionné ce 14 janvier, avant un voyage inaugural Diamniadio-Dakar en grande pompe. Mais les travaux sont loin d’être achevés.
Avant que sa candidature à la présidentielle ne soit écartée par le Conseil constitutionnel, ce 14 janvier, Karim Wade avait bien déposé une demande visant à renoncer à sa double nationalité française, comme la Constitution sénégalaise l’exige.
De plus en plus d’internautes sénégalais militent pour l’organisation d’un débat télévisé entre les candidats à la présidentielle du 24 février à travers le hashtag #SunuDébat sur les réseaux sociaux. Plusieurs challengers de Macky Sall se sont déclarés partants, mais le président, lui, ne semble pas séduit par l’idée.
Face au président sortant, Macky Sall, rares seront les challengers encore en lice lors du premier tour de la présidentielle, le 24 février. Une retombée de la loi sur les parrainages citoyens qui provoque la colère de l’opposition.
Le Conseil constitutionnel a rendu sa copie : sur les 27 dossiers de parrainages présentés par les candidats à la présidentielle sénégalaise de février 2019, 20 ont été rejetés. Dernier à avoir été éjecté de la course : Malick Gakou, candidat du Grand Parti, dont les parrainages ont été invalidés.
Réalisation d’une nouvelle autoroute, d’un nouveau siège pour la diplomatie sénégalaise… En visite à Dakar, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a réaffirmé la coopération entre les deux pays et le soutien de Pékin dans des projets d’infrastructure.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a rejeté 19 des 27 dossiers de parrainage déposés en vue de la présidentielle de 2019. L’opposition y voit une volonté d’éliminer les challengers qui devaient faire face au président sortant, Macky Sall…
La Cour suprême du Sénégal a rejeté le 3 janvier un recours de l’ex-maire de Dakar, Khalifa Sall, qui contestait sa condamnation à cinq ans de prison, notamment pour « escroquerie aux deniers publics ». Cette décision intervient à moins de deux mois de la présidentielle à laquelle Macky Sall est candidat.
L’homme d’affaires sénégalais d’origine libanaise, Youssef Omaïs, 64 ans, a réussi à hisser Patisen, qu’il a fondé en 1981, au rang de leader de l’industrie alimentaire au pays de la Teranga.
Des milliers de partisans de l’opposition sénégalaise ont manifesté vendredi à Dakar pour demander que la présidentielle du 24 février soit « juste et transparente », alors que deux des principaux opposants au président sortant et candidat Macky Sall risquent de voir leur candidature rejetée par le Conseil constitutionnel.
Il est un autre sport national au Sénégal que la lutte avec frappe : la prédiction compulsive quant à la date du retour à Dakar de Karim Wade, le candidat à la présidentielle du principal parti d’opposition…
Les gouvernements mauritanien et sénégalais ont signé vendredi à Nouakchott de nouveaux accords gaziers, les « derniers nécessaires » avant le lancement de l’exploitation à l’horizon 2022 du champ marin de « Grand Tortue-Ahmeyin », à la frontière entre les deux pays.
Le « Dakar Finance Cluster » cible le développement de la capitale sénégalaise comme place financière pour les start-up, les PME et la promotion de la fintech dans la sous-région.
L’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, saura le 3 janvier si la Cour suprême du Sénégal confirme sa condamnation pour « escroquerie aux deniers publics » et « faux et usage de faux dans des documents administratifs ». Il était devant les juges le 20 décembre.
En visite à Paris pour financer la deuxième phase du Plan Sénégal émergent (PSE), le président sénégalais, en campagne pour sa réélection en février prochain, a présenté lundi soir son livre « Le Sénégal au cœur » à ses compatriotes de la diaspora sénégalaise en France.
Le président sénégalais espérait 2 850 milliards de F CFA (4,9 milliards de dollars) des bailleurs institutionnels pour financer la phase 2 du Plan Sénégal émergent (2019-2023). À Paris, il a finalement obtenu des engagements pour 14 milliards de dollars.
Investi candidat par la coalition Benno Bokk Yakaar le 1er décembre, le chef de l’État sénégalais espère être élu pour un second mandat le 24 février prochain. Et compte sur son carré de fidèles pour l’épauler durant sa campagne.
Peu connu il y a encore quelques mois au Sénégal, volontiers provocant, le leader de Pastef, Ousmane Sonko, croit en ses chances face à Macky Sall en février 2019. Mais fait-il vraiment le poids ?
Pour financer la mise en œuvre du second volet du plan Sénégal émergent (PSE), le président sénégalais tentera de convaincre les bailleurs internationaux, réunis à Paris les 17 et 18 décembre prochains. Objectif : lever 2 850 milliards de F CFA.
Une note interne dénonçant la corruption au sein de certaines brigades a fuité dans la presse. La gendarmerie nationale promet la tolérance zéro et prévoit déjà des sanctions.
Le Parlement sénégalais a voté le 8 décembre la loi de Finances 2019 du pays qui s’élève à 4 000 milliards de F CFA. Dans ses grandes orientations, ce texte s’inscrit dans le sillage du plan Sénégal émergent (PSE), non sans une inclination fortement sociale en cette veille d’élection présentielle.