Un des chantiers majeurs du premier mandat de Macky Sall, le Train express régional (TER), a été officiellement réceptionné ce 14 janvier, avant un voyage inaugural Diamniadio-Dakar en grande pompe. Mais les travaux sont loin d’être achevés.
Avant que sa candidature à la présidentielle ne soit écartée par le Conseil constitutionnel, ce 14 janvier, Karim Wade avait bien déposé une demande visant à renoncer à sa double nationalité française, comme la Constitution sénégalaise l’exige.
De plus en plus d’internautes sénégalais militent pour l’organisation d’un débat télévisé entre les candidats à la présidentielle du 24 février à travers le hashtag #SunuDébat sur les réseaux sociaux. Plusieurs challengers de Macky Sall se sont déclarés partants, mais le président, lui, ne semble pas séduit par l’idée.
Face au président sortant, Macky Sall, rares seront les challengers encore en lice lors du premier tour de la présidentielle, le 24 février. Une retombée de la loi sur les parrainages citoyens qui provoque la colère de l’opposition.
Le Conseil constitutionnel a rendu sa copie : sur les 27 dossiers de parrainages présentés par les candidats à la présidentielle sénégalaise de février 2019, 20 ont été rejetés. Dernier à avoir été éjecté de la course : Malick Gakou, candidat du Grand Parti, dont les parrainages ont été invalidés.
Réalisation d’une nouvelle autoroute, d’un nouveau siège pour la diplomatie sénégalaise… En visite à Dakar, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a réaffirmé la coopération entre les deux pays et le soutien de Pékin dans des projets d’infrastructure.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a rejeté 19 des 27 dossiers de parrainage déposés en vue de la présidentielle de 2019. L’opposition y voit une volonté d’éliminer les challengers qui devaient faire face au président sortant, Macky Sall…
La Cour suprême du Sénégal a rejeté le 3 janvier un recours de l’ex-maire de Dakar, Khalifa Sall, qui contestait sa condamnation à cinq ans de prison, notamment pour « escroquerie aux deniers publics ». Cette décision intervient à moins de deux mois de la présidentielle à laquelle Macky Sall est candidat.
L’homme d’affaires sénégalais d’origine libanaise, Youssef Omaïs, 64 ans, a réussi à hisser Patisen, qu’il a fondé en 1981, au rang de leader de l’industrie alimentaire au pays de la Teranga.
Des milliers de partisans de l’opposition sénégalaise ont manifesté vendredi à Dakar pour demander que la présidentielle du 24 février soit « juste et transparente », alors que deux des principaux opposants au président sortant et candidat Macky Sall risquent de voir leur candidature rejetée par le Conseil constitutionnel.
Il est un autre sport national au Sénégal que la lutte avec frappe : la prédiction compulsive quant à la date du retour à Dakar de Karim Wade, le candidat à la présidentielle du principal parti d’opposition…
Les gouvernements mauritanien et sénégalais ont signé vendredi à Nouakchott de nouveaux accords gaziers, les « derniers nécessaires » avant le lancement de l’exploitation à l’horizon 2022 du champ marin de « Grand Tortue-Ahmeyin », à la frontière entre les deux pays.
Le « Dakar Finance Cluster » cible le développement de la capitale sénégalaise comme place financière pour les start-up, les PME et la promotion de la fintech dans la sous-région.
L’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, saura le 3 janvier si la Cour suprême du Sénégal confirme sa condamnation pour « escroquerie aux deniers publics » et « faux et usage de faux dans des documents administratifs ». Il était devant les juges le 20 décembre.
En visite à Paris pour financer la deuxième phase du Plan Sénégal émergent (PSE), le président sénégalais, en campagne pour sa réélection en février prochain, a présenté lundi soir son livre « Le Sénégal au cœur » à ses compatriotes de la diaspora sénégalaise en France.
Le président sénégalais espérait 2 850 milliards de F CFA (4,9 milliards de dollars) des bailleurs institutionnels pour financer la phase 2 du Plan Sénégal émergent (2019-2023). À Paris, il a finalement obtenu des engagements pour 14 milliards de dollars.
Investi candidat par la coalition Benno Bokk Yakaar le 1er décembre, le chef de l’État sénégalais espère être élu pour un second mandat le 24 février prochain. Et compte sur son carré de fidèles pour l’épauler durant sa campagne.
Peu connu il y a encore quelques mois au Sénégal, volontiers provocant, le leader de Pastef, Ousmane Sonko, croit en ses chances face à Macky Sall en février 2019. Mais fait-il vraiment le poids ?
Pour financer la mise en œuvre du second volet du plan Sénégal émergent (PSE), le président sénégalais tentera de convaincre les bailleurs internationaux, réunis à Paris les 17 et 18 décembre prochains. Objectif : lever 2 850 milliards de F CFA.
Une note interne dénonçant la corruption au sein de certaines brigades a fuité dans la presse. La gendarmerie nationale promet la tolérance zéro et prévoit déjà des sanctions.
Le Parlement sénégalais a voté le 8 décembre la loi de Finances 2019 du pays qui s’élève à 4 000 milliards de F CFA. Dans ses grandes orientations, ce texte s’inscrit dans le sillage du plan Sénégal émergent (PSE), non sans une inclination fortement sociale en cette veille d’élection présentielle.
L’ex-maire de Dakar sera jugé devant la Cour suprême le 20 décembre. Ses proches dénoncent une procédure précipitée visant à l’exclure de la présidentielle.
Alors que Karim Wade et les autres postulants à la présidentielle ont jusqu’au 26 décembre pour déposer leur candidature et que son entourage répète qu’il sera bientôt de retour au Sénégal, le candidat du PDS semble, lui, plus hésitant.
Le candidat officiel du PDS à la présidentielle est dans l’attente d’une décision de la Cour de justice de la Cedeao qui pourrait intervenir dans les prochaines semaines. Il entend faire reconnaître son droit, contesté par le gouvernement sénégalais, de s’inscrire sur les listes électorales afin de se porter candidat.
Pressé par la justice française qui enquête sur l’attribution des JO de Rio-2016 et de Tokyo-2020, le président du CIO Thomas Bach a officiellement demandé la coopération du Sénégal, où s’est réfugié l’un des acteurs clés de ces dossiers, Papa Massata Diack.
Patrick Ho, homme d’affaires originaire de Hong Kong, a été reconnu coupable le 5 décembre de corruption à l’étranger. Il était notamment accusé, en relation avec le Sénégalais Cheikh Tidiane Gadio, d’avoir remis 2 millions de dollars au Tchadien Idriss Déby Itno afin de favoriser l’implantation d’une entreprise pétrolière chinoise.
Première œuvre restituée au Sénégal, le masque-heaume Mende originaire de Sierra Leone a pu retrouver sa place à Dakar, au sein du musée Théodore Monod d’art africain, grâce au combat du galeriste belgo-congolais Didier Claes. Retour sur un long exil.