Un an après son placement en détention, et alors que son sort judiciaire sera connu le 30 mars, Jeune Afrique revient sur le parcours politique et judiciaire de Khalifa Sall, le député et maire de Dakar, tombé de Charybde en Scylla.
Tract renaît de ses cendres, ce jeudi 8 mars, en faisant le pari du web. Après avoir disparu des kiosques en 2002, ce nouveau venu sur la toile sénégalaise entend « parler de choses sérieuses, en restant léger ».
Le Sénégal a émis ce mardi des obligations souveraines (eurobonds) pour un montant de 2,2 milliards de dollars sur les marchés financiers internationaux à des taux « très favorables », a annoncé le gouvernement. C’est le cinquième emprunt international du pays après 2009, 2011, 2014 et 2017.
Dans l’espace Cedeao, plus de 90 % des 130 000 chauffeurs de taxis en activité sont locataires de leur véhicule. La start-up d’Aziz Senni se propose de changer la donne, en commençant par la capitale sénégalaise.
La commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) a rendu un arrêt de non-lieu dans l’affaire Aïda Ndiongue. Cette ancienne sénatrice du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) était accusée de détournement et corruption pour un montant de 47 milliards de FCFA (73 millions d’euros). Me Seydou Diagne, son avocat, réagit à la décision pour Jeune Afrique.
Une opération de l’armée sénégalaise, visant « à mettre fin aux activités criminelles » des rebelles en Casamance, s’est soldée ce week-end par la mort d’un soldat.
La lutte contre les « Écoles Gülen », du nom de l’imam accusé par les autorités turques d’avoir fomenté le coup d’État de juillet 2016, figure en tête de l’agenda de Recep Tayyip Erdogan, actuellement en tournée en Afrique du Nord et de l’Ouest. Cemalettin Kani Torun, député AKP (parti au pouvoir), se félicite de voir que « les responsables africains se montrent coopératifs ».
De passage en Algérie lundi, avant de se rendre Mauritanie où il a promis une contribution turque de 5 millions de dollars pour la force antiterroriste du G5 Sahel, le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est fixé jeudi pour objectif à Dakar de pratiquement doubler les échanges commerciaux entre la Turquie et le Sénégal.
Après Alger et Nouakchott, le président turc Recep Tayyip Erdogan devrait arriver ce mercredi soir à Dakar, dans le cadre de sa tournée africaine, prévue du 26 février au 2 mars. Fermeture des écoles Gülen, diplomatie économique… Focus sur les enjeux de cette tournée africaine.
L’opposition sénégalaise réclame la démission du ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye, qui a déclaré sur une chaîne de télévision avoir « le souhait que le président Macky Sall gagne au premier tour » en 2019.
Transféré à Bursaspor (Turquie), l’expérimenté buteur sénégalais (45 sélections, 18 buts) traverse une mauvaise passe, déjà perceptible alors qu’il évoluait aux Émirats arabes unis.
Après Kayes au Mali et Nouakchott en Mauritanie, Dakar est devenue le temps d’une semaine de festivités la capitale des communautés soninkés venues de toute l’Afrique de l’Ouest et au-delà.
Le guitariste Herve Samb revient avec « Teranga », un quatrième album dans lequel il explore les potentialités de la fusion entre le jazz et la musique traditionnelle sénégalaise.
En rachetant le West African College of the Atlantic (Waca) à Dakar, prestigieux lycée international privé bilingue de la capitale sénégalaise, le groupe éducatif panafricain Enko Education poursuit son expansion en Afrique subsaharienne où il ambitionne d’implanter une quarantaine d’écoles d’ici cinq ans.
Depuis l’ouverture du réquisitoire et des plaidoiries du procès Khalifa Sall – dit de la caisse d’avance -, achevés ce mercredi, les avocats des deux parties ont pour la majorité subi les remontrances du juge Malick Lamotte, entre mises en garde et expulsions. Alors que les répliques se poursuivent jusqu’à ce vendredi, retour sur ce procès mouvementé tenu d’une main de maître.
Le nouvel album du sénégalais Alune Wade, « African Fast Food » sort ce vendredi 23 février. Il mélange les genres et les mixes avec brio. Présentation.
Le Sénégal envisageait de disputer un match amical devant son public à Dakar avant la Coupe du Monde. Les Lions de la Teranga avaient pris contact avec le Venezuela. Mais les exigences des sud-américains, dont un cachet de 400 000 €, ont vite calmé les ardeurs de la Fédération…
Les audiences du procès Khalifa Sall – dit de la caisse d’avance – doivent se terminer ce mercredi avec les dernières plaidoiries de la défense. Les avocats du député et maire de Dakar, contre lequel le procureur a requis sept ans de prison, maintiennent leur stratégie et entendent démontrer que le procès est politique.
En dix ans, le groupe est parvenu à multiplier par deux le volume traité par la plateforme. Un atout pour espérer décrocher la construction du futur port de Ndayane ?
Le président sénégalais a prévu de se concentrer sur la politique intérieure pour les mois à venir. C’est en tout cas ce que laisse entendre les directives qu’il a donné à ses services.
La dix-septième journée d’audience du procès de Khalifa Sall a été consacrée, lundi 19 février, aux plaidoiries des avocats des prévenus, après celles des parties civiles et le réquisitoire du parquet. Sept ans de prison ont été requis à l’encontre du député et maire de Dakar, notamment poursuivis pour « détournement », « associations de malfaiteurs », « blanchiment ».
L’opérateur de téléphonie mobile Expresso a lancé en fin de semaine dernière son service de transfert d’argent, rejoignant ainsi ses principaux concurrents, Orange et Tigo.
Le Sénégal appelle ses pêcheurs à respecter la réglementation en Guinée-Bissau et dans les pays voisins, après l’arraisonnement cette semaine par Bissau de onze pirogues sénégalaises avec plus de 100 occupants pour « pêche sans autorisation ».
Le procureur de la République a requis sept ans de prison à l’encontre du député et maire de Dakar, ainsi qu’une amende de 5,49 milliards F CFA. Une peine similaire a été réclamée par le ministère public à l’encontre de Mbaye Touré, principal coprévenu de Khalifa Sall.
Depuis le début du procès du député et maire de Dakar Khalifa Sall, poursuivi notamment pour « détournement » et « association de malfaiteurs », l’État et la Ville de Dakar se battent dans l’enclos des parties civiles. Retour sur deux stratégies diamétralement opposées qui ont rythmé les audiences, à quelques heures du réquisitoire.
Le procès de Khalifa Sall et ses sept co-prévenus devant le tribunal de grande instance hors-classe de Dakar est entré dans sa dernière phase : celle des plaidoiries et du réquisitoire.
En plein procès du maire de Dakar, Khalifa Sall, l’information ne manquait pas de sel. D’après le quotidien sénégalais Libération, les enquêteurs de l’Inspection générale d’État seraient à la recherche d’un virement de 65 millions de francs CFA « égarés » dans les comptes de la municipalité.