Alors âgé de 31 ans, Ibrahim Kamara a été nommé à la tête de la marque ultra-branchée Off-White. Originaire de Sierra Leone, il est considéré comme l’un des stylistes les plus prometteurs de sa génération.
Ernest Bai Koroma, inculpé pour son rôle présumé dans une « tentative de coup d’État », a quitté vendredi la Sierra Leone. Selon l’un de ses proches, il s’est envolé vers le Nigeria.
La justice accorde à l’ancien président, soupçonné par le gouvernement d’être mêlé à la tentative de coup d’État du 26 novembre, le droit de sortir du territoire national pour suivre un traitement médical.
Déjà assigné à résidence depuis le 9 décembre, l’ancien chef de l’État est soupçonné d’avoir joué un rôle dans une « tentative de coup d’État » perpétrée le 26 novembre.
Le garde du corps de l’ex-président Ernest Bai Koroma est dans le viseur de la justice après les attaques du 26 novembre 2023, qui ont fait une vingtaine de victimes.
L’ex-président sierra-léonais a été interrogé pour la troisième fois par la police de Freetown sur la tentative de coup d’État du 26 novembre, a indiqué son entourage.
L’ex-président, soupçonné par le gouvernement d’être mêlé à la tentative de coup d’État du 26 novembre, ne pourra quitter sa propriété d’ici à la reprise de son interrogatoire, lundi 11 décembre.
Au pouvoir de 2007 à 2018, Ernest Bai Koroma doit se rendre au siège du département des investigations criminelle « pour assister la police dans l’enquête en cours » sur les évènements du 26 novembre, affirme un communiqué signé par le ministre de l’Information.
Le président Julius Maada Bio a promis que la réponse à la tentative de coup d’État il y a une semaine serait dictée par « le respect du droit » dans un discours à la nation le 2 décembre.
De hauts responsables sierra-léonais ont estimé que les troubles qui ont fait 21 morts le 26 novembre à Freetown étaient le fruit d’une tentative de putsch impliquant des soldats et des gardes de l’ancien président Ernest Bai Koroma.
Le président sierra-léonais a affirmé au soir de ce 26 novembre que le calme avait été rétabli après une journée d’affrontements à Freetown. Une tentative de déstabilisation de l’État dont la plupart des responsables ont été arrêtés, selon Julius Maada Bio.
Des individus ont tenté de forcer une armurerie militaire dimanche matin dans la capitale sierra-léonaise, Freetown, et ont été repoussés. Un couvre-feu national a immédiatement été instauré.
Popularisée par Steven Spielberg, cette mutinerie qui mena à l’émancipation des captifs est l’une des plus connues du grand public. Mais que sait-on vraiment de cette révolte qui polarisa les États-Unis au point de marquer une étape déterminante dans la lutte abolitionniste ?
À Freetown, les consommateurs de « kush » sont partout, des bidonvilles aux rues plus huppées. Les autorités peinent à faire face à la propagation de cette nouvelle drogue de synthèse.
Le parti de Julius Maada Bio a remporté samedi la majorité aux élections législatives, selon des résultats annoncés par la commission électorale mais contestés par l’APC, le principal parti d’opposition, qui a annoncé qu’il renonçait à siéger à l’Assemblée nationale.
Le principal adversaire du président sortant et les observateurs de l’Union européenne soulignent un manque de transparence qui jette un doute sur la crédibilité des résultats.
Le président sortant a récolté 55,86 % des voix, selon des résultats partiels fournis par la commission électorale et contestés par l’opposition. De violents heurts ont fait un mort au siège de l’APC, parti de Samura Kamara, le principal adversaire du chef de l’État.
Le chef de l’État sierra-léonais est annoncé favori de la présidentielle qui se déroule ce 24 juin. Mais les violences observées pendant la campagne, sur fond de mécontentement dû à la crise économique, pourraient compromettre sa victoire.
Des manifestations contre la vie chère ont tourné à l’émeute mercredi 10 août et fait plusieurs morts. Le président Julius Maada Bio, qui était à l’extérieur du pays, a été contraint de rentrer.
D’abord colonie agricole refusant l’esclavage puis compagnie privée, la Sierra Leone a connu une histoire singulière avant de devenir l’une des pièces de l’empire britannique. Thierry Paulais la retrace dans son livre « Province of Freedom ».
Le géant pétrolier français a confirmé ce 7 avril la cession de ses réseaux de distribution de carburant sierra-léonais et libérien au groupe Conex Oil & Gas Holding Ltd, installé à Monrovia, en même temps que celle de ses parts dans un bloc d’exploration-production offshore au Brunei, vendues à Shell. Les deux transactions vont permettre à Total d’encaisser 400 millions de dollars.
Le milliardaire turc Mehmet Nazif Günal, patron du géant MNG (BTP, énergie, transports, mines, hôtellerie…), qui a plusieurs fois rencontré le président Félix Tshisekedi à Kinshasa, pousse aussi ses pions à Freetown.
Dans « Le Paradoxe du bonheur », son dernier roman, Aminatta Forna ausculte la résilience de ceux qui ont affronté la cruauté des hommes. En fil rouge, le renard, auquel elle rend hommage.
L’administration de l’ex-président sierra-léonais Ernest Bai Koroma aurait détourné plus d’un milliard de dollars de fonds publics entre 2015 et 2018, selon un audit des comptes de l’État diffusé le 3 avril par le ministre des Finances.
L’ancien ministre sierra-léonais de la Défense, Alfred Paolo Conteh, a été arrêté vendredi pour corruption présumée dans une affaire d’achat de matériel militaire, a annoncé samedi la commission nationale anti-corruption.