À l’occasion du verdict en appel du Tribunal spécial pour la Sierre Leone (TSSL) dans le procès de Charles Taylor, jeudi 26 septembre, Jeune Afrique vous invite à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien.
Reconnaître sa défaite à la présidentielle comme l’a fait le Malien Soumaïla Cissé, le 12 août, n’est pas un exercice facile dans les démocraties africaines. Si certains candidats malheureux sur le continent ont souvent provoqué des violences post-électorales, d’autres, rares, sont restés beaux joueurs. Tour d’horizon.
Les otages ? Ils n’en veulent pas. Ce qui intéresse les pirates du Golfe de Guinée, ce sont les pétroliers qui croisent en mer. Les attaques sont même devenues plus nombreuses qu’au large de la Somalie.
Au cours d’une récente visite en Chine, le président de la Sierra Leone Ernest Koroma a signé des contrats pour un nouvel aéroport international, un chemin de fer et un ensemble de projets de construction totalisant 8 milliards de dollars.
Afin de rendre hommage aux différents protagonistes de l’intervention militaire au Mali, la célèbre avenue parisienne des Champs-Élysées verra défiler des militaires africains le 14 juillet.
Le président américain recevra quatre dirigeants africains – le sénégalais Macky Sall, le sierra-léonais Ernest Bai Koroma, la présidente du Malawi Joyce Banda et le Premier ministre cap-verdien José Maria Pereira Neves – le 28 mars à Washington. La Maison Blanche salue dans leurs pays des démocraties solides et émergentes.
Entre la littérature – foisonnante – et la tradition orale, difficile de s’y retrouver. Aboubacry Moussa Lam, de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, et Fary Silate Kâ, chercheur à l’Institut fondamental d’Afrique noire, nous éclairent sur les fondements, réels ou fantasmés, de l’identité peule.
L’ancien président du Liberia, Charles Taylor, comparaît en appel, à partir du mardi 22 janvier, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL). Il a déjà été condamné en première instance à 50 ans de prison pour avoir soutenu la rébellion, en échange de diamants, pendant la guerre de Sierra Leone.
Le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma, réélu mi-novembre, a poursuivi la formation d’un nouveau gouvernement, dont 19 des 23 membres ont été nommés, a appris l’AFP samedi de sources officielles.
Le président sortant de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, aura les coudées franches désormais. Le candidat défait de l’opposition, l’ancien militaire Julius Maada Bio, a officiellement reconnu sa défaite électorale, mardi 4 décembre.
Réélu pour un second mandat, le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma promet de continuer sur la voie des réformes. Mais, au Parlement, il devra compter avec l’opposition, qui lui conteste la victoire.
Le candidat d’opposition à la présidentielle en Sierra Leone Julius Maada Bio, largement battu vendredi par le président sortant Ernest Bai Koroma, a dénoncé samedi un scrutin entaché de fraudes.
Ernest Bai Koroma, élu une première fois en 2007, reste au pouvoir encore cinq ans. La commission nationale pour les élections (NEC) a annoncé sa victoire à la présidentielle du 17 novembre, avec 58,7% des voix.
Les résultats des élections générales – présidentielle, législatives, municipales et locales – ne devraient pas être connus avant le 26 novembre en Sierra Leone. Mais l’opposition a déjà dénoncé des fraudes, lundi 19 novembre. L’Union européenne (UE), si elle a salué le bon déroulement des scrutins, s’inquiète de possibles violences.
Elles sont jeunes, elles sont séduisantes et elles ont une voix inimitable. Les dernières représentantes de la vague afro venue d’Allemagne offrent un mix tantôt pop, tantôt jazzy.
Le comptage des voix se poursuivait, dimanche 18 novembre en Sierra Leone, au lendemain d’élections générales organisées près de onze ans après la fin de la guerre civile. Le scrutin présidentiel s’annonce serré entre le président sortant, Ernest Koroma, élu en 2007, et son principal rival, Julius Maada Bio, ex-chef d’une junte militaire qui a dirigé le pays durant quelques mois en 1996.
Les bureaux de vote ont ouvert samedi matin en Sierra Leone pour les élections générales – présidentielle, législatives, régionales et municipales – déterminantes pour la consolidation de la démocratie dix ans après la fin de la guerre civile, a constaté l’AFP.
Des dizaines de milliers de partisans de l’opposition se sont rassemblés jeudi 15 novembre à Freetown pour un dernier meeting de campagne avant les élections générales. Organisé samedi 17 novembre, ce scrutin est considéré comme crucial pour consolider la démocratie dix ans après la guerre civile en Sierra Leone.
La junior pétrolière de l’homme d’affaires australo-roumain Frank Timis a acquis un nouveau bloc au large de la Sierra Leone et signé un memorandum avec Petrochina.
Les diamants ont longtemps dominé l’économie de la Sierra Leone, et alimenté la guerre civile qui a ravagé le pays. Une décennie après le conflit, les zones diamantifères peinent à tirer profit de l’exploitation de ce cristal.
Condamné à cinquante ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Sierra Leone entre 1996 et 2002, l’ancien président libérien, 64 ans, devrait passer le restant de ses jours derrière les barreaux.
Reconnu coupable le 26 avril de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, l’ancien président du Liberia Charles Taylor a été condamné ce 30 mai à 50 ans de prison par le TSSL. Il peut encore faire appel.
Reconnu coupable le 26 avril de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, Charles Taylor doit être fixé sur sa peine ce mercredi. Il pourrait faire appel dans les semaines suivantes.