Une campagne de porte-à-porte pour sensibiliser la population au virus Ebola sera lancée mardi dans l’ouest de la Sierra Leone, comprenant la capitale Freetown, la région la plus touchée, a annoncé samedi Centre national de lutte contre l’épidémie (NERC).
Idris Elba, acteur britannique d’origine ghanéo-sierra-léonaise, et des stars de football dont l’Ivoirien Yaya Touré participent à une campagne lancée mercredi pour soutenir les efforts des agents de santé engagés dans la lutte contre Ebola en Afrique de l’Ouest.
Si le taux hebdomadaire de transmission du virus Ebola reste élevé au Liberia, en Guinée et au Sierra Leone, l’OMS estime pouvoir « prendre le dessus » sur l’épidémie dans ces trois pays les plus touchés. Explications.
Une vingtaine d’artistes ouest-africains de renom se sont réunis pour interpeller les chefs d’État francophones sur la catastrophe que représente Ebola. Ils publient leur lettre ouverte dans Jeune Afrique. Parmi eux : Richard Bona, Ismaël Lo, Amadou et Mariam, Smockey, Oumou Sangare, Vieux Farka Touré…
Depuis le mois de mars, le virus Ebola a déjà fait officiellement plus de 5 400 morts en Afrique de l’Ouest. Qui, à travers le monde, se mobilise financièrement pour stopper l’épidémie ? Grâce à une représentation interactive des données de l’ONU, découvrez en un clic qui sont les plus généreux donateurs mais aussi… ceux dont les promesses restent toujours lettre morte.
Après la confirmation des cas d’Ebola au Mali, pays voisin d’États touchés par l’épidémie, l’Union européenne et la Croix-Rouge internationale tentent de mettre en place un cordon sanitaire pour contenir le virus.
Les footballeurs originaires des pays touchés par l’épidémie sont durement stigmatisés lors des rencontres qualificatives pour la Coupe d’Afrique des nations. Témoignages.
Jeudi, un expert de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que des milliers de victimes d’Ebola, enterrées sans être déclarées, n’étaient pas prises en compte dans les statistiques de l’OMS sur l’épidémie qui sévit en Afrique de l’Ouest.
Seuls des milliardaires occidentaux tels Bill Gates ou Mark Zuckerberg se sont faits mécènes de la lutte contre Ebola. Leurs homologues africains, Aliko Dangote ou Nassef Sawiris, pour ne citer qu’eux, sont aux abonnés absents…
Le codécouvreur du virus Ebola, Peter Piot, a fait part jeudi de son inquiétude quant aux risques de propagation du virus en Chine, qui a une très importante communauté en Afrique de l’Ouest.
Deux semaines après sa nomination, Palo Conteh, chef du Centre national de lutte contre Ebola (NERC) en Sierra Leone, a dénoncé mercredi la persistance de pratiques à risques et d’actes d’indiscipline qui sapent l’efficacité de la mobilisation contre l’épidémie.
Deux personnes ont été tuées dans la ville minière de Koidu, dans l’est de la Sierra Leone, au cours de violences liées au refus par un groupe de jeunes d’un test de virus Ebola sur un cas considéré comme suspect.
Après la mort mercredi du patient atteint d’Ebola au Texas, Washington et Ottawa ont annoncé le renforcement du contrôle des voyageurs en provenance de tous les pays africains touchés par le virus.
Lors d’une réunion de l’Organisation de coopération et de développement (OCDE), tenue lundi à Paris, l’Union africaine (UA) a plaidé pour l’envoi de plus de personnel pour mieux lutter contre Ebola en Afrique de l’Ouest.
À l’issue d’une conférence internationale organisée jeudi à Londres, le Royaume-Uni a annoncé qu’elle débloquera 160 millions d’euros pour aider le Sierra Leone, son ancienne colonie, à lutter contre Ebola.
La progression d’Ebola n’en finit plus d’affoler à travers le monde. Jeudi, une conférence s’est ouverte à Londres afin d’appeler la communauté internationale à accroître son aide financière face à une épidémie qui toucherait cinq nouvelles personnes par heure en Sierra Leone.
L’épidémie de fièvre hémorragique Ebola a franchi le cap des 3 000 morts, le virus ayant tué près de la moitié des quelque 6 500 personnes infectées, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié samedi.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé vendredi une enveloppe supplémentaire de 130 millions de dollars en faveur des trois pays les plus frappés par Ebola (Guinée, Liberia, Sierra Leone) qui bénéficient déjà de plans d’aide de l’institution.
Les dirigeants africains ont-ils pris suffisamment tôt la mesure du danger que représentait le virus Ebola ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons répertorié les principales déclarations des chefs d’État d’Afrique de l’Ouest ou des représentants d’institutions régionales depuis le début de l’épidémie, en les rapprochant du nombre de morts recensés au moment où ils s’exprimaient.
Nouvelle quarantaine en Sierra Leone. Le président Ernest Bai Koroma a annoncé mercredi soir que trois régions et douze chefferies étaient confinées avec effet immédiat, afin d’enrayer la progression de l’épidémie d’Ebola.
Tandis que le virus se propage, les États du monde entier se mobilisent pour enrayer l’épidémie. À chacun sa méthode : l’imagination aussi, c’est contagieux !
Dans une étude publiée par le « New England Journal of Medicine », l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti le 23 septembre que plus de 20 000 personnes seront infectées par le virus Ebola à début novembre si les mesures de contrôle de l’épidémie ne sont pas renforcées en Afrique de l’Ouest.
Selon un dernier bilan daté du 18 septembre et publié lundi par de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épidémie d’Ebola a déjà fait 2 793 morts en Afrique de l’Ouest, sur 5 762 cas détectés.
Le confinement général de trois jours ordonné pour lutter contre l’épidémie d’Ebola a permis aux autorité de Sierra Leone de visiter 80 % des habitations sur l’ensemble du pays, a déclaré lundi le ministre de la Santé.
Des dizaines de corps de victimes d’Ebola ont été retrouvés en Sierra Leone, après trois jours de confinement de la population. De l’autre côté de la frontière, au Liberia, les autorités ont quadruplé le nombre de lits destinés aux malades.