Neuf ans après les attentats du 11 Septembre, Al-Qaïda, bien qu’affaiblie et éclatée, continue de faire des victimes. En particulier sur le continent, son dernier sanctuaire et son nouveau champ de bataille.
Le patron de l’antiterrorisme français Bernard Squarcini assure que la menace d’un attentat sur le sol français « n’a jamais été aussi grande », citant comme principale source d’inquiétude Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dans une interview publiée samedi dans l’hebdomadaire français le Journal du dimanche.
Le célèbre trafiquant d’armes emprisonné en Thaïlande Viktor Bout, qui a souvent opéré en Afrique, devrait être extradé aux États-Unis où il risque la prison à perpétuité. À moins qu’un nouvel épisode ne vienne enrichir cette saga.
Le journaliste d’investigation français s’apprête à sortir un livre sur le rôle des gouvernements (notamment à Paris et Washington) dans les guerres de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique Centrale.
Loin des clichés romanesques sur leur activité, nombre de pirates du port somalien de Hobyo jurent qu’ils troqueraient volontiers la flibuste pour un emploi stable et rémunéré. Encore faudrait-il que cela existe dans leur pays livré au chaos.
Il a commencé les 11 et 12 août, pour une durée de trente jours et pour 1,5 milliard de musulmans. « Il », c’est le ramadan, ce jeûne qui est l’un des cinq piliers de l’islam. Petit tour du monde des innovations, et anecdotes savoureuses – si l’on peut dire !
L’enquête sur les responsables des attentats qui ont fait 76 morts à Kampala en juillet dernier, a déjà permis l’arrestation de 32 personnes. Mises en examen, elles seront bientôt jugées et d’autres supects pourraient encore être arrêtés.
L’autoproclamé « roi des rois d’Afrique » ne ferait-il plus recette ? Lutte contre le terrorisme, guerre en Somalie, poursuites internationales contre Omar el-Béchir… Les chefs d’État réunis en Ouganda pour le 15e sommet de l’organisation panafricaine, du 25 au 27 juillet, se sont consacrés à l’essentiel. Et ont « retoqué » le débat sur les États-Unis d’Afrique cher à Mouammar Kadhafi. Récit d’une perte d’influence.
En revendiquant le double attentat de Kampala du 11 juillet, les milices islamistes ont prouvé qu’elles pouvaient frapper loin et fort. Elles demeurent pourtant peu hiérarchisées, sans programme clair ni dirigeants officiels.
Trois Kényans, soupçonnés d’implication dans les attentats du 11 juillet qui ont fait 76 morts à Kampala en pleine retransmission télévisée de la finale de la Coupe du monde de football, ont été inculpés vendredi par la justice ougandaise de ces assassinats revendiqués par les islamistes somaliens Chaabab.
Deux semaines après le double attentat revendiqué par les Chabaab somaliens en Ouganda, l’Union africaine s’est saisie de ce dossier. Elle a promis de renforcer la force de paix en Somalie et de continuer à soutenir le gouvernement de transition.
Les dirigeants africains, réunis au sommet de l’UA à Kampala, ont abordé le problème des Chabaab, auteurs d’un attentat meurtrier dans la ville ougandaise le 11 juillet dernier.
En pleine polémique sur l’accusation de génocide de la Cour pénale internationale à l’encontre du président soudanais Omar el-Béchir, les intervenants à la cérémonie d’ouverture du Sommet de l’Union africaine ont insisté sur la nécessité pour l’Afrique de s’approprier pleinement son destin.
Le débat sur les « États-Unis d’Afrique », cheval de bataille de la Libye mais idée combattue par l’Afrique du Sud à ce stade, a refait surface à la veille du Sommet des chefs d’État de l’Union africaine, qui s’est ouvert ce dimanche à 11h30 à Kampala.
Des attaques perpétrées par les islamistes Chabaab à Kampala ont fait 73 morts et des dizaines de blessés. L’Ouganda paie sa participation à la force de maintien de la paix en Somalie.
Le Guide libyen a accordé une interview depuis Tripoli à RFI et France 24. Dans cet entretien, Mouammar Kadhafi revient sur l’enlisement du processus de paix au Darfour et sur la situation en Somalie que n’arrange en rien, selon lui, la politique de l’Union africaine. À quelques jours d’un sommet de cette organisation à Kampala (Ouganda), le dirigeant libyen se montre sévère à son égard et insiste sur son attachement à la création des États-Unis d’Afrique. Extraits.
L’enquête continue après le double attentat survenu en Ouganda. Elle a permis d’arrêter une vingtaine de suspects, dont plusieurs Pakistanais et de confirmer la participation de deux kamikazes à l’attaque terroriste.
La Somalie s’est invitée dans la campagne pré-électorale ougandaise avec les attentats meurtriers de Kampala, l’opposition dénonçant les risques d’une implication militaire accrue à Mogadiscio prônée par le chef de l’Etat Yoweri Museveni.
Après les attentats en Ouganda, revendiqués par la milice somalienne des Shebab, le président a appelé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour stabiliser le pays, dont il ne contrôle plus qu’une partie.