Les intenses combats entre les forces gouvernementales et les rebelles dans la région de Jebel Marra au Darfour, dans l’ouest du Soudan, ont conduit des dizaines de milliers de civils à fuir. Selon l’ONU, ces derniers se trouvent désormais dans une situation humanitaire désespérée.
Un accord de principe sur le montant de la redevance que paie le Soudan du Sud au Soudan pour l’utilisation de ses oléoducs a été conclu par les ministres du Pétrole des deux pays, selon des informations de presse parues jeudi.
Quatre ans après une dispute qui avait dégénéré en conflit armé en 2012 entre les deux pays, le président soudanais, Omar el-Béchir, a ordonné mercredi la réouverture de la frontière contestée avec le Soudan du Sud.
Dans un rapport remis au Conseil de sécurité, des experts de l’ONU recommande de sanctionner le président du Soudan du Sud ainsi que le chef des rebelles, tous deux jugés responsables des violences commises pendant la guerre civile qui dure depuis deux ans. Ils proposent également d’imposer un embargo sur les armes sur le pays.
Omar el-Béchir, président du Soudan, a annoncé lundi que son pays rompait ses relations diplomatiques avec l’Iran. Une décision similaire à celles prises quelques heures plus tôt par les autorités de l’Arabie Saoudite et de Bahreïn.
Le cabinet français d’ingénierie Artelia, candidat malheureux à un appel d’offres en mars, a été rappelé par l’Éthiopie, l’Égypte et le Soudan pour mesurer l’impact de la construction du barrage Grande Renaissance sur les ressources en eau du Nil.
Les forces gouvernementales et les rebelles des régions frontalières du Soudan se tiennent prêts pour une reprise des combats après l’ajournement des pourparlers de paix le 24 novembre, qui avaient échoué à trouver un accord en vue d’un cessez-le-feu.
Après le crash de l’avion de Metrojet en Égypte samedi dernier, de nouvelles questions de posent sur le survol des zones de guerre. Zoom sur les pays africains faisant l’objet d’alertes recensées par l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a lancé samedi un processus de dialogue national destiné à régler les problèmes économiques et insurrectionnels du pays, mais en l’absence des principaux mouvements d’opposition qui boycottent cette initiative.
L’USM Alger et les Soudanais d’Al-Merrikh ont réalisé une bonne opération dimanche soir, lors des demi-finales aller de la Ligue des champions d’Afrique.
Un tribunal sud-africain avait interdit au président Omar el-Béchir de quitter l’Afrique du Sud lors de sa visite en juin à Johannesburg. Décision non respectée par le gouvernement, qui avait néanmoins fait appel : sa demande a été rejetée ce mercredi.
La Cour pénale internationale a demandé à l’Afrique du Sud d’expliquer pourquoi elle n’avait pas fait arrêter Omar el-Béchir, poursuivi pour génocide et crimes de guerre, à l’occasion du sommet de l’Union africaine, à la mi-juin.
Les soldats déployés par l’ONU sont souvent des cibles de choix des jihadistes et des groupes rebelles armés. Zoom sur les missions de maintien de la paix les plus meurtrières sur le continent.
La RDC, le Nigeria, la Somalie, le Soudan et le Soudan du Sud. Sur la liste américaine des gouvernements qui ont recruté, directement ou indirectement, des enfants-soldats en 2015 figurent cinq pays africains sur huit.
Réunis en Mauritanie pour un sommet sur la Grande muraille verte, onze pays africains ont réclamé lundi la levée des « sanctions » imposées au Soudan, le pays d’Omar el-Béchir.
Visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) depuis 2009, le président soudanais Omar el-Béchir ne devrait pas être inquiété lors de son déplacement en Mauritanie, lundi, pour participer à un sommet sur la Grande muraille verte, un projet pour stopper l’avancée du désert.
Aux prises avec la guerre civile et l’insécurité alimentaire, les Soudanais du Sud doivent maintenant affronter un nouveau fléau : une épidémie de choléra. Pendant ce temps, les Soudanais voisins se battent avec une « énorme épidémie » de rougeole qui touche l’ensemble du pays.
Le gouvernement sud-africain a démenti lundi des informations selon lesquelles un plan avait été préparé pour que le président soudanais Omar el-Béchir puisse quitter le pays le 15 juin sans encombre, après le sommet de l’Union africaine.
«Oui, Omar El-Béchir voyage à travers le monde, mais son arrestation et son transfert à la Cour pénale internationale [CPI] ne sont qu’une question de temps », nous assurait, en février dernier, Fatou Bensouda, la patronne gambienne de l’institution.
En déplacement en Afrique du Sud où il assistait au 45e sommet des chefs d’État de l’Union africaine, le président soudanais, Omar el-Béchir, a une nouvelle fois échappé aux griffes de la Cour pénale internationale (CPI). Pour quels crimes est-il recherché ? Explications.
L’ONU a démenti mercredi les accusations selon lesquelles des troupes sud-africaines avaient été prises en otage au Darfour par des soldats soudanais dans le but d’obliger les autorités de Pretoria à laisser partir Omar el-Béchir, lundi, après un sommet de l’UA. Celui-ci faisait pourtant l’objet d’une interdiction de quitter le territoire émise par la justice sud-africaine.
Le juge qui avait interdit à Omar el-Béchir de quitter le territoire sud-africain a mené une violente charge contre les autorités. De son côté, la CPI a rappelé Pretoria à ses obligations.
Le gouvernement soudanais a assuré dimanche que la visite du président Omar el-Béchir en Afrique du Sud se déroulait normalement et qu’il rentrerait à Khartoum après le sommet de l’Union africaine en dépit d’une décision de justice locale interdisant son départ du pays.
La justice sud-africaine a interdit au président soudanais, Omar el-Béchir, présent dimanche à Johannesburg pour l’ouverture du sommet de l’Union africaine, de quitter le pays tant qu’elle n’avait pas étudié la demande de son arrestation émise par la CPI.
Un tribunal sud-africain saisi par une ONG a interdit au président soudanais Omar el-Béchir de quitter le pays tant que la justice n’aura pas statué sur une demande d’arrestation formulée par la CPI, indique un jugement publié dimanche.
La Cour pénale internationale (CPI) a appelé les autorités sud-africaines à arrêter le président soudanais Omar el-Béchir. Celui-ci devait participer dimanche et lundi à un sommet de l’Union africaine à Johannesburg.
Le président soudanais Omar el-Béchir, sous le coup de deux mandats d’arrêt lancés par la Cour pénale internationale (CPI), se rendra en Afrique du Sud pour le sommet de l’Union africaine, a indiqué samedi la radio officielle soudanaise.
Les autorités soudanaises ont levé les interdictions de publier prononcées il y a près de trois semaines contre quatre journaux, a indiqué vendredi le directeur du syndicat des journalistes.
Le prochain Disney, encore dans les cartons, s’appuie sur l’histoire vraie d’un Américain venu planter l’étendard familial dans le nord du Soudan pour faire de sa fille une « princesse »… Au mépris du respect des droits des Africains.