Accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité au Darfour, le dictateur soudanais est le premier chef d’État en exercice poursuivi par la Cour pénale internationale. Un tournant historique dans la lutte contre l’impunité, qui suscite pourtant de vives critiques en Afrique et dans le monde arabe.
Les autorités soudanaises ont libéré l’opposant islamiste Hassan al-Tourabi près de deux mois après sa détention à la suite de commentaires appelant le président Omar el-Béchir à se rendre devant la Cour pénale internationale, a indiqué sa famille.
Les autorités soudanaises ont libéré l’opposant islamiste Hassan al-Tourabi près de deux mois après sa détention à la suite de commentaires appelant le président Omar el-Béchir à se rendre devant la Cour pénale internationale, a indiqué sa famille lundi matin.
L’Union Africaine (UA) a nommé l’ancien président sud-africain Thabo Mbeki pour « intercéder auprès de la Cour Internationale de Justice (CIJ) et le gouvernement soudanais », a déclaré le ministre sud africain des Affaires étrangères, Nkosazana Dlamini-Zuma.
Le président soudanais Omar el-Béchir a averti dimanche les ONG, le corps diplomatique et les forces de l’ONU présents au Soudan de respecter les lois locales, sans quoi il seront « expulsés », lors d’un discours à El-Facher, au Darfour.
Le président soudanais Omar el-Béchir est arrivé dimanche au Darfour, quatre jours après le mandat d’arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes dans cette région de l’ouest soudanais.
Le président soudanais Omar el-Béchir est arrivé dimanche au Darfour, quatre jours après le mandat d’arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes dans cette région de l’ouest soudanais.
Le numéro un libyen Mouammar Kadhafi a estimé que le mandant d’arrêt délivré contre le président soudanais Omar el-Béchir « était un grave précédent », dans un entretien téléphonique avec le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a rapporté l’agence libyenne Jana.
Le Conseil de sécurité a de nouveau constaté vendredi ses désaccords sur les moyens de faire face à la situation au Soudan, après l’émission d’un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir par la CPI et l’expulsion des ONG du Darfour.
Les craintes d’une catastrophe humanitaire au Darfour augmentaient après la décision du Soudan d’expulser une dizaine d’ONG, l’ONU avertissant que des milliers de personnes risquaient la mort.
Les craintes d’un désastre humanitaire au Darfour augmentaient vendredi après la décision du Soudan d’expulser une dizaine d’ONG, l’ONU avertissant que des milliers de personnes risquaient la mort.
Les craintes d’un désastre humanitaire au Darfour augmentaient vendredi après la décision du Soudan d’expulser une dizaine d’ONG, l’ONU avertissant que des milliers de personnes risquaient la mort.
Les craintes d’une catastrophe humanitaire au Darfour augmentaient vendredi après la décision du Soudan d’expulser une dizaine d’ONG, l’ONU avertissant que des milliers de personnes risquaient la mort.
Le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) ne changera rien aux politiques du gouvernement, a affirmé le président soudanais Omar el-Béchir, selon des propos publiés vendredi.
Le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) ne changera rien aux politiques du gouvernement, a affirmé le président soudanais Omar el-Béchir.
Le président soudanais Omar el-Béchir a prévenu que le mandat d’arrêt émis à son encontre par la Cour pénale internationale pour les crimes au Darfour n’allait pas changer d’un iota la politique de son gouvernement.
Des milliers de Somaliens ont manifesté à Mogadiscio, pour apporter leur soutien au Président soudanais Omar Hassan El-Bashir et dénoncer le mandat d’arrêt délivré mercredi par la Cour pénale internationale (CPI).
L’expulsion de 13 organisations humanitaires du Soudan met en péril plusieurs centaines de milliers de civils les plus vulnérables, ont averti des groupes d’aide humanitaire, en exhortant le gouvernement à réexaminer sa décision.
Une coalition de 62 ONG issues de quatre pays d’Afrique a estimé jeudi que le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir risque de « nuire aux efforts de paix » et d’accroître l’instabilité au Darfour.
Une coalition de 62 ONG issues de quatre pays d’Afrique a estimé que le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir risque de « nuire aux efforts de paix » et d’accroître l’instabilité au Darfour.
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine va demander au Conseil de sécurité de l’ONU d' »interrompre » la procédure engagée par la CPI contre le président soudanais Omar el-Béchir, a annoncé le président du CPS lors d’un point de presse.
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine va demander au Conseil de sécurité de l’ONU d' »interrompre » la procédure engagée par la CPI contre le président soudanais Omar el-Béchir, afin de privilégier le processus de paix, notamment au Darfour.
Le président soudanais Omar el-Béchir a répliqué au mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) en expulsant des ONG internationales du Darfour, menaçant l’acheminement d’une aide humanitaire vitale pour des centaines de milliers de civils.
Le président soudanais Omar el-Béchir a répliqué jeudi au mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) en expulsant des ONG internationales du Darfour, menaçant l’acheminement d’une aide humanitaire vitale pour des centaines de milliers de civils.