D’autres ONG pourraient être expulsées du Soudan, a prévenu jeudi le chef de la Commission soudanaise des Affaires humanitaires (HAC), accusant la dizaine d’organisations déjà sommées de quitter le pays d’avoir collaboré avec la Cour pénale internationale (CPI).
L’Afrique du Sud a qualifié de « regrettable » pour le processus de paix au Soudan le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) émis à l’encontre du président Omar el-Béchir.
Le président soudanais Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, s’est joint aujourd’hui à une grande manifestation de soutien à sa cause à Khartoum, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.
Le président soudanais Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, s’est joint jeudi à une grande manifestation de soutien à sa cause à Khartoum, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.
« Opportunité » pour la paix pour les ONG, « menace aux yeux des partenaires du Soudan, soutien à la lutte contre l’impunité de la part des Occidentaux: les réactions au mandat d’arrêt contre le président soudanais illustrent les divisions internationales sur le conflit du Darfour.
« Nous allons te protéger Béchir jusqu’à la dernière goutte de notre sang », scandaient mercredi des milliers de Soudanais, soutenant leur président Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI).
Le régime soudanais a catégoriquement rejeté le mandat d’arrêt émis mercredi par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président Omar el-Béchir, ses fidèles scandant dans les rues de Khartoum leur intention de le protéger jusqu’à leur « dernière goutte de sang ».
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
Le conflit du Darfour, dans l’ouest du Soudan, a fait selon l’ONU jusqu’à 300. 000 morts et plus de 2,7 millions de déplacés depuis février 2003. Khartoum n’évoque que 10. 000 morts.
Le président soudanais Omar el-Béchir, premier chef d’Etat contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt, est un militaire de carrière aux influences islamistes, à la tête du plus grand pays d’Afrique depuis deux décennies.
Le Soudan n’a pas coopéré jusque-là et ne coopèrera pas avec la Cour pénale internationale (CPI), a déclaré mercredi sur la chaîne Al-Jazira le ministre de la Justice Abdel Basit Sabdarat, en réaction au mandat d’arrêt délivré contre le président Omar el-Béchir sur le Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l’Argentin Luis Moreno-Ocampo, qui a obtenu un mandat d’arrêt contre le président soudanais el-Béchir, est à 56 ans un idéaliste pragmatique ayant dédié sa vie à la traque des pires criminels de la planète.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Médecins sans frontières (MSF) a annoncé à l’AFP avoir reçu l’ordre du gouvernement soudanais d’évacuer son personnel international du Darfour, région déchirée par la guerre civile dans l’ouest du Soudan.
Le président soudanais Omar el-Béchir effectuera une visite éclair dimanche au Darfour, région de l’ouest du pays en proie à la guerre civile, a affirmé mercredi un gouverneur local cité par l’agence officielle Suna.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.