Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a salué l’accord entre Khartoum et le plus militarisé des groupes rebelles du Darfour, signé à Doha (Qatar), le qualifiant d' »avancée constructive ».
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour ont conclu, mardi à Doha, un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l’ouest du Soudan en proie à une sanglante .
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour ont conclu, mardi à Doha, un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l’ouest du Soudan en proie à une sanglante .
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour ont conclu, mardi à Doha, un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l’ouest du Soudan en proie à une sanglante .
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour ont conclu, mardi à Doha, un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l’ouest du Soudan en proie à une sanglante guerre civile.
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour ont publiquement signé à Doha une déclaration d’intention en vue d’une cessation des hostilités dans cette région de l’ouest du Soudan en proie à une sanglante guerre civile.
Des responsables du gouvernement soudanais et du Mouvement pour la Justice et l’égalité (JEM), le groupe rebelle le plus actif du Darfour, ont affirmé à Doha avoir convenu du principe d’un échange de prisonniers, jusqu’ici un obstacle à un accord entre les deux parties.
Le gouvernement soudanais et le Mouvement pour la Justice et l’égalité (JEM), le groupe rebelle le plus actif du Darfour, sont parvenus à Doha à un accord sur une déclaration d’intention qu’ils signeront mardi, a annoncé lundi le Premier ministre qatari Hamad Ben Jassem Al-Thani.
Le gouvernement soudanais et le groupe rebelle le plus actif du Darfour sont parvenus à Doha à un accord sur une déclaration d’intention qu’ils signeront mardi, a annoncé lundi le Premier ministre qatari Hamad ben Jassem Al-Thani.
Plus de 865 civils ont été tués par la rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) entre Noël 2008 et mi-janvier 2009 dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), affirme l’ONG Human Rights Watch (HRW) dans un rapport publié lundi.
Le gouvernement soudanais et le Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM), le plus actif des groupes rebelles du Darfour, sont sur le point de signer un projet d’accord à Doha, où ils négocient depuis mardi, a annoncé samedi un porte-parole des rebelles.
Des combattants de la rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) ne se sont pas présentés samedi à un rendez-vous fixé pour leur reddition, a indiqué un responsable de l’ONU au Soudan.
Le Soudan a refusé de prendre au sérieux les « rumeurs » selon lesquelles la Cour pénale internationale (CPI) se prépare à émettre un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir pour son rôle présumé dans les violences au Darfour.
APA-Nairobi (Kenya) Le gouvernement du Sud-Soudan devrait prendre des mesures urgentes pour faire respecter les droits de l’homme, y compris la protection des civils armés, face à la violence et l’usage excessif de la force par les soldats et les forces de sécurité, a déclaré jeudi, dans un rapport, Human Rights Wathc (HRW), l’organisme de défense des droits de l’homme basé aux Etats-Unis.
Les agences humanitaires internationales n’ont pas encore eu accès à plus de 100. 000 civils déplacés par les combats récents au Darfour, a annoncé la coordonnatrice de l’ONU pour l’aide humanitaire au Soudan.
Le chef du plus actif des groupes rebelles du Darfour, Khalil Ibrahim, présent à Doha pour des négociations de paix avec le gouvernement de Khartoum, a conseillé au président soudanais Omar el-Béchir de « se rendre à la Cour pénale internationale (CPI) ».
Il n’y a pas « à ce stade » de mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir en rapport avec la guerre civile au Darfour, a déclaré à l’AFP une porte-parole de la CPI.
Il n’y a pas « à ce stade » de mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir en rapport avec la guerre civile au Darfour, a déclaré jeudi à l’AFP une porte-parole de la CPI.
Le Soudan a refusé jeudi de prendre au sérieux les « rumeurs » selon lesquelles la Cour pénale internationale (CPI) se prépare à émettre un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir pour son rôle présumé dans les violences au Darfour.
Le Soudan a accusé, sans les nommer, des ONG travaillant sur son territoire d’être des antennes de gouvernements étrangers et de travailler à la collecte de renseignements.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a déclaré mardi qu’il attendait du président soudanais Omar el-Béchir une réaction « très responsable » si la Cour pénale internationale (CPI) émet un mandat d’arrêt contre lui pour génocide au Darfour.