Les participants à la 36e assemblée parlementaire ACP-UE à Cotonou, sommet sur la Centrafrique à Khartoum, Michel Sapin en Mauritanie… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie continentale.
À travers une passionnante saga, l’écrivain Étienne Barilier revient sur la guerre des mahdistes, de 1881 à 1899, au Soudan. Une histoire qui n’appartient pas seulement au passé.
Le président soudanais a limogé l’intégralité de du gouvernement et nommé un nouveau Premier ministre en la personne de Moutaz Mousa Abdallah. Celui-ci est chargé de former un gouvernement réduit afin de faire face à la crise économique qui frappe le pays, selon la présidence.
Au moins 22 enfants soudanais se rendant à l’école sont morts noyés mercredi dans le naufrage de leur embarcation sur le Nil à quelque 750 km au nord de la capitale Khartoum.
Le Parti du congrès national, au pouvoir, a annoncé avoir désigné l’actuel chef de l’État Omar el-Béchir comme candidat à un troisième mandat présidentiel en 2020. La Constitution du pays limite le nombre de mandats à deux.
Plusieurs Soudanais, expulsés de France, ont été torturés à leur arrivée à Khartoum, fin 2017. Selon le New York Times, ces expulsions auraient été permises par la collaboration entre la France et les autorités soudanaises, dont des représentants se seraient rendus dans les centres de détention.
Le Soudan doit « mettre fin à tout lien commercial » avec la Corée du Nord avant que des pourparlers puissent commencer pour retirer Khartoum de la liste noire américaine du « terrorisme », a déclaré lundi un haut responsable américain sous couvert d’anonymat.
Les coupures d’électricité intempestives que subissent les citoyens africains font également transpirer les chefs d’État. Ce mercredi, un président a vu sa parole coupée, tandis qu’un autre se voyait obligé de s’exprimer crûment…
Alors qu’il s’emploie à plaire aux grandes puissances, le président soudanais se montre ferme sur le plan domestique. Conforté à l’international, Omar el-Béchir ne semble pas près à l’écoute et au compromis, alors que des manifestations ont éclaté après l’augmentation du prix du pain.
Le Soudan a fermé sa frontière avec l’Erythrée quelques jours après l’instauration par Khartoum de l’état d’urgence dans une région frontalière de ce pays, a rapporté samedi l’agence officielle SUNA.
Les autorités israéliennes ont annoncé que les étrangers en situation irrégulière, majoritairement des Érythréens et des Soudanais, ont jusqu’à la fin mars pour quitter le pays. Passé ce délai, ils s’exposent à un emprisonnement à durée indéterminée.
Le président soudanais Omar el-Béchir a instauré samedi l’état d’urgence dans deux États du Soudan non touchés par les conflits, l’un dans le centre du pays et l’autre dans l’est à la frontière avec l’Érythrée, a rapporté un média officiel.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan est arrivé dimanche à Khartoum où il a rencontré le chef de l’État soudanais Omar el-Béchir et signé plusieurs accords bilatéraux.
En Afrique comme en Europe, peu de gens ont entendu parler du sort de ce jeune étudiant de 23 ans, reconnu coupable de l’assassinat d’un agent de police, ce que sa défense, comme de nombreux élèves de Khartoum, conteste, dénonçant un procès politique.
L’arrestation du puissant chef de milice Moussa Hilal a permis à Khartoum de renforcer son contrôle sur la région du Darfour, mais elle pourrait donner lieu à de nouvelles violences dans une région déchirée par les conflits depuis plus d’une décennie, estiment experts et diplomates.
Omar el-Béchir a assuré que le Soudan avait besoin d’être protégé contre les « actes agressifs » des États-Unis, et ce malgré la levée récente de l’embargo américain imposé pendant vingt ans à son pays. Le président soudanais s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec Vladimir Poutine ce 23 novembre.
Le président soudanais Omar el-Béchir a estimé lundi qu’il était temps de fermer les camps de déplacés du Darfour maintenant que, selon lui, la guerre dans cette région est terminée. Il reproche aux ONG de « faire des affaires au nom de l’aide aux déplacés ».
Un groupe paramilitaire soudanais progouvernemental a annoncé dimanche avoir saisi 19 tonnes de cannabis dans la région du Darfour déchirée par un conflit depuis des années, l’une des plus importantes prises de drogue au Soudan.
Le président sud-soudanais Salva Kiir, en visite à Khartoum, a accusé jeudi le Soudan d’être une « source d’armes » utilisées dans la guerre civile qui déchire son pays depuis quatre ans et fait des dizaines de milliers de morts.
Le rédacteur en chef du quotidien soudanais Al-Tayar, condamné à six mois de prison pour la publication d’un article accusant la famille du président Omar el-Béchir de corruption, a été libéré mardi après une nuit en prison.
La justice soudanaise a condamné lundi le rédacteur en chef d’un journal indépendant soudanais à six mois de prison. En cause : la publication d’un article accusant la famille du président Omar el-Béchir de corruption.
Hafiz Adem, Soudanais de 26 ans arrivé en France en février 2017, publie un petit ouvrage illustré qui raconte son parcours migratoire, démarré à Kordofan, au Soudan, en février 2014. Un témoignage fort.
Un petit village français de Corrèze, dans le centre du pays, a accueilli une rencontre sur les mouvements d’opposition soudanais. Reportage au cœur de cette surprenante rencontre entre jeunes activistes français et soudanais.
La compagnie nationale aérienne du Soudan espère donner un nouveau souffle à sa flotte en se procurant des pièces des constructeurs Boeing et Airbus après la décision de Washington de lever son embargo, a indiqué dimanche le ministre soudanais des Transports.
Ce 7 septembre, le chargé d’affaires américain au Soudan a prévenu que les conditions n’étaient pas encore réunies pour discuter du retrait de Khartoum de la liste noire de Washington des « États soutenant le terrorisme ».
Comme l’annonçait quelques heures plus tôt un responsable de l’administration américaine, les États-Unis ont décidé vendredi de renoncer formellement à certaines sanctions économiques qui pèsent sur le Soudan depuis 1997.
Le président soudanais, sous mandat d’arrêt international, est venu rencontrer le roi Salmane d’Arabie saoudite jeudi à Tanger, où celui-ci a pris ses quartiers d’été. Une visite vivement contestée par les défenseurs des droits de l’homme au Maroc.