La première des dix agropoles prévues par le Plan national de développement vient d’être lancée, entre Lomé et Ouagadougou. Objectif : relancer la filière agricole au Togo.
Après cinq ans de travaux de rénovation, l’ancienne résidence des gouverneurs, puis des hôtes de la présidence, s’est muée en un centre artistique ouvert à tous.
Actionnaires majoritaires de l’opérateur Togocom, Axian et ECP mettent sur la table plus de 245 millions d’euros pour accélérer sa transformation numérique.
Si les Togolais de l’étranger sont pour la première fois autorisés à participer aux élections, dans les faits cette ouverture fait l’objet de sérieuses restrictions, qui laissent une large part de la diaspora à l’écart de l’élection présidentielle du 22 février.
Alors que s’achève le troisième mandat de Faure Essozimna Gnassingbé, c’est l’heure de dresser le bilan. Quelles ont été les principales actions engagées par les équipes gouvernementales ces cinq dernières années ? Pour quels résultats ?
Fondateur de la société Sanecom International, Laurent Tamegnon profite de sa présidence à la tête du Conseil national du patronat (CNP) pour porter à bout de bras le Plan national de développement qu’il estime « vital pour le secteur privé local ».
À deux semaines de l’élection présidentielle, l’opposition togolaise peine à s’unir pour peser face au chef de l’État sortant, qui se prévaut de son bilan.
Faure Essozimna Gnassingbé entretient avec les médias une relation complexe : il s’y intéresse bien sûr mais les tient à distance prophylactique, le reconnaît, s’en excuse et ne change pas pour autant.
Le patron de l’ANC et l’ancien Premier ministre de Gnassingbé Eyadéma se disent convaincus de pouvoir constituer une alternative crédible au président sortant Faure Essozimna Gnassingbé lors de l’élection présidentielle du 22 février.
La Cour constitutionnelle a publié sa décision vendredi et retenu sept candidats sur les dix enregistrés par la commission électorale, parmi lesquels le président Faure Gnassingbé, en lice pour un quatrième mandat.
Dix candidats se présenteront à l’élection présidentielle prévue le 22 février au Togo, a annoncé jeudi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
Faure Gnassingbé est officiellement candidat à la présidentielle du 22 février prochain. L’Union pour la République, son parti, l’a officiellement investi ce mardi. Le président sortant, élu pour la première fois en avril 2005, sera en lice pour un quatrième mandat.
Les Forces démocratiques ont investi Agbéyomé Kodjo comme candidat à la présidentielle du 22 février. Cet ancien Premier ministre de Gnassingbé Eyadéma, qui se présente aujourd’hui comme « une alternative crédible », est la cible de nombreuses critiques dans les rangs de l’opposition.
Fort des recettes provenant de la privatisation de Togocom, le pays finance cette année intégralement son déficit sans recourir à l’endettement. Ce budget rectificatif coïncide avec un soutien renouvelé du FMI et de la Banque mondiale. Le premier presse désormais Lomé de privatiser les deux banques publiques togolaises, l’UTB et la BTCI, et la seconde de continuer à faciliter l’investissement privé.
Depuis des années, un drame humanitaire se déroule sous nos yeux dans l’indifférence ou, pire, dans l’ignorance de la communauté internationale ; une urgence sanitaire qui ne dit pas son nom et dont personne, ou presque, ne parle jamais. Cette catastrophe touche principalement l’Afrique : le trafic de faux médicaments.
La Société financière renforce sa présence en Afrique avec l’ouverture d’une représentation permanente en Angola, au Bénin et au Togo. Dans ce dernier pays, l’institution de la Banque mondiale souhaite apporter son expertise pour atteindre l’objectif de 65 % d’investissements privés pour le Plan national de développement.
L’élection présidentielle au Togo, à laquelle Faure Gnassingbé devrait être candidat pour un quatrième mandat, se tiendra le 22 février 2020, a annoncé le gouvernement dans un décret pris en conseil des ministres.
Le Togo a compris que son potentiel résidait dans sa capacité à s’ouvrir et à s’adapter dans un monde en pleine mutation. Pour réaliser notre potentiel, nous devons développer une infrastructure moderne et construire des institutions plus robustes, associées à des investissements massifs dans nos jeunes et en capital humain.
Passé par les équipes africaines du koweïtien Zain et du malgache Telma, le manager va piloter un plan d’investissements de 245 millions d’euros pour transformer l’industrie numérique du Togo.
Après sept ans à Paris, Lodia K., la créatrice de la marque spécialisée dans les articles en wax a choisi de retrouver Lomé, où est produit l’ensemble de ses collections.
Les « forces démocratiques », une coalition rassemblant une dizaine de partis d’opposition, demandent « la suspension immédiate » du processus électoral engagé pour la présidentielle de 2020. À la tête de cette initiative, à laquelle ni l’ANC, ni le PNP ne participent : Mgr Philippe Fanoko Kossi Kpodzro, l’archevêque émérite de Lomé qui plaide par ailleurs pour une candidature unique de l’opposition.
Estimé à deux milliards de dollars, le projet permettra de produire des engrais à destination de l’Afrique de l’Ouest à partir des ressources présentes dans le sous-sol togolais.
Le conglomérat malgache Axian, dirigé par la famille Hiridjee et le fonds d’investissement panafricain Emerging Capital Partners (ECP) deviennent ensemble l’actionnaire majoritaire de l’opérateur historique togolais, Togocom, en acquérant 51 % du capital. Cina Lawson, ministre togolaise des Postes, de l’Économie numérique revient pour JA sur les détails de la transaction.
Révélations sur la liste confidentielle des grands patrons chinois qui accompagneront Jack Ma, fondateur du géant du e-commerce AliBaba, lors de sa visite inédite à Lomé le 14 novembre, prélude à une offensive potentielle de l’homme d’affaires et de ses partenaires en Afrique francophone.
Le 19 octobre, il a obtenu l’investiture de son parti pour l’élection présidentielle togolaise d’avril 2020. Ce sera la troisième tentative de cet opposant déterminé.